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///Grrrh ! Impossible de charger la photo que j'avais prévue pour ce chapitre. Allez, je fais passer les mots avant les images pour ne pas vous faire attendre///

PDV Allison :

///élipse du retour à L-A///

on a récupéré Maddy, j'en suis tellement heureuse. Elle m'avait manqué. Mais malgré tout, il faut se remettre au travail. On a trouvé leur point faible. C'est moi. ils me veulent. Enfin, IL me veut. Et c'est comme ça qu'on les aura. On va les attirer à nous et pour ça, il faut qu'ils sachent que nous sommes à Los Angeles.

je décide de me rendre dans les quartiers chauds avec Alba.

Il faut que je me fasse remarquer.

On viens à peine de rentrer à la maison qu'on doit encore bouger. Mais c'est comme ça, plus vite on remonte à eux, plus vite on en finit. Je met donc des habits assez courts et on part en moto. Il fait nuit et on s'engage dans une ruelle. Je repère un groupe de quatre mecs qui fument au pieds d'une maison.

On continue de marcher avec nos talons hyper hauts et je vois l'un d'eux nous pointer du doigts. Les autres nous regardent à leur tour et ils jètent leur joints avant de s'approcher de nous.

« -hey poupé, ça va ?
- ta gueule et continue ton chemin, tu fais pas l'affaire. Je dis ça avec la voix la plus menaçante que j'ai, ces mecs ne conviennent pas, c'est bizarre de dire ça mais ils sont 'trop gentils' par rapport à ce que je cherche.
- Ok tigresse c'est bon, il retourne vers ses potes. »

On continue un petit bout de temps et on commence à desespérer quand 3 hommes plus grands et plus baraqués que les précédents sortent de l'ombre. Un des gars tient une seringue, parfait, c'est ce qu'il nous fallait.

Il ne parlent même pas et s'approchent de plus en plus. Celui qui tient la seringue la tend vers moi et s'apprête à me la planter dans le cou quand je lui attrape le bras, le tord, et le pique avec sa propre arme. Avant que ses potes n'ai eu le temps de réagir, ils sont attaqués par une furie nommée Alba.

Ils se retrouvent à terre et je bloque à mon tour l'un des deux.

« - pour qui vous travaillez, je bluff en faisant croire que je pense à une mission alors que je sais très bien qu'ils n'ont aucune idée de qui nous sommes.

- je ne sais pas qui vous êtes, on travaille pour un réseau de prostituées c'est tout, le mec semble soulagé, il pense qu'on ne lui en voudra pas, que c'était pas personnel.

- D'accord, vous êtes haut placés là-bas ?

- ...

- tu réponds ou je te bute.

- Euh... celui que vous avez endormi avec la seringue c'est mon patron, il dirige les enlèvements.

- Et vous ?

- Ba nous on s'occupe des filles avant de les emmener dans leur établissement.

- Et je devine que vous vous amusez bien avec elles.

- Euh... ça arrive oui.

- C'est bien, comme ça on aura pas de remords.

- De qu... »

Un balle dans la poitrine, Alba achève le sien. On se tourne toutes les deux vers le mec à la seringue. Ce serai dommage qu'il meurt dans son sommeil quand même. J'ai entendu dire que la douleur intense réveille parfois des somnifères puissants. J'en parle à Alba et elle acquiesce.

Une balle dans chaque jambe et la belle aux bois dormants ouvre les yeux. La panique et la douleur se lit dans ces yeux. Je sais que seul la haine se reflète dans les notres. Deux trois balles de plus et il pousse son dernier cri.

Je lui arrache sa chemise, prends la seringue et grave 'P-G' il remontera à moi maintenant, je l'attends.

On rentre à la maison et personne ne nous pose de questions. On décide de se mettre devant un bon film et c'est Maddy qui choisit.

« - elle va nous sortir un film à l'eau de rose la reine des neiges. Prédit jordan. »

son sourire moqueur s'efface quand la musique d'expendable se repend dans la salle de jeux. Maddy va s'asseoir entre les jambes de Jordan, bien collée ; j'en connais un qui va passer le film à se contenir. Je le vois déjà serrer les dents.

Le film est une tuerie. C'est le cas de le dire ;) ok je me tais.

On part se coucher et je vois Jordan soulagé. Il l'est moins quand il remarque que Maddy est endormie. On lui ordonne de ne pas bouger parce qu'elle doit se reposer. Et parce que ça nous fait rire, il balance la tête en arrière et s'appuie plus confortablement sur le dossier. La tête de maddy est posé sur sa poitrine et on la voit se lever au rythme des respirations de mon frère.

Quant à moi, je me couche dans mon lit. En me rappelant le tango avec Sean. J'ai encore l'impression de sentir ses mains dans le bas de mon dos, sur mes cuisses. Stop, je dors là !

Je me réveille tôt, je me sens pas bien, j'ai un mauvais préssentiment, je regarde par ma fenêtre et je vois une dizaine d'hommes habillés en noir qui essaient de forcer le portail. Ce portail est résistent mais il finira pas lâcher et je ne sais pas depuis combien de temps ils sont dessus. Je m'écarte de ma fenêtre et cour dans la chambre d'Alba, je prends le verre de sa table de chevet et lui balance à la gueule.

« - ALBA ILS SONT LA IL FAUT REVEILLER LES AUTRES. »

elle se lève d'un coup et j'en suis presque étonnée mais je n'ai pas le temps pour ça. On descends les escaliers à toute vitesse et on réveille les garçons. On se rue après dans le salon réveiller Jo et Maddy. Je n'ai pas le temps de m'amuser de ses mains dans les cheveux de maddy.

Je regarde de nouveaux par la fenêtre pendant que les tourteraux émergent à toute vitesse. Les hommes viennent de franchir le portail et se dirigent vers la maison. Il est 4h, ils pensent qu'on dort c'est pour ça qu'ils ne courent pas. Ça nous laisse le temps d'aller dans la planque, je leur dit de me suivre et je cour jusque au garage. J'évite tous les obsacles à une vitesse folle. Quand je suis prise d'adrénaline, rien ne m'arrête. J'ouvre la porte et cours jusqu'à la voiture, je met le contact pendant que les autres arrivent, éssouflés. Jo qui ferme la marche pousse la porte. Le coffre s'ouvre lentement. J'entends des pas dans l'entrée. Merci le sol en marbre qui empêche toute disrcétion. Le coffre est enfin ouvert, tout le monde s'engouffre dedans et je passe la dernière. Alors que mon corps vient à peine de rentrer, je vois la poignée tourner, j'attrape le haut du coffre tout en me baissant du mieux que je peux, je le ramène à moi et la porte s'ouvre alors que j'entends le petit 'clic' qui signale que le coffre est entièrement fermé. J'ai le nez à deux centimètres de la paroi, ma respiration est haletante. Je dévérouille mes jambes et descends l'échelle. Tout le monde m'attends en bas. L'échelle doit bien faire trois mètres. C'est pour nous assurer une meilleure position de tire depuis la planque.

« - bon, il va nous falloir de la patience, on est bloqué ici pour une durée indéterminée. »

100% lycéenne IOù les histoires vivent. Découvrez maintenant