Seuls pendant l'été.

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Tromperies et lâcheté, sillonnent le ciel de l'été

Les pauvres, ils pleurent, seuls sous le ciel étoilé,

Ils guettent constamment et sans cesse

Un signe de leur présence,

L'ensemble des souvenirs de leurs enfance.

Mais l'amitié ne s'inscrit qu'une fois

Et le veritable amour est fragile comme la soie

Les pauvres se retrouvent délaissés,

Par ceux qui sont toujours vivants

Dans leurs cœurs et dans leurs pensées.

Ils pleurent , seuls sous le ciel étoilé

Le cœur serré et les yeux fermés,

Ils revoient les visages et les moments oubliés,

Ils ressentent le chagrin que personne ne peut décrypter.

Aucune main ne leur est offerte,

Personne ne fait alerte,

Ils sont seuls mais se sentent encore plus seuls

N'écoutant que l'air triste de la déception

Résonner avec leurs souvenirs les plus bons.

Ils sont toujours seuls, face aux tromperies et la lâcheté,

Ils se lèvent, et poursuivent leurs avancée,

Portant d'une main l'endurance et de l'autre un cœur brisé

Les histoires ne font que se réécrire

Et les versions deviennent de plus en plus pire.

-M

J'écris, j'écris et j'écris...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant