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/// Merci pour tous vos supers commentaires ! Comme je vous l'ai dit je ne peux pas beaucoup répondre car je suis loin... Mais ça m'a fait super plaisir de vous lire .
Voici le nouveau chapitre :

Sean et moi on s'sassoit sur un canapé et elle s'assoit en face.

« - on peut parler à voix haute, après ses épisodes, elle dort d'un sommeil extrêmement profond.
- mais, ça arrive souvent ?
- après chaque mission. On ne comptais pas vous le dire et en fonction de votre réaction je verrai ou pas si je dis à Alba que vous savez. Je vais vous raconter une histoire. Il y avait une organisation criminelle surnommée Peter's Industry, ils avaient pour politique, la torture. Chaque personne qui leur parraissait suspecte était torturée. Les hommes s'étaient de la torture physique pûre et dure mais les femmes s'était autre chose. Vous connaissez sûrement le supplice de la goutte d'eau ? Le prisonnier est attaché à une table et des gouttes d'eau lui tombe constament sur le front, le prisonnier devenait fou à chaque fois. Et bien c'est ce qu'il faisait mais en pire. Parce que là, non seulement ils les obligeaient à subir les gouttes mais aussi, toutes les trente gouttes, quelqu'un venait pour les violer. Les filles ne pouvaient pas s'empêcher de faire le décompte jusqu'à leur abus, à chaque fois. Vous ne vous rendez pas compte à quel point c'est horrible. Vous êtes sans-cesse en train de compter le nombre de gouttes avant que vous ne vous fassiez abuser. Presque toutes les filles parlaient. Certaines filles enduraient plus que les autres. Il y en a qui ne parlaient pas. Sûrement parce qu'elles ne savaient rien. Alors, au bout de 2 semaines on leur proposait 2 choix, un flingue ou la porte. Celles qui choisissaient de partir étaient retrouvés morte d'overdose. Elles avaient essayées d'oubliet. Le flingue qui leur était proposé était rose avec des diamands. Les filles avaient l'impression que c'était un honneur de se tuer avec quelque chose d'aussi beau. C'était leur but à ces connards. Les trois quarts des filles qui avaient endurées les 2 semaines choisissaient le flingue. Et elle se tuaient. Je ne compte pas le nombre de victimes mais je peux vous dire qu'il y en a eu beaucoup, beaucoup trop. Quand les filles, après 2 semaines avaient subi des dizaines et des dizaines de vils, qu'elles n'avaient pas pu dormi parce qu'elle ne pouvaient pas s'empêcher de compter et que les seuls moments ou elles pouvaient se reposer étaient quand elles s'évanouissaient sous le violence, elles n'étaient plus rien. Elle se faisaient aussi tabasser à la place de violer de temps en temps. Un jour une jolie blonde est arrivée. Elle a tenu, les deux semaines, elle a été violée, battu à la limite de la mort un nombre incalculable de fois, mais elle n'a pas craqué. A la fin des deux semaines, elle était folle, ils lui ont proposé la sortie ou le flingue et elle a choisit le flingue. elle ne faisait que de rire comme une folle tout le temps. Mais quand elle a eu le flingue dans es mains, elle a baissé la sécurité et elle a arrêté de rire. Au contraire, elle s'est même illuminée. Les gens qui étaient dans la pièce ont cru qu'elle était heureuse d'enfin pouvoir se tuer. La pièce était insonorisée parce que parfois les executions avaient lieu de nuit. Il y avait 7 hommes dans la salle, ils ont fermés la porte à clé. Elle a approché le pistolet de sa gorge et au dernier moment, l'a retourné. Elle a abattu les 7 hommes avec 6 balles et un chiffon. Elle est ensuite sortie de la salle et a tué tous les gens du bâtiment. Elle a fait sortitr toutes les autres prisonnières et les as emmenés avec elle. Pendant que les filles étaient traité psychologiquement, elle a trouvé tous les membres de cette organisation et les as tous tués. De trente balles. Seul la dernière était mortelle, ils avaient une mort insoutenable. La plupart lui demandait de les tuer au bout de la 15eme balle mais elle ne le faisait pas. Elle se debrouillait pour les garder en vie jusqu'à la trentième. Elle a finit par atteindre le boss, Peter. Lui, il a été plus courageux que les autres et l'a supplié à la 25eme. A la 29eme, la blonde à fait semblant d'oublier ou elle en était et elle à recommencé à tirer, dans chaque endroit ou elle avait déjà tirer. Il est mort au 59eme. Chacun de ses meurtres, elle les a commis avec le pistolet rose et diamant qu'on lui avait proposé. Cette fille n'a, contrairement à ce que l'on pense pas eu la phobie des hommes ou d'être touchée, la seule phobie qu'elle à eu c'est celle des gouttes.

- Ok, génial, c'est super flippant mais tu ne vas pas nous dire que cette fille c'est Alba quand même ? Parce que oui elle est forte et tout mais c'est impossible de survivre à de telles torture. Elle passait ses journées à compter le nombre de secondes Qui lui restaient, personne ne peut surmonter ça pendant deux semaines. Même 1 viol est insupportable alors des viols en continu pendant que ton cerveau compte le temps qu'il te reste, c'est impossible ! »

Allison se lève et va chercher quelque chose dans le tiroir d'Alba qui dort toujours. Elle reviens vers nous et nous tends un flingue en diamants roses. Je ne me contrôle plus, je sors de la chambre en courant et part dans la salle de sport. Je tape et je tape si fort contre le punching-ball que mes mains sont en sang. Le visage d'Alba occupe mes pensés. J'ai l'impression qu'on m'a arraché le cœur. Je la revois, les larmes coulant sur ses joues alors qu'elle compte dans son sommeil. Elle a enduré ça pendant 2 semaines, sans arrêt. J'ai deux sentiments qu'y m'habitent. Je suis partagé entre la haine et l'admiration. Je savais qu'elle était forte physiquement mais je ne pensais pas qu'elle l'était autant psychologiquement. J'ai une terrible envie de la prendre dans mes bras. Je ne la vois pas comme une victime plutôt comme une survivante. Alors que mes mains sont couvertent de sang et mes yeux de larmes, une silhouette se place entre le punching-ball et moi. elle a un regard noir.

J'arrête immédiatement de frapper. Elle a un visage fatigué mais surtout, incroyablement en colère. Elle a les lèvres pincés entre elles et les poings serrés.

« - je peux savoir ce qui te prends, je la regarde et me demande si elle est au courant que je sais. Elle répond à ma question comme si elle avait lu dans mes pensés, j'en déduis que tu es au courant de ce qui m'est arrivé. Je peux savoir pourquoi tu te mets dans cet état.
- je ne supporte pas l'idée que quelqu'un te ... je n'ose pas finir ma phrase, il ne faut pas que je dise ça même si je le pense.
- Me... ?
- Te fasse du mal. Putainnnn quelle phrase de merdddddde, on se croirait dans un film cliché. On croirait que je suis un pauvre bouffon amoureux j'ai envie de me foutre une tarte. Je lève la tête après ma piteuse réplique pour constater qu'elle souris légèrement. Son regard n'est plus noir mais rieur. Elle se moque de moi. je m'apprête à partir me noyer dans ma honte quand une main fine m'attrape par le bras.
- Tu va pas rester les mains amochées comme ça ? »

Elle prend mes mains et m'entraîne vers la salle de bain. Elle me fait asseoir sur le bord de la baignoir avec autorité et va chercher un tabouret et des pansements. Elle place le tabouret en face de moi et s'assied dessus. Elle est seulemenr habillée d'un short de pyjama ras la fesse et d'un débardeur. Elle est tellement sexy c'est pas possible. Et c'est pas possible qu'elle m'exite autant, tous le temps. Dès que je la voie, je suis comme hypnotisé par ses gestes, par sa bouche. J'arrive même pus a regarder les autres filles, il fau que je me soigne. Et pas de la façon dont elle le fait avec mes mains parce que de la voir penchée en face de moi alors que ses mains inspectent les miennes c'est pas vraiment top.

PDV Alba :

Quel abruti ! se mettre dans des états pareil c pas possible. Qaudn je suis arrivée en bas après avor été reveillé par le claquement de porte de ma chambre et renseignée par Sean et Allison, je suis tombé sur Dave en train de se défoncer les mains contre un sac de frappe.

Je me suis mise entre les deux et j'ai vu que ses mains étaient rouges de sang. Ça m'a enervé je dois l'avouer. Même plus que ça n'aurait dû. Je n'ai pas supporté de voir ses grandes mains fortes couvertes de sang. J'ai encore moins supporté ses yeux remplis de larmes de rage. Quand je lui ai demandé la raison de ses actes et qu'il a répondu qu'il ne supportait pas qu'on me fasse mal ça m'a assomé. J'ai, malgré moi, resenti un grand élan de bonheur. Il avait l'air tout honteux d'avoir dit ça et j'avai terriblement envie de l'embrasser à en avoir mal aux lèvres.

Il a commencé à partir mais je l'ai retenu et je sais que c'est une grave erreur parce qu'assit en face de moi, le visage coupable et ses mains dans les miennes, je ne sais pas si je pourrai me contrôler longtemps.///

100% lycéenne IOù les histoires vivent. Découvrez maintenant