Chapitre 20

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Je passais dans l'atelier de couture et mis de la musique, Within temptation, Shot in the Dark. Une de mes chansons préférées. Puis je réalisais les derniers moments, quand je lui est craché a la figure qu'il devait retourner a ses stupides rôles. Je dûs me mordre la lèvre très fort pour évitez de crier. 
-" Bon sang qu'est-ce qui m'a pris ... ??" murmurais-je à moi même. Orlando arriva suivit d'Evangeline qui se rua sur moi et me serra dans ses bras. 
-" euh doucement !!" criais-je un peu surprise. 
-" Orlando m'a parlé de ton fameux problème... je suis tellement hors de moi de découvrir et entendre dire que tu n'a plus de toit !!! Si tu veux venir chez moi tu..."
-" Non Evangeline... je ne peux pas  me permettre de demander le logement  a part si je paye un loyer ...!" dis-je. Mais Orlando fronça les sourcils. 
-" Tu sais que ce que tu as fait  hier était une tentative de suicide et que tu as risquée la vie de Lee ?" demanda t-il froidement. Je baissais la tête et soupirais.
-" J'ai tout perdu a l'intérieur de mon appartement, elle a brûlé mes souvenirs, les photos avec mes parents !! " répliquais-je. Puis je relevais la tête et le fixais droit dans les yeux. Jusqu'à ce que  Lee entre d'un pas sûr. Il s'adossa a la porte et nous fixa d'un air impassible. Orlando ne l'avait pas entendu arriver. 
-" Alice je sais bien que  ça a dû être très grave mais au point de vouloir se faire écraser par un camion ! Faut aller loin !" 
-" Tu ne sais pas ce que c'est de craquer chaque jours, d'avoir la peur qu'elle te coupe les vivres !! Que tu n'es plus de sous ! " criais-je hors de moi. Je vis du coin de l'oeil que Lee croisait les bras et nous écoutaient. Je ravalais une phrase cingante mais je savais que j'allais la dire. 
-" Tu compte nous écouter pendant combien de temps Lee !? " demandais-je agressivement. Il me fixa longuement avant de se redresser et de dire. 
-" Si tu veux j'ai mon appartement qui est libre, tu peux  y mettre tes affaires..." 
-" J'ai dis non je crois ! A moins que tu sois sourd ?" répliquais-je plus qu'énervée par leurs tentatives et surtout par la musique qui était presque a fond. Il s'approcha de moi a pas lents, je reculais face a ce géant un peu menaçant.
-" Pardon ? Tu peux répéter ? " demanda t-il sur un ton polie, trop polie...  je levais les mains comme pour lui demander de ce calmer. 
-" Je... euh j'ai rien dit..." murmurais-je. Je me retrouvais coincée entre le plan de travail et lui. 
-" Tu as une drôle de façon de remercier les gens alice ! Tu les agresse, tu refuse l'aide qu'on essaye de te donner ! Bien ! Fais comme tu veux mais ne te plains pas ! Je ne veux pas t'entendre te plaindre comment les gens te traitent en retour !" dit-il en pointant de son doigt ma poitrine. Puis il tourna les talons et nous laissa interloquées. Orlando me regarda avant de s'en aller me laissant avec Evangeline qui tenta de me distraire mais les mots de Lee résonnaient dans ma tête... 
Il avait certes raison... Mais que devais-je faire ??? Accepter l'offre qu'il me propose ?? Et pour quels raison ?? Je soupirais et décidais de me replonger dans la couture. Mais même la couture ne me calmais pas. Je poussais un grognement de dépit. D'accord il avait gagné ! Je me levais et filais toquer a la porte de sa chambre. 
Il l'ouvrit deux minutes plus tards, j'entrais et restais bloqué par la taille de sa chambre mais passons ! 
-" Ok je comprends que tu sois énervé par mon geste idiot ... Je ... Comment dire ... j'ai l'impression que vous me prenez par pitié ..." dis-je en tentant de trouver les mots. 
-" Si c'est pour parler d'excuses tu peux sortir Alice !" dit-il froidement. Je le fixais un moment avant de lever les yeux au ciel agacé. 
-" Très bien t'a gagné j'accepte de venir dans ton appart mais je ne veux pas   me mêler de ta vie  ni autre , on vit chacun de notre côté ok ? " demandais-je. Il me regarda avant de mettre ses mains dans les poches de son pantalon. 
-" Pourquoi ce revirement ? "
-"  On a besoin de savoir pourquoi !? je viens de te dire que j'acceptais et toi sa y est tu mets les freins ne regrette pas alors ou ne lance pas des phrases en l'air rien que pour appater les gens ! Comme tu le fais avec les journalistes !" Lançais-je en colère, je passais près de lui avant qu'il lance.
-" Très bien le retour sa sera dans deux jours ! A l'aéroport et tu ne me quitte pas d'une semelle quoi qu'il en coute !" avant que je claque la porte de sa chambre. 




La romance secrèteDove le storie prendono vita. Scoprilo ora