Saison Deux ~ Épisode vingt-trois : All This Time

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I just want to give you love, And try to keep a smile on your face. So open your eyes and see, That we belong together. Pleasant surprise you‘ll find, That things can be much better. Je veux juste te donner de l'amour, Et j'essaie de garder un sourire sur ton visage. Donc ouvre les yeux et regarde, Que nous appartenons l'un à l'autre. Agréable surprise, tu verras, Que les choses peuvent être beaucoup mieux. All This Time - Joe Jonas

-Et Joseph dans tout ça ?, demanda Denise. Tu l'as retrouvé ? Vous vous êtes expliqués ?

-Oui, on s'est expliqués.

-Dans l'histoire, tu es mariée, ou pas, au Lord ?, demanda Kevin.

-Non, je ne suis pas mariée et c'est grâce à Joseph. Il a sauvé la Princesse en détresse, sourit-elle.

-Mais, tu as toujours la bague, dit Franklin.

-Oui, la bague de fiançailles de ton frère, que le Lord a « récupéré », car je refusais de l'enlever.

-Comment a-t-il réagit ?, demanda le père du jeune homme.

-Avant que je vous le dise, j'aimerais savoir comment vous, vous réagissez à ça.

-Oh Victorine, on te pardonne, dit Denise, en enlaçant la demoiselle, tandis que les autres personnes se joignaient à elle.

La Princesse se retrouva, en sandwich, entre toute la famille de son fiancé. Elle sourit de bonheur de savoir qu'ils lui pardonnaient.

-Ma sœur est une Princesse, dirent Danielle et Christie, avec un grand sourire.

-Notre sœur est une Princesse, rajoutèrent Kevin, Franklin et Nicholas, tandis que leurs parents souriaient.

-Alors ? Réaction de Joe ?, demanda Denise.

-Euh..., dit-elle, en regardant rapidement sa montre. Vous allez vous préparer pour le bal et on en reparle après. Il commence dans une heure et tenue de soirée exigée. Julia viendra vous chercher, donc attendez-là, devant vos suites.

-D'accord, dit Denise, après avoir embrassé, la joue de la jeune Princesse.

Ils embrassèrent, tous, la Princesse avant de sortir.Victorine demanda, à un des gardes, de les raccompagner, dans leur suite et elle partit, en courant, dans le bureau de son père. Elle entra en trombe et s'arrêta juste devant lui.

-Bonjour Papa, dit-elle. Tout est prêt ?

-Oui, tout.

-Parfait, dit-elle en embrassant sa joue.

-Excitée ?, lui demanda son père.

-Tu ne peux même pas imaginer, dit-elle avec un grand sourire.

-Chérie, je suis très fière de toi et de tout ce que tu as fait. Je suis très content, que tu ais osé leur tenir tête et que tu ais su t'affirmer devant eux. Tu seras une excellente souveraine.

-Merci Papa, dit-elle, tandis qu'il lui embrassait le sommet du crâne.

-Et garde-le, il t'aime vraiment.

-Ça je le sais, sourit-elle.

-Va te préparer, tu ne vas pas le faire attendre quand même.

-Tu m'attends devant les portes ?

-Bien sûr. À tout à l'heure.

-À tout à l'heure, dit-elle en refermant la porte.

Elle retourna dans sa suite, en courant, et quand elle entra, elle découvrit son fiancé en train t'attacher sa cravate. Elle se jeta dans ses bras et ils s'embrassèrent.

-Besoin d'aide ?, lui demanda-t-elle.

-Non, je m'en sors. Ta robe est dans ton dressing. D'après ce que j'ai cru comprendre, elle serait différente.

-Parfait, dit-elle en ouvrant les portes du dressing.

Elle eut un moment d'absence. Elle se revit y entrer, un mois plus tôt et cacher son sac à main dans un des tiroirs.

-Victorine, ça va ?, lui demanda-t-il, quand il vit son trouble.

-Oui, je me rappelle où je l'ai caché, dit-elle en courant jusqu'au tiroir et en l'ouvrant. Mon sac à main, dit-elle en le récupérant.

Elle l'ouvrit et récupéra le test de grossesse, tandis qu'il se plaçait derrière elle, pour voir le résultat.

-Négatif, dit-elle en lui faisant face. Tu vois, je te l'avais dit.

-Je sais, mais ce n'est pas grave. Et tu ne l'étais pas, il y a un mois, rien te dit que tu ne l'es toujours pas. Mais on verra ça plus tard. Allons nous marier, pour commencer.

Elle entoura ses bras, autour du cou du jeune homme, et se mit sur la pointe des pieds, avant de déposer ses lèvres sur celles de son fiancé.

-Allons nous marier, lui dit-elle avec un magnifique sourire, quand on frappa à la porte.

Paul et sa maquilleuse entrèrent dans la suite et mirent à la porte le fiancé. Ils s'occupèrent de la Princesse et elle passa une nouvelle robe de mariée.

La troisième en un mois, je dois détenir un record franchement. Je refuse la tiare que mon coiffeur veut me mettre. Aujourd'hui je suis Victorine et non, la Princesse. J'ai besoin d'être une personne normale.

Elle sortit de sa chambre et alla rejoindre l'autre aile du château, où son père l'attendait.

-Tu es sublime, lui dit-il. Joe m'a demandé de te donner ça, rajouta-t-il en lui tendant la tiare de sa grand-mère, qu'elle avait laissée à Los Angeles.

-Comment a-t-il fait ?, demanda-t-elle en la récupérant et en l'admirant.

Je pensais tellement ne jamais la revoir. Grand-Mère, je sais que tu es avec moi. Et aujourd'hui, plus que jamais, j'ai besoin de te sentir près de moi.

-Tu peux me la mettre ?, demanda-t-elle à son père.

-Bien sûr, dit-il en la récupérant et en l'ajoutant à son chignon. Prête ?

-Plus que jamais, lui répondit-elle, tandis que la musique se mettait en marche et que les portes s'ouvraient.

Elle prit le bras de son père et traversa la salle, qui était décorée sobrement et prit place près de son fiancé, qui la regardait amoureusement, tandis que la famille du jeune homme était surprise, mais très heureux pour eux.

Philippe admira, quelques secondes, sa petite fille, qui était devenue une magnifique jeune femme. Il lui embrassa la joue et se tourna vers le fiancé.

-Prends soin d'elle, elle le mérite.

-Ne vous en faites pas, elle est toute ma vie.

Philippe serra la main de l'homme, qui faisait battre le cœur de sa fille et alla se placer plus loin, tandis que le grand-père de la jeune fille prenait place devant eux.

Mais qu'est-ce qu'il fait là ? Ne me dites pas qu'il va refuser notre mariage. Je crois que je vais devenir folle, si jamais il fait ça.

Un amour royalWhere stories live. Discover now