26. La suite de la collaboration.

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Le dernier amuse bouche était le plus divin pour notre couple qui s'était retrouvé dans la chambre de Thomas. Sergio ouvrit la bouche comme d'habitude, mais ce qu'il sentit y entré fut bien plus plaisant encore. C'était la langue du châtain, chaude et humide, qui entrait dans sa bouche. Un frisson lui parcouru le corps tout entier. Le plus âgé colla ses douces lèvres sur les siennes et se mit à tourner doucement son magnifique muscle buccal dans la bouche du brun. Leurs langues s'étaient retrouvées et dansaient langoureusement. Le brun sentait la respiration de son assistant s'intensifier et il en profita pour glisser sa main sous son t-shirt. Il adorait toucher ses abdominaux magnifiquement dessinés. De l'autre main, il serrait son biceps énorme.

- A moi de manger maintenant !
Le cadet murmura dans l'oreille de son aîné, ce qui provoqua une autre vague de frisson dans le cou et le crâne de son patron. Ce dernier se mit alors à couvrir son cou de baisers et l'ex-mari sentait aussi sa langue chaude glisser sur sa peau. L'héritier retira le t-shirt de son employé en une seconde et se mit à descendre doucement le long de son torse, puis son ventre en léchant toute cette peau. Il arriva finalement sur son entrejambe, qui était complètement comprimé depuis cinq minutes et laissait voir une sacrée bosse. Thomas se mit à la prendre et à la malaxer fermement tandis qu'il retirait le bouton de pantalon de Sergio avec ses dents (oui, je ne sais pas comment il arrive à faire ça !).

Il finit par découvrir son pénis qui se tendit vers lui comme un ressort. Il sourit malicieusement en regardant son assistant et donna en même temps quelques coups de langue sur le gland gonflé et rouge d'excitation. Doucement, le patron descendit davantage. L'employé n'en pouvait plus, il ne voulait qu'une chose, que son patron prenne sa verge en entier dans sa belle gueule, et l'héritier le savait bien. Pourtant, ce dernier continua ses légers baisers sur le membre de son assistant. Le plaisir du brun ne faisait qu'augmenter jusqu'au moment où le châtain prit enfin le membre entièrement. Le plus jeune était aux anges, la bouche du plus âgé était comme toujours chaude et douce. Son amant avait creusé ses joues et fit des vas-et-viens avidement car ce beau morceau lui avait beaucoup manqué. Il devenait très gourmand lorsqu'il s'agissait de la queue de son ex-mari.

Le cadet fit signe à son aîné de ralentir pour ne pas venir trop vite, et comme souvent, ce dernier ignora son avertissement. Il continu de le prendre en bouche, il malaxa même ses bourses, et l'assistant gicla dans sa bouche, et lui remplit la gorge de mon nectar que le patron adorait. Il gémit en même temps que son ex-mari. Le plus jeune tremblait de son orgasme. L'héritier avala tout son sperme jusqu'à la dernière goûte :
- J'espère que t'as le cul bien ouvert parce que je vais bien te défoncer maintenant.
- Je n'attends que toi Thomas ! Prends-moi fort !
Sergio adorait quand Thomas lui parlait comme ça.  L'aîné fit tomber le cadet de sa chaise sur laquelle il était assis depuis le début. Il fit s'asseoir son ex-mari sur ses cuisses fermes. Le derrière de ce dernier frotta la bosse douloureuse que le brun sentit à travers son pantalon. Le plus âgé appuya fermement son membre contre le trou bien chaud du plus jeune qui ne demandait qu'à recevoir le membre bien imposant de l'héritier.

A un moment, notre couple était au maximum de leurs patiences. Le châtain mit par terre le brun et retira son pantalon aussi vite que possible. Il cracha sur son trou et frotta son gland bien chaud contre l'anus de son amant qui était très excité. Il le pénétra facilement tellement son ex-mari était mouillé d'excitation. Arrivé facilement jusqu'à la garde, il attendit alors que le plus jeune gémît fortement. Sergio avait tellement envie que Thomas le baise qu'il n'eut même pas mal. Le brun prit ses fesses dans ses mains et les malaxait afin de lui signifier qu'il pouvait commencer ses vas-et-viens. Vu que cela rentrait comme du beurre, le châtain accéléra rapidement ses vas-et-viens. Il pilonnait son cadet intensément pendant plusieurs minutes de pur paradis. Sa queue magique qui s'enfonçait en son assistant facilement et qui lui procurait du plaisir, ça le rendait euphorique. Le patron changea d'angle pour atteindre la boule de plaisir et il accéléra. Notre couple gémissait, grognait, criait même de temps en temps. Leurs corps claquaient à chaque coup de rein bien profond.

Tu m'as manqué (BxB). MatureWhere stories live. Discover now