L'Ombre d'Ares (Spin of des SOD) [Terminée]

Chapitre 55 : Léo - De douloureux péchés - Partie 1

/!\ TW : Chapitre extrêmement Spicy 🔥🌶🥵😄😄! Sortez les ventilos 💨💨et les bouteilles glacées❄️❄️ mes petites beautés ! /!\

Ce chapitre est en deux parties, comme d'hab ...

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Après des aurevoirs émouvants durant les quels Max m'avait pris des ses bras, j'avais senti mon âme se lier à la sienne irrémédiablement. Puis Taylor m'avait donné un petit coup dans l'épaule avec son sourire de tombeur.

- N'oublie pas de m'appeler quand tu foutras le Bordel Tate. Je ne veux pas rater ça, et le Révérend non plus.

La surprise m'avait envahi et son regard vert pâle mais intense m'avait percuté de plein fouet. Il m'aiderait.

Je repartais en laissant mes filles, ma petit Chloé qui m'avait promis de veiller sur les Sentinelles.

Arès était aussi ému que moi et les SOA aussi, alors c'était moroses que nous entrions au QG, mais apaisés en sachant les filles en sécurité mais une surprise m'attendait.

Rhage.

Il avait le visage épuisé et m'avait pris dans ses bras avec douceur sous le regard froid d'Arès et attendrie de Clarisse.

Il murmurait des mots doux et désolés de ne pas avoir su protéger Nanouk et je savais que cette culpabilité allait le suivre jusqu'à la fin de sa vie. Comme moi.

Je déambulais dans les couloirs du QG, l'esprit perturbé par ce qu'il allait se passer le lendemain.

Les enchères.

Ma loyauté naviguait entre Gregorio et Arès me torturant de tous les côtés, et même si je prenais une décision, ce n'était pas comme si j'avais le choix de toute façon.

Je suis qu'une Ombre, un objet que l'on utilise à sa guise...

Arès était parti chez les Anarchy pour préparer tout le monde à la mise aux enchères et j'avais appris que Max et Tay lui avait donner la somme qu'il lui manquait en vidant leur propre compte. Les SOD étaient fauchés maintenant.

Quel merdier.

Gregorio était déterminé à me garder avec lui, Thomson à m'acheter et Arès à m'obtenir ma liberté.

Sans frapper j'entrais en soupirant dans le loft d'Hollywood qui releva brusquement la tête pendant que j'écarquillais les yeux.

Putain.de.bordel.de.merde.

Il était debout prés de la cuisine, complétement nu, une serviette blanche sur l'épaule et je ne pu contrôler mon regard qui glissa sur lui comme une cascade brulante.

Un torse puissant et luisant, des abdos en acier, un V bien tracé et une ...

Je détournais le regard aussi rouge qu'une pivoine.

- Non d'un chien Hach ! Tu ne sais pas mettre un boxer putain ! M'écriais je extrêmement gênée mais incapable d'effacer cette vision incroyable de mon esprit.

Sa peau dorée par le soleil, ses tatouages qui parcouraient son corps, ses muscles puissants. Il n'avait pas la carrure massive d'Arès mais n'avait pas grand chose à lui envier.