Tu m'as manqué (BxB). Mature

34. Comment ne pas résister ?

Sergio tomba à genoux devant Thomas, puis défait vite fait son pantalon qui tomba sur ses pieds, baissa son boxer et son membre imposant bien raide, bien droite lui tomba sur le nez. Il lécha le dessous de tout son long avant de poser ses lèvres sur le gland et l'aspirer tout en ayant une main sur ses bourses qui les caressait, les triturait, les malaxait. La langue du brun enveloppa le gland du châtain en tournant autour. L'héritier gémissait fortement face à ce traitement. Son cadet prit entre ses lèvres le plus possible son instrument de plaisir et buta au fond de sa gorge. Il commença ensuite ses vas-et-viens en creusant ses joues, ce qui fit grogner de plaisirs son aîné. Ce dernier, lui tenu la tête et commença lentement à être maître des vas-et-viens. Il avait une main sur sa gorge afin de bien s'enfoncer dans sa cavité buccale. Sa verge coulissait dans la bouche de son ex-mari et butait contre le fond de son palais. Cela l'excitait et le fit atteindre son érection maximale.
- Je vais venir Sergio.

Ce dernier avala encore plus sa queue et le tenu par les fesses pour ne pas qu'il se retire. Il reçu alors ce qu'il voulait : plusieurs jets de son nectar. C'était épais et chaud, un vrai délice. Il avala tout entièrement puis s'occupa de nettoyer le membre de son amant. Ce dernier le releva et le plus jeune se jeta dans les bras du plus âgé pour se faire câliner.
- J'en avais tellement envie Thomas. Cela m'avait manqué.

Sergio se déshabilla complètement devant Thomas.
- Cela te plaît toujours ?
- Et comment ! Tu es parfait !
- J'ai repris du muscle.
- Tu es toujours parfait. Même pendant ta convalescence j'avais envie de toi lors de tes séances de kiné tu sais.
- J'avais remarqué.
Le châtain finit de se déshabiller. Ils étaient ainsi maintenant tous les deux nus. Le brun l'entraîna sur son lit. L'aîné commença à parcourir son corps de ses mains. Il était doux, tendre. Ses doigts firent frissonner son ex-mari sous leurs caresses. Il mit son cadet sur le dos, puis s'allongea sur lui. Ce dernier avait écarté les jambes pour mieux l'accueillir. Le plus âgé commença à s'attaquer au cou du plus jeune puis il descendit sur son torse, léchant et caressant chaque parcelle de peau : les abdominaux, les mamelons, les tétons, les pectoraux, l'aine, le V. Tout y passa.

Il arriva enfin vers son membre qui était au garde à vous. Il en fit le tour puis goba les bourses un à un avant de descendre le long de l'intérieur de sa jambe pour arriver à son pied qu'il caressa, renifla et suça chaque orteil tout en le fixant du regard. Cela excita énormément le brun qui gémissait et qui voulu se soulager. Le châtain retira sa main, s'occupa du deuxième pied puis revint vers ses bourses qu'il lécha à nouveau tout en prenant en main son instrument de plaisir. Sa langue remonta tout le long de sa verge pour poser ses lèvres sur son gland et prit en bouche entièrement cet instrument de plaisir d'un seul coup. Il commença ses vas-et-viens tout en creusant ses joues. Le cadet voyait la tête de son aîné monter et descendre le long de sa queue qui s'allongeait à son maximum sur ses coups de langues. Ses bourses se rétractèrent.
- Je vais venir Thomas.

Ce dernier fit comme lui en prenant au fond de sa gorge le fruit de l'orgasme de son ex-mari. Après avoir bien nettoyé le membre de Sergio, Thomas revint se poser sur lui et leurs lèvres se sont rejoinrent dans un baiser passionné.
- Dis-moi que je ne rêve pas Sergio !
- Non tu ne rêves pas, je suis tout à toi Thomas. J'ai envie de toi.
Le brun se mit à quatre pattes et invita donc le châtain à se mettre derrière lui en se dandinant et se cambrant. Il senti ses mains caresser ses fesses, ses lèvres les embrasser et les lécher. Après les avoir écartés les lobes. Le plus âgé souffla sur son trésor qui palpitait.
- Mon précieux est ici !
- Tu es très poète aujourd'hui.
- Ce beau petit trou m'avait tellement manqué, tu ne peux pas savoir !
La langue de l'héritier vint se poser sur la rondelle. Il la mouilla puis aspira l'air à l'intérieur. Le cadet redressa bien ses fesses et posa sa tête sur l'oreiller alors que la langue de son aîné le pénétrait doucement. Puis, c'était un doigt qui commençait à le dilater. Il fit des vas-et-viens et le tourna lorsqu'il était entièrement à l'intérieur. Le plus jeune gémissait fortement et serra les draps. Deux doigts élargissèrent les muscles avec des mouvements de ciseaux. Le troisième doigt termina la préparation en le dilatant davantage. Il était prêt à le recevoir.