Chapitre 3: 1

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Quelques années auparavant... 

  Steven venait juste de fêter ses vingt et un ans et avait enfin pris la décision d'aller affronter son père. Il était tant qui lui parle de ses projets futurs avec Olivia. Il était vrai qu'elle était son aînée de deux ans comme on le disais si bien l'amour n'a pas d'âge. Mais il était claire que avant de passer à l'acte, il devait tout d'abord faire sa demande à Olivia. Erica et lui avait cherché pendant des mois la bague idéale et il espérait de tout cœur que celle-ci l'aimera sinon il pouvait toujours en acheter une autre. Lorsqu'il frappa à la porte des Hilares ce vendredi matin, ce fut Nicole une de leur servante qui leur ouvrit et la première chose qu'elle lui dit ce fut << Si vous cherchez Léon il vint juste de se rendre chez vous, il était si content; je crois que votre sœur y est pour quelque chose >>. Steven ricana tout doucement mais pas assez parce que Nicole l'avait remarqué. Il l'informa alors qu'il n'était en aucun cas là pour lui et lui demanda si plutôt il pouvait voir sa sœur Olivia. << Je ne savais pas que vous aussi étiez invité. Figurez-vous que mademoiselle vient...>> . Malheureusement, Nicole n'avait pas eu le temps de finir ça phrase car Elsa Hilare la mère de Léon fit son apparition et le poussa presque dans le salon réservé au invité. Là se trouait son mari Sébastien Hilare, le père de Léon, Le fils aînés des Mercoli, les parents de celui-ci et bien sur Olivia qui me regardait comme si elle venait de voir fantôme. Sébastien l'invita à s'asseoir et demanda à ce qu'on lui serve un verre. 

<< Je peux savoir ce qu'on fête au juste ? avait-il demandé complètement perdu

- Le futur mariage de ma chère et tendre fille avec mon futur beau fils que voici. >>

Olivia n'avait même pas osé soutenir son regard, ni lire la détresse qui se trouvait dans ses yeux. Depuis ce jour maudit, Steven n'avait plus jamais entendu parler d'elle.Tout ce qu'il savait c'est qu'elle s'était mariée en Russie et depuis plus rien et voilà qu'aujourd'hui elle revenait comme un fantôme fuyant l'enfer...

De nos jours... 

  Quand Tailla réussit enfin à calmer son excitation, elle se redressa et constata que Steven ne se trouvait plus dans la chambre. Elle sauta du lit et se rendit à la salle de bain pour vérifier s'il y était pas mais rien puis elle prit la direction du salon et le trouva allonger sur l'un des sofas, le visage recouvert d'un cousin. Elle le prit et à l'aide de ce cousin, elle le frappa au niveau des couilles. Celui-ci poussa un grognement avant d'ouvrir les yeux. Il eut juste de se mettre en position assise que Tailla s'était déjà installée sur ses genoux, tout en prenant la peine de se placer au niveau de sa bite qui se durcit aussitôt d'après la bosse qu'elle ressentait contre son cul. 

  - Tu as déjà faim ? lui demanda-t-il tout en laissant glisser une main sous son tee-shirt et attrapa un de ses seins nus. 

  - OUI... Très faim... répondit-t'elle tout en se délectant de ses caresses. 

Brusquement il s'arrêta et retira ses mains avant de lui ordonner de se lever. Elle obtempéra sans comprendre le pourquoi de son attitude. 

 - Qu'est-ce qu'il y a ? questionna t'elle perplexe. 

  - Si tu as faim, je serais ravie de te satisfaire mais tu devras assouvir ton désir par ta seule et unique volonté, pour ton seul et unique bien. 

  - C'est à dire ?

  - Que si tu veux du sexe, tu devras pour ça me forcer. 

Il se leva et l'embrassa fougueusement avant de déclarer qu'il allait prendre un bain. Tailla lui emboîta le pas et se posta devant lui pour l'empêcher d'entrée. 

  - Tu n'es pas sérieux quand tu me demandes de te forcer la main ?

Question idiote mais qui méritait tout de même une réponse.

  - Exactement.

  - Steven j'en suis pas capable.

  - Quand on veut, on peut crois moi. D'autant plus que tu devrais en profiter parce que je serais à ton entière disposition. C'est une opportunité à ne pas laisser passer. 

  - Je peux pas, désolé.

  - Tant pis. Maintenant, pourrais-tu m'accorder le passage ?

Elle lui lança un sourire narquois et se rapprocha plus près de lui, tellement que leur nez se frôlait.

  - A une seule condition.

  - Laquelle ? 

  - Embrasse moi. 

Pas besoin de le lui dire deux fois. Il prit possession de ses lèvres avec avidité, elle adorait le goût de ses lèvres et Tailla savait que jamais elle ne pourrait s'en passer. Il la souleva de terre sans arrêter leur baiser et elle l'entoura la taille de ses jambes. Il rejoignit la chambre et laissa tomber Tailla sur le lit avant e regagner la salle de bain. 

<< Quel merde !>>  


     

Le casino du sex.Tome 2: Maîtrise !Where stories live. Discover now