Au cœur de la foret, la clairière s'imposait avec grâce
Etendue autour de la rose qui amasse
Les notes de leurs sentiments
Dans un rythme passionnant.
Un secret que seule la foret gardait
Au cœur de laquelle, la clairière accueillait
Deux silhouettes qui n'arrêtaient de danser
Ses muscles, sous sa peau jouaient
Quand il l'élevait dans les aires et la redéposait
Autour de son cou, ses mains de soie s'enroulaient
Elle se pliait et se repliait
Sa taille fine mais musclée
Brulait contre son torse dénudé
L'appel de l'autre les réunissait
Comme une vague qui caressait
Les joues de la plage avant de se retirer.
Sous le ciel ennemi de l'été
Dans le bourdonnement du vent glacé
Brulants, leurs corps se complétaient
Leurs mouvements s'harmonisaient
Sur le rythme d'une passion démesurée
Et la rose, dans un silence enneigé
Fleurissait encore, elle fleurissait
Au cœur de la foret, la clairière s'imposait avec grâce
Etendue autour de la rose qui amasse
Les notes de leurs sentiments
Dans un rythme passionnant.
La rose que leur amour a engendré
Au moment ou leurs cœurs avaient communiqués
Elle fleurissait encore, elle fleurissait.
-M
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J'écris, j'écris et j'écris...
Poésie« La vie est loin d'être ardente, Et les fins sont toujours violentes Les moments savent sourire et rigoler Mais ils préfèrent agiter les cœurs et effrayer. Attendre encore, ou chercher la vie? Tant de réponses dans lesquels on se noie. Les ponts qu...