Tes allées me lient a ton cœur,
Le centre pittoresque qui a su attirer
Les fervents d'une plénitude identique a la Tienne
Des rues et des ruelles dispersent ta beauté
Ton portrait s'impose dans mon esprit sans relâche
Par tes reflets, je suis obnubilé
Oh Paris ! Je ne saurais te quitter
Ta Dame de fer a su m'intriguer
Tes bâtisses m'ont affecté
D'une vive impression qui serait impossible d'oublier
Teintée par l'histoire
Tes aspects se voient diversifiés
Tes arbres centenaires
Témoignent ta gloire dynastique
Tombé sous ton charme
Tu m'as ensorcelé
Les feuilles mortes embellissent ton ciel
Vu des balcons de tes hôtels
L'arc crie ton honneur
Tes Opéras chantent le bonheur
Et ta Seine arrose nos cœurs
Tu es la source d'une vivacité
La pulsion de vie et de gaieté
Unir ceux qui s'aiment
N'est autre que ta profession
Dans les jardins, ils se sont retrouvés
Dans les champs Elysées, ils se sont fréquentés
Et c'est dans tes salles
Qu'ils se sont voués l'amour et la loyauté
Sur tes bancs ils se sont enlacés
Et c'est a Montparnasse que se reposent
Deux prisonniers de tes attraits
Par tes reflets, je suis obnubilé
Oh Paris ! Je ne saurais te quitter
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J'écris, j'écris et j'écris...
Poetry« La vie est loin d'être ardente, Et les fins sont toujours violentes Les moments savent sourire et rigoler Mais ils préfèrent agiter les cœurs et effrayer. Attendre encore, ou chercher la vie? Tant de réponses dans lesquels on se noie. Les ponts qu...
