La punition

Chapitre I

Jour 1

Pdv Lauren

J'étais obligée de donner des cours de littérature à un élève ou une élève qui était en difficulté tout ça parce que j'avais osée taguer les murs de mon lycée. Stupide comme nous étions mon amie et moi, on avait oubliée les caméras de surveillances autours de mon bahut ce qui nous a valut cette punition. C'était soit aider un(e) élève soit être virée. Évidemment le choix était vite fait surtout avec ma famille. Malheureusement j'ai l'intuition que cette punition va être un cauchermar.

J'envoyer un texto à Pocahontas, ma complice qui elle devait aider en maths. Je soupirais de mécontentement, sachant que nous faisions nos cours supplémentaires au lycée, ce qui nous faisait terminée à 19h. J'étais assez contrariée sachant que je n'aimais pas forcément le lycée comme tout adolescent de mon âge.

On ne peut pas dire que je sois un bon exemple à suivre, je suis un peu la "Bad girl" avec Normani, alias Pocahontas. Nous avons toujours une connerie à faire ensemble et souvent ça se finit en heure de colle. Mais ça me fait rire, je me souviens de presque toutes nos bêtises depuis que nous nous connaissons, c'est à dire, depuis 10 ans désormais. Aujourd'hui nous avons 17 ans et c'est notre dernière année de lycée. Le plus aberrant c'est que nous avons repris les cours depuis 1 mois et que nous avons déjà des problèmes avec le nouvelle proviseur. L'ancien était assez sympathique, toujours à rire de nos conneries. Il adorait nous répéter : << j'ai eu votre âge et j'ai fait bien plus de connerie que vous. La prochaine fois éviter de vous faire attraper bande d'amatrice >> Il nous disait également que tant que nous ne faisions de mal à personne il garderait son calme.

17h54. Je regardais fixement cette vieille horloge dans la salle de cours. J'avais délaissé la lecture du roman que j'avais entamée récemment. Mani avait dû me laisser car son élève venait d'arriver. Moi, j'attendais comme une grosse cruche que le mien daigne apparaître, j'avais un énorme défaut, je n'étais absolument pas patiente, absolument pas. Attendre était pour moi un véritable supplice car j'avais l'impression de perdre mon temps, ce qui est d'ailleurs le cas.

Je ne savais rien de mon élève, ni son âge, ni son sexe, ni encore moins son nom. J'étais dans le flou totale et cela avait l'air d'amuser notre nouveau proviseur, cet espèce de pigeons. Je ne l'aimais pas vraiment sachant qu'il avait remplacé un excellent proviseur qui nous laissait plus de liberté. Nous avions même plus le droit de fumée sous les gradins, nous devions sortie de l'établissement pour fumer loin, vers le petit snack. Mais évidemment, Mani et moi, on restait sous les gradins ayant la flemme de sortir.

Nous ne sommes pas vraiment des "rebelles" ou encore les cancres du lycée, nous pouvions meme nous vanter d'avoir des notes plutôt bonne voir certaines excellentes, mais simplement parce que nous ne nous laissions pas faire, que nous étions prêtes à dire haut et fort ce que nous pensons, que nous ne nous soumettons même pas à une autorité si nous la trouvons injuste, les lycéens nous catalogue comme "thugs" ou encore "délinquant" bien que ce dernier soit plus adopté par les adultes.

Notre façon de nous habiller dérange les gens, j'avais souvent des jeans noir déchirés, une veste en cuir, des bottes ou ce genre de vêtement de grunge. Apparement vu les regards extrêmement mauvais de certaines personnes que je ne connais souvent ni d'Eve ni d'Adam, l'expression "l'habille ne fait pas le moine" à disparu du langage courant.

- Bonjour

Je lève mon regard de mon livre que vaguement survoler trop occupée par mes pensées. En face de moi ce tenait, Karla Camila Cabello, la star des pompons girls. Géniale (notez l'ironie s'il vous plaît). Le proviseur voulait me faire chier jusqu'au bout sachant que nous étions deux opposées et que les pompons girls et moi étions en froid, pour ne pas dire ennemis. Moins je les voyais mieux je me sentais. Elles sont pratiquement toutes hypocrites, langues de vipères, colporteuses de ragots plus farfelue que les autres, superficielles à mourir, menteuses et surtout des cruches. Elles n'en glandent pas une en cours et on les idolâtres parce qu'elles bougent leurs culs pour supporter une équipe de mec courant derrière un ballon en ce rentrant dedans. Karla est l'une d'elle, la "chef", avec son acolyte, elles se prennent pour les reines du lycée et aime bien le faire comprendre à tout le bahut, tous.

Elle s'assoit en face de moi et pour une fois, elle n'a pas ce regard de petasse qui l'a caractérise, parfois, j'ai l'impression qu'elle joue un rôle, que ses yeux reflètent du remord et de la compassion puis lorsqu'elle ordonne de jeter un gobelet à la figure d'un seconde parce qu'il a osé la bousculer, je me rappelle que ce n'est sans doute qu'une illusion de mes yeux. Karla est une gosse de riche et malgré que je n'aime pas juger les personnes sans réellement les connaître, je fais une exception pour Karla.

- Bonjour Karla j'accentue bien sur son prénom sachant qu'elle a horreur d'être nommée ainsi mais qu'importe, mon cours, mes règles. Parle moi de tes lacunes en littérature.

Je vais droit au but, plus vite on en a fini, plus vite je la quitterais. Sa présence me donne des envies de meurtre. Pourtant, je suis pacifiste sauf avec Karla.

- Appelle moi Camila dit elle avec un sourire charmeur

Je souffle d'agacement.

- Karla je me contenterais de l'appeler ainsi sachant que ça l'énerve. Réponds, s'il te plait.

Je la vois grimacer à son prénom et la vois montre sa lèvre, elle est réellement sexy lorsqu'elle fait ce geste mais son côté garce me refroidis énormément. Je croise mes bras attendant patiemment une réponse qui tarde à venir. Elle me regarde avec son sourire narquois et j'utilise toute mon énergie pour ne pas la tuée sur place. Elle m'énerve, déjà on m'a obligée à aider une élève, en plus la punition est d'autant plus cruelle que c'est de Karla dont en parle et en plus cette dernière ce permet de ce foutre de moi. Je ne tiendrais pas.

- Je n'ai pas tout mon temps je lui rappelle sèchement

- C'est vrai, excuse moi dit elle en gardant son sourire bref, je suis nulle en tout ce qui fais la littérature française.

- Connais tu au moins les mouvements de la littérature française ? Dis je essayant d'analyser son niveau que j'espère pas si catastrophique pour pouvoir me débarrasse de cette corvée

- Absolument pas dit elle presque fière d'elle

Je secoue la tête, déjà exaspérée par mon élève. Je sens que ces heures supplémentaires vont être un calvaire.

L'image de Normani me vient en tête. Si, moi, j'ai eu Camila comme élève alors elle elle a dû avoir Dinah-Jane Hansen. Le proviseur est vraiment un gros connard. Il sait à quel point Dinah, Camila nous ont fait la misère, si par malheur Mani à Di, je ne donne pas chère de la peau de cette dernière.

J'espère que mon intuition ce trompe, mais en regardant Camila commencer à jouer avec son téléphone, je me dis que cette punition va vraiment être un cauchemar.

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Hello tout le monde ! J'espère que ce premier chapitre vous a plu. Je tente quelque chose de différent par rapport à ma première fiction et j'espère que vous suivrez dans cette nouvelle aventure et que j'arriverais a vous plaire. 

J'espère aussi qu'elle aura autant de """"""""""""succès"""""""""""" que ma précédente. Bon je vais pas m'étaler mais bon j'espère que je ne vais pas trop faire du caca (oui j'essaye d'être un minimum polie) xP 

So welcome to my new cray storie and enjoy :P A bientot mes patates !