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<< Plus je la regardais plus pour moi il était évident que cette femme me rendrait fou. J'ai failli tuer mon meilleur ami. Oui j'ai dit meilleur ami parce que même en dépit de ce qu'il avait pu me faire. Il n'en reste moins qu'un lien nous unissait, lien qui venait de se briser et dont à présent il ne restait plus rien à part de la haine. Je ne regrettais absolument pas la correction que je venais de lui donner. Il n'avait pas à s'en prendre à Tailla et qui plus ait sur mon toit. Mais où va le monde ? Je la contemplais à présent. Nous venons d'effectuer mon sport préféré et comme à chaque fois elle me regarde avec ce même regard ardent plein de promesse. Elle me sourit, un sourire au quel il m'est impossible de résister. Ce qui me donne encore envie de la baiser. Mais tout à l'heure j'ai bel et bien ressenti se désir qu'elle avait de vouloir s'abandonner pour oublier. Je ne pouvais pas l'en vouloir pour ça elle en avait besoin. 

  - A quoi penses-tu ? me demanda-t-elle de sa sa voie mélodieuse. 

  - Rien. Je repensais à ce qui venait de se passer. Tu aurais dû me laisser tuer cette abrutie, ça aurait été un grand bien pour l'humanité. 

  - Pour qu'après tu te retrouves en prison ?

  - C'était de la légitime défense. Il s'est introduit chez moi et à essayer d'enlever ma femme du moins ma fiancée. 

  - Ce n'était pas une raison. Léon et toi vous avez êtes comme des frères et...

  - Étions. S'il te plait conjugue le bon temps. Il m'a brisé, il nous a brisé. Ce qui est arrivée c'est entièrement de sa faute à lui. Si je l'avais voulu, aujourd'hui tout serait encore comme avant. J'ai peur Tailla, j'ai vraiment peur de ce va arriver par la suite. Comme j'aimerais ne pas avoir hérité de toute cette fortune. Mon père m'aurait évité de sérieux problème surtout que maintenant je ne sais plus où j'en suis. Je ne sais même plus quoi penser de lui.

Elle se redressa légèrement et le fixa d'un œil sceptique.

  - Qu'est-ce qui te fait dire ça ? je te trouve bizarre. Tu es comme ça depuis ta discussion de ce matin. Avec qui étais-tu ? Qu'as-tu appris de si grave ?

Je me couvris le visage des deux mains. Je n'avais aucune envie de me souvenir de ce que j'avais vu et encore moins de ce que Warner m'avait révélé. C'était beaucoup trop dur, beaucoup trop choquant. 

  - Il n'y a rien, rien du tout. Tu devras arrêter de te faire des idées. Tu ferais mieux de dormir maintenant tu en as besoin.

  - Pourquoi ai-je la mauvaise impression que tu me caches quelque chose ? 

Décidément, elle lisait en moi comme dans un livre ouvert.

  - Tout le monde à ses petits secret.

Mes yeux virèrent alors vers son poignet où se trouvait encore le bracelet que je lui avait offert. Un large sourire éclaira mon visage et elle le remarqua. Je lui pris la main et déposai une pluie de baiser le long de son bras. Les poils de son corps se hérissent aussitôt signe qu'elle frissonnait. J'adorais voir l'effet que je lui faisait. Elle avait l'air si fragile dans mes bras, si vulnérable. Comment ne pas vouloir la protéger. Je me penchai légèrement pour embrassai un de ses seins et elle poussa aussitôt un gémissement. Comme c'était agréable. Puis doucement je me redressai et d'une main, lui caressa les cheveux. 

  - Dors ! lui ordonnais-je 

Elle en profita pour me voler un baiser avant de sombrer dans un profond sommeil. Il ne me fallut pas beaucoup de temps pour faire pareille. 

Le jour vient de se lever, et comme d'habitude Tailla dort paisiblement. J'allai prendre un bon bain chaud. Mais je remarquai aussitôt que cette baignoire était vide son Tailla pour me tenir compagnie. Cette pensée me fit bander. Je préférai ne pas trop m'éterniser et en sortie presque aussitôt après avoir fini. Je fouillai quelque chose de décontracté dans mon dressing. J'en sortis un jean et un polo de couleur belge. Je m'habillai en quatrième vitesse et chaussée d'une simple paire de pantoufle. Je descendis. D'après ce que j'en déduisis Dalva avant déjà débarrassé mon sol du sang de cette ordure de Léon. Tant mieux d'ailleurs. Je me dirigeai vers la cuisine et constata que cette dernière se trouvait déjà aux fourneaux comme d'habitude à cette heure de la matinée. Sans même que je n'ai à lui demander quoi que ce soit elle me servit une tasse. Je la remercia et elle se remit dans la préparation du petit déjeuner. 

  - D'après la lumière qui illumine ton visage j'en déduis que tu as encore bien dormi ? 

  - Plus que tu ne puisses l'imaginer. lui répondis-je joyeux. Et je compte bien le garder jusqu'à ma mort.

Dalva rit de bon cœur. Je savais qu'elle était heureuse pour moi.

  - Pourquoi t'es-tu réveillé sitôt ? Vu ton accoutrement il est claire que tu ne comptes pas te rendre au bureau.

  - Tu as raison. Je compte juste réorganiser la sécurité de cette demeure. Elle vraiment beaucoup trop grande. 

  - Tu comptes engager du personnel ? 

  - Si on veut. J'ai de mandé de l'aider à la police. J'ai besoin de quelqu'un de confiance qui puisse protéger Tailla et mon enfant. Je ne veux pas les perdre. 

  - Je l'ai remarqué. Tu as laissé Léon presque mort hier. Tu y es aller beaucoup trop fort. 

  - Ce sale bâtard pénètre dans ma propriété pour m'enlever ma femme et tu dis que c'est moi qui suis aller trop loin ? Décidément je ne vous comprendrais jamais vous les femmes.

Je me lève et quitte la pièce emportant avec moi ma tasse de café que j'allai très tranquillement dégusté dans le salon principale en feuilletant mes mails et lisant les informations. Après quoi, je dû m'occuper de cette histoire de sécurité. Tailla descendit soudain alors que je me trouvais en pleine discutions avec Warner. Elle était habillée légèrement, beaucoup trop légèrement. Elle ne portait rien d'autre à part ma chemise de la veille. Je voyais bien Warner saliver devant ma petite poupée mais c'est à peine qu'elle remarqua sa présence et couru me rejoindre. D'un œil sceptique elle déposa les yeux sur les deux messieurs avec qui j'étais entrain de discuter.



Le casino du sex.Tome 2: Maîtrise !Donde viven las historias. Descúbrelo ahora