Le casino du sex.Tome 2: Maîtrise !

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Après ce petit moment de "détente" si on pouvait le dire comme ça, Tailla sortit rendre visite à sa sœur mais la retrouva déjà en meilleur compagnie. Il lui avait fallu plus de dix minutes pour se rendre compte que Tailla se trouvait dans la pièce. Normale vu avec qu'elle beau brun elle était en train de discuter. Il était grand, très grand à peu près deux mètres, et en plus au sens propre et à sa grande surprise, elle découvrit que c'était son petit ami. SON PETIT AMI ! Non mais depuis quand. Plus tard après que celui-ci eut pris congé d'elles, Ashley lui expliqua que ce dernier était Argentin et son tient brun était due au faite que sa mère était congolaise.

- Et où vous êtes-vous rencontré ? Lui avait-elle demandé

- Oh mais jamais. Aujourd'hui c'était la première fois.

Tailla la regarda interloqué, elle avait dû mal à savoir si c'était une blague de mauvais goût.

- C'est une blague ?

- Absolument pas. Je l'ai rencontré sur un forum et nous sommes très vite devenu proche mais ce n'est qu'il y a deux mois que nous avons décidé de nous mettre ensemble. Je devais même me rendre en Argentine parce qu'il comptait me présenter à ses parents sauf qu'il y a eu l'accident. Tu n'étais pas là donc tu ne pouvais pas savoir seule Sandra était au courant.

- Tu comptais au moins m'en parler.

- Pour que tu me décourages en trois phrases. Non merci. Mais bon on a assez parlé de moi. Comment est-ce que tu vas toi ? Quoi de neuf avec ton Donovan ?

- Je vais me marier.

Cette fois-ci, ce fut Ashley qui la dévisagea avant de mourir de rire. Surprenant.

- En fait je me doutais que ça risquait d'arriver mais grave pas avant un mois au moins. Je pourrais savoir à quoi est du cette précipitation ?

Tailla détourna aussitôt la tête et fit mine de fouiller son sac.

- Tu sais quoi hier j'ai fait la connaissance d'un des amis proches de Steven, Brice. Il est plutôt beau non mieux il est canon de chez canon je devrais te le présenter peut-être que...

- Tailla arrête de tourner autour du pot. Qu'est-ce qui se passe ?

Elle inspira un grand coup avant de déballer.

- Papa notre père, elle lui prit la main et celle-ci s'y agrippa comme si elle avait peur de s'écrouler. Papa... est mourant... Il ne lui reste plus que quelques mois à vivre.

- Tu mens n'est-ce pas... Dit moi que c'est une blague. Hurla-t-elle. Dis-moi que tu plaisantes ! Non, non...

Une infirmière déboula dans la pièce et lui demanda de sortir elle s'exécuta consciente qu'elle en avait déjà assez fait et s'en alla. Une voiture l'attendait juste à l'entrée mais en descendant marche pas marche les escaliers qui l'y conduisait elle percuta une femme et manqua de tomber tête la première.

- Vous ne pouvez pas faire attention ! s'écria une voix féminine, celle à qui elle venait de lui rentrer dedans.

- Désolé. Ce n'était pas mon intention.

- Eh ben j'espère.

Contre tout attente, Tailla reconnut la femme qui se tenait juste en face d'elle.

- Olivia ?

Elle relava aussitôt la tête la foudroyant du regard.

- Excusez-moi mais on se connait ?

- Je suis Tailla, Tailla Belbaum. Nous nous sommes rencontré au chalet vous vous souvenez ?

Elle sembla réfléchir une seconde avant de déclarer.

- Oh ! C'est donc vous ! Désolé mais je n'ai pas pour habitude de retenir le nom et le visage de ceux que je considère comme indésirable.

Tailla se refroidit aussitôt la voix de cette femme était différente, elle n'avait rien avoir avec celle-ci qu'elle avait rencontré.

- Je vous demande pardon ?

- Je vais être franche avec vous Tailla. dit-elle en se rapprochant le plus possible de cette dernière. Je ne vous apprécie pas du tout et vous savez pourquoi parce que vous êtes en train de toucher à ce qui m'appartient et je déteste les voleuses. Alors pour votre bien, je vous conseille de vous tenir à très longue distance de Steven Donovan.

- Je n'ai aucun ordre à recevoir de vous et puis qui êtes-vous pour venir dire une chose pareille ?

- Que vous pouvez être naïve, Il ne vous aime pas, il ne vous aimera jamais. Vous n'êtes qu'un jeu pour lui, un passe-temps, très vite il se lassera de vous. Steven n'a jamais eu d'yeux que pour une et une seule femme, moi et ce sera le cas jusqu'à ce que je décide du contraire. Parce que au cas où vous l'ignorez très chère je suis la femme de sa vie.

Sur ces paroles, elle lui fit une révérence avant de continuer sa route.

Tailla vit le trajet du retour comme interminable, tellement elle ne pouvait s'empêcher de compter chaque minute et chaque seconde passé dans cette voiture. Lorsque celle-ci se gara enfin, elle descendit aussi vite que possible à la recherche d'un moindre moyen de distraction pour l'empêcher de penser. Elle courut vers la porte d'entrée et se dépêcha de rejoindre l'intérieur. Elle allait rejoindre la chambre mais beaucoup trop pressé s'arriver en haut, elle décida de prendre l'ascenseur et surprise. C'est également à cet instant que Brice la rejoignit.

- Vous montez ? lui demanda-t-il et elle répondit oui de la tête.

Les portes de l'ascenseur s'ouvrirent et tous deux y pénétrèrent avant que celle-ci ne se referme sur eux. Une seconde plus tard, elle se retrouva plaquée contre une paroi de l'ascenseur les mains de Brice une au niveau de sa cuisse et l'autre autour de sa taille.

- Qu'est-ce que tu fais ? Tu es devenu fou ?

Elle essaya de se dégager mais rien à faire au contraire il resserra la pression.

- Je suis désolé pour Steven mais là je ne peux vraiment plus me contrôler, il faut absolument que j'y goutte, tant tes lèvres me font envies.

Et il prit possession de ses lèvres. Un baiser lent, tendre presque enivrant qui au fur et à mesure prit une ardeur commensurable, fulgurant qui lui traversa l'échine la faisant frissonner. Il colla son corps au sien et elle sentit toute la pression de son sexe contre le sien dur et tendu prêt à l'action. Et tout à coup. Les portes de l'ascenseur s'ouvrirent, mettant fin à leur baiser tous les deux haletant et presque en sueur. Brice sortit et de nouveau les portes se refermèrent cachant une Tailla sous le choc et bouleversé.

<< Dans qu'elle pétrin vins-tu encore de te mettre Tailla ? >>

RÉPONSE :

<< Rien de grave c'était juste un baiser... N'est-ce pas ? >>