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/// c'est le dernier chapitre que je vous posterai moi-meme alors voila je veux vous remercier pour les 145k de vues, pour tojs vos commentaires géniaux surtout continuez a commenter, a voter, à conseiller mon livre... Vous êtes des lecteurs supers et je vous adore. A partir de maintenant ce sera un chapitre par semaine je suis dsl mais j'espère que vous continuerez a lire mon livre et a l'aimer ! En multimedia... Vous verrez de qui il s'agit avec le chapitre. 😜///

Ce soir on se retrouve tous au garage. Quand on entre il fait tout noir et ça sent le cambouis. On allume la lumière et apparaît devant nous toutes sortes d'objets habituellements entreposés dans ce genre d'endroit. Les nouveaux nous regardent comme si on était fous et on entre dans une voiture.

Je let le contact et je sors de la voiture. J'ouvre le coffre et prend l'escalier qui vient d'être révélé.

Ça peut paraître un peu kitsh ces souterrains cachés dans le coffre d'une voiture avec tant de manipulations à faire pour le découvrir mais ça s'avère vraiment utile. Dans notre ancienne base dans la bronx, on s'est fait cambrioler et autant vous dire que là-bas c'est des pros. Si on avait pas eu notre planque cachée sous des couches et des couches de parquet. Ils sont même allés jusqu'à en retirer une donc si on étaient protégés par une simple trappe ou un cadenas autant vous dire que ça n'aurait pas tenu longtemps.

On arrive en bas de ces escaliers et on pénètre dans notre véritable antre. La pièce est grande. C'est un carré et une façade entière de la piéce est recouverte par des écrans. Au centre de la pièce se trouve une table en verre épaisse.la pièce qui doit faire la moitiè de ma taille du rez de chaussée (environ 70m2) contient aussi trois deux grands lit qui sont séparés du reste de la pièce par de legers paravents. Dans un autre coin, se trouve trois grands canapés ainsi qu'une télévision géante.

On trouve aussi une cuisine aménagée le long de l'un des murs. Une table contre le mur à l'angle. Ne vous dites pas qu'on dispose de tout ce materiel pour rien, bien au contraire. Il nous est utile en cas de siège dans la maison ou de fouille ou survéillance.

On prend donc connaissance de la cible.

Nom : Sawyer

Prénom : benjamin

Surnom : Bloodjam

Activité : trafiquant d'êtres humains.

Situtation prévue : mort.

Les heures qui suivent sont passées à expliquer aux nouveaux comment faire des recherches sur une cible tout en le mettant en pratique.

///éclipse samedi journée///

PDV Sean :

Ce soir c'est notre première mission en tant qu'agents du gouvernement. On n'aura pas vraiment de rôle mais on va voir les garces en acion. Je ne sais pas comment elles vont s'y prendre vu qu'on a rendez-vous dans un club de strip-tease mais bon.

Depuis 16 h on a pas croisé les filles. A 22h on se rend au club. Tout est bruyant et les lumières sont tamisés. J'aperçoit des podiums sur lesquels dansent des filles à peine habillées. Au milieu de la salle se trouve un grand podium. Juste devant ce dernier se trouve un canapé rouge avec affalé dessus l'homme que nous cherchons.

C'est drôle parce que assis là, le costume totalement défait et un sourire ivre sur le visage, il n'a pas l'air du trafiquant qu'il est.

Alors que j'observe chaque recoin de la salle à la recherche d'Allison, tout le monde se tait. Les rideaux du grand podium s'ouvrent. Les strip-teaseuses s'en vont et tous les regards convergent vers les rideaux. Une fille s'avance. Elle porte des talons incroyablement haut ainsi qu'un legging en cuir noir. Ses longues jambes fuselés sont moulées à la perfection. La fille porte un haut résille transparent sur un soutien-gorge de la même couleur révélant une poitrine parfaite. La tête de la fille est recouverte d'un foulard noir laissant seulemet apparaître des yeux en amande sublimes. On ne voit pas la couleur des yeux avec l'éclairage. Elle s'avance vers la barre de pole-dance d'un pas assuré. La chanson de rihana BBHMM (b_tch better have my money) se met à résonner dans toute la salle. Même sans apercevoir ses yeux, je sais qui est cachée derrière ce foulard. Je le sais pour avoir malgrès moi rêvé de ce corps galbé tellement de fois.

Allison.

Elle enroule sa jambe autour de la barre et commence à monter tout en haut. Une fois arrivée en haut, elle accroche ses deux mains à la barre et positionne ses jambes en grand écart pendant qu'elle descends la barre en tournant à une vitesse folle. Allison est vraiment une déesse. Tous les hommes de la salle ont les yeux rivés sur elle. Elle enchaîne les mouvements en rythme alternant les grands écart, les twerks et les enroulements sensuels. Je ne parviens pas à détacher mon regard de ses jambes, de son soutien gorge et même de ces yeux en amandes faussement marrons.

A la fin du show, la cible qui n'a rien loupée du spectacle appelle un de ces hommes. Ce dernier va voir allison sur le podium et lui chuchote à l'oreille. Elle fait un ochement de la tête assuré et viens prendre la main du bloodjam. Quand ils disparaissent dans un couloir, une douleur me tord la poitrine. Je ne sais pas ce que c'est. et ne me dîtes pas que c'est de la jalousie bande d'mateurs du cucu la praline. C'est juste de la ... la ... la normalité voilà !

Je prends tout de même mon rôle au sérieux et les suit de loin.

J'entends le loquet dans une chambre et j'attends devant. Au bout d'un moment la porte se déverouille et Allison me laisse entrer. Le corps du mec est dans la salle de bain. Son cou marqué d'une trace circulaire. Ne voyant plus le foulard d'Allison, j'en déduis qu'il a servi à ça. Elle enl ève ses lentilles et les jette dans l'évier. Soudain on entends toquer à la porte.

« -Monsieur benjamin ?

-      merde, me chuchote Allison, fait ce que je te dis. »

elle enlève son haut résille ce qui ne change pas vraiment la vue que j'avais mais la voir en soutif reste un pur moment de plaisir. Elle l ève les yeux au ciel en voyant mon sourire et la direction qu'a pris mon regard. Elle enlève ses chaussures et je reviens brusquement à la réalité. Merde.

Je n'ai pas le temps de réfléchir qu'elle fait sauter les boutons de ma chemise et me l'enlève.

«  - oh, du calme tigresse, c'est pas vraiment le moment là.

-      ta gueule et enlève tes chaussures. Je m'execute, je ne suis pas fou non plus, elle vient de tuer un homme de sang froid.

-      Monsieur Benjamin, vous êtes là ? »

Il est persévérant le gars, et un peu inquiet je pense parce qu'il commence à essayer de défoncer la porte. Elle va bientôt lacher je le sens. Elle appuie de plus en plus fort sur ses gonds.

J'ai à peine enlevé mes chaussures qu'Allison me jette sur le lit. Elle s'assoies à califourchon sur moi, prend mes mains et les place sur l'agrafe de son soutien-gorge. Je la regarde ave un air de défi et elle me lance un regard du type « t'as pas interêt » accompagné d'un mouvement de tête vers la salle de bain.

Ok j'ai compris le message c'est bon. Je bouge donc mes mains sur l'agrafe tout en faisant bien attention de ne pas la détacher. C'est une première pour moi, d'habitude c'est l'inverse. Et j'admet malheureusement que ce n'est pas l'envie qui me manque. La seule chose qui me pousse à le laisser attacher c'est... comment ça s'appelle déjà ? à oui, l'instinct de survie.

On voit que la porte cède peu à peu. Alors que je la regarde intensément se déteriorer peu à peu, des lèvres douces et sucrés se posent sur ma bouche. Je suis surpris de lui rendre imédiatement son baiser, tout en ayant aucune idée de sa raison. J'ai l'impression que ses lèvres douces m'appellent à les embrasser en retour. Je demande discrètement l'accès à sa langue qu'elle accepte.

C'est de loin le baiser le plus incroyable que je n'ai jamais eu. Nos bouches bougent en synchronisation et même si ce baiser dure quelques secondes, c'est assez pour que je me rende compte à quel point j'aime ça. J'ouvre les yeux alors que nous nous embrassons à en avoir mal aux lèvres et je croise son regard. Il est entièrement bleu, bleu comme le ciel.

Le fait de savoir que je la rend comme ça m'exite encore plus. Ça fait longtemps que je sais que plus elle est apaisée et heureuse, plus ses yeux sont bleus et plus elle est en colère, plus ils sont vert. Et là ils sont de la couleur la plus bleue que je ne leur ai jamais vu. Je ressens le besoin de rendre ses yeux de cette couleur à chaque instant. J'ai un pincement au cœur en me disant que je n'aurai plus jamais l'occasion de reitérer ce baiser alors je l'embrasse avec encore plus de fougue.

La porte s'ouvre en fracas rompant ce moment magique.

100% lycéenne IOù les histoires vivent. Découvrez maintenant