Les rues de la ville avaient avalée leur nuit
Quand une impasse abrita les âmes qui fuient
Il était petit, avait les cheveux mouillées
Accompagné d'une mère, qu'il profondément estimait
Elle lui glissa un pain entre les doigts
Afin d'entendre du bonheur dans sa voix
Un sourire étira ses lèvres
Et Un ancien hangar les abrita de la fièvre.
Pendant qu'il dormait
Un grand homme est entré
Sa mère avait crié...
L'homme lui avait volé
Le peu de monnaie qu'il lui restait.
Après avoir obtenu ce qu'il voulait
Il tira une balle de son plein gré
Dans le cœur d'une mère très dévouée...
Pan!
L'enfant avait tout vu
Et L'enfant était désormais perdu
Il avait peur, il était désorienté,
Dans ses cris assourdissant, l'injustice était célébrée
Et ses larmes vivantes, diluait toute la peine que l'enfant ressentait
L'enfant est devenu l'orphelin,
Amputé de la seule fidèle qui lui restait
Il criait "Maman ! Maman!"
Et c'est le silence qui répondait...
Dans les rues, résonnaient des implorations
Et sous la pluie, des obsèques inexistantes se tenaient
Celles d'une martyre, victime de l'absence de sécurité
Celles d'un lien naturel essentiel désormais défait
Celles d'un enfant qui continuait d'exister
Sans vraiment vivre de son plein gré.
L'injustice arpente nos chemins
Et trouve toujours de quoi saccager nos desseins
Mais quel poème médiocre -M
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J'écris, j'écris et j'écris...
Poetry« La vie est loin d'être ardente, Et les fins sont toujours violentes Les moments savent sourire et rigoler Mais ils préfèrent agiter les cœurs et effrayer. Attendre encore, ou chercher la vie? Tant de réponses dans lesquels on se noie. Les ponts qu...