Chapitre 40. [Corrigé]

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ATTENTION PASSAGE A CARACTÈRE SEXUEL, SI VOUS ÊTES JEUNE ET NE VOULEZ PAS PERDRE VOTRE INNOCENCE VEUILLEZ PASSEZ LE PASSAGE INDIQUER PAR DES PHRASES EN GRAS SURLIGNEES ! Bisous ;) 

Au bout d'une demi heure de voiture, nous arrivons devant une plage totalement déserte. 

Il me prit la main après que l'on soit descendu de sa voiture, et nous commençâmes à marcher vers le bord de mer. A peine avais-je commencer à marché dans le sable que mes pieds s'enfoncèrent dedans, j e dû donc enlever mes chaussures, car cela commençait à désagréablement me gratter à l'intérieur, du fait que des minuscules grains étaient arrivés à rentrer.

Markus enleva les siennes deux minutes plus tard, et nous les posâmes sur le sable. Nous nous assîmes côte à côte, et je regardai le soleil disparaître à l'horizon.

- C'est magnifique, lui dise-je finalement après quelques minutes de silence. 

- Je suis le seul à pouvoir profiter de ceci, m'avoua t-il.

- Pourquoi tu me l'as fais partager ?

- Je ne sais pas, parce que je t'aime bien. Tu es la première fille qui à accepter de venir dîner avec moi.

Je me retournai violemment dans sa direction, les yeux écarquillés.

- Nan ? Tu déconnes ? Bordel mais les filles doivent tomber comme des mouches devant toi !

- Étrangement, non. Elles sont toutes la pour mon argent ou pour ma grosse... ma grosse... bref pour autre chose, souffla t-il entre le rire et la fatigue. 

Je roulai des yeux, mais ne pus m'empêcher de sourire.

- La modestie, Markus, la modestie...

Il éclata de rire et continua :

- Nan sérieux, j'attend la bonne depuis que ma mère m'a fait la description complète de ma future femme. Mais ça me rend complètement barjo je crois. 

- Ne désespère pas, franchement je suis hyper contente que tu m'ai montré ça, le prochain mec qui m'offre un coucher de soleil, je l'épouse, promis, dis-je en haussant les sourcils, moi aussi désespérée. 

- Je serais présent alors. 

Je souris bêtement.

- Je vais t'aider dès maintenant en te présentant toute les filles que je connais. 

- Mais, en attendant de trouver la bonne je suis quand même en compagnie d'une très belle brune, susurra t-il en affichant un sourire en coin et en se levant soudainement. 

Il commença à se déshabiller, et je m'écriai, surprise :

- Oh, tu fous quoi là ?

- Je vais me baigner ça se voit pas ?

Mon visage s'illumina, et je me déshabillai le plus vite possible, en restant en sous vêtements.

- Le dernier dans l'eau est une monocouille ! criai-je en me mettant à courir comme une dondon dans le sable en direction de la mer.

Bien sûr, la monocouille ne s'appliquait pas à moi puisque je n'avais pas d'attributs masculins...

Je courus aussi vitre que je pus vers la mer, en projetant à chaque foulées du sable derrière moi.

 Mais je fus coupée dans mon élan par de grandes mains puissantes qu m'emprisonnaient les hanches. On me fit tournoyer dans les airs, et je poussai un cri de surprise. 

- Dites donc ! m'exclamai-je. 

Markus me retourna dans son sens, et j'enroulai mes jambes autours de sa taille. ​Il nous fit rentrer dans l'eau, et je me collai encore plus contre lui, car l'eau était un peu froide, je ne m'étais pas attendu à ce changement de température car il faisait assez chaud en cette période de l'année et le contraste chaud froid ne faisait pas bon ménage.  

Je ne sais d'ailleurs pas à quel moment cela parti en couille. 

 Mon regard croisa le sien à peine nous nous étions arrêtez à une profondeur ou l'eau s'arrêtait à mi poitrine et il prit ça pour un feu vert.

DEBUT DU PASSAGE CHAUD PATATE. 

Il m'embrassa, mais je ne ressentis pas le frisson de plaisir que j'avais ressentis quand Andrei m'avait embrasser quelques semaine plus tôt. 

Mais bon, je m'en foutais, je n'étais pas venu là pour penser à lui. Surtout dans un moment comme celui-ci. 

Je plantai mes ongles dans son dos, et il m'encercla le bas du dos de ses grandes mains afin de me maintenir coller contre lui, préservant ainsi notre chaleur corporelle mutuelle. 

 Il gémit sur mes lèvres , et je fis de même lorsque je sentis une bosse contre mon bas ventre, provenant de sous son caleçon.

Mon bassin commença à rouler sur celui de Markus sans que je ne puisse rien y faire. Mon corps agissait seul, selon ses envies. 

Il s'écarta de moi brusquement, brisant ce moment et me demanda, soudain soucieux :

- Est-ce que tu as déjà...? 

Je hoche la tête vivement, en évitant de lui dire que j'avais perdu ma virginité dans un viol. Je n'avais pas envie de me rappeler ces moments passé, extrêmement douloureux. 

Un éclair de soulagement passa dans son regard, mais je n'y fis pas attention, me concentrant plutôt sur mon envie.

Il me décolla un peu de lui ce qui laissa la place à un courant d'eau froide me faisant frissonner,  et une seconde plus tard, je sentis un doigt écarter ma culotte. L'eau froide caressa ma peau, et l'érection de Markus s'appuya contre l'entrée de mon vagin.

je retins mon souffle, attendant avec impatience qu'il le fasse. D'un coup violent de boutoir qui me fit hoqueter de plaisir, il me pénétra, faisant de violent vas et viens. 

Je me cambrai immédiatement contre son torse, en déplaçant mes mains dans sa tignasse blonde cendré. Il remonta une main sur mon sein gauche et je le suppliai :
- Vas-y...
Il accéléra la cadence, et quand j'arrivai au bord de la jouissance, tendue à l'extrême, il s'arrêta et me regarda, pour finalement me dire : 

- Tu prends la pilule ?

- Mais oui ! Vas y bordel de merde !

Il donna l'ultime coup de reins, et je grimpai aux rideaux en même temps que lui. Il poussa un râle grave et absolument sexy, pendant que je poussai un gémissement de plaisir en lui griffant le dos puissamment.

Sa queue palpitait encore en moi pendant que je m'effondrai sur lui, tremblante et qu'il déposa sa tête collante contre mon épaule. 

FIN DU PASSAGE CHAUD PATATE. 

- Bordel, t'es hyper serrée, souffla t-il en essayant de récupérer son souffle tant bien que mal. 

- Tu es sûr que c'est pas plutôt toi qui est hyper gros ? dis-je pour plaisanter. 

- Peut être bien que si au final... murmura t-il en souriant contre ma peau. 

Je lui tapai l'épaule en rigolant, et je me décollai de lui, quittant la chaleur de sa peau. Je descendis de sa taille à contre-cœur, affrontant ainsi la fraîcheur des mers, et je me retournai afin de retourner vers la berge. 

C'est à cet instant précis, lorsque j'avais complètement tourner le dos au beau russe,  que je remarquai qu'une moto et deux 4x4 venaient d'arriver sur la plage. Je continuai cependant à marcher lentement vers le bord, usant de mes jambes encore flageolante et courbaturées,  et une fois que je l'eus atteints, je soufflais un bon coup en étirant mes membres engourdies. Je relevai la tête, et je me décomposai sur place. 

Ne me dites pas que...

Andrei, habillé d'un jean, d'un t-shirt, et de grosse boots noires, comme à son habitude me direz vous, marchait vers moi rapidement, d'un pas lourd. 

Il avait les poings serrés, la mâchoire contractée, et une veine battait à sa tempe,tandis qu'il me regardait d'un air menaçant. 

Gneugneu, Andrei pas content.

Only Gang. [TERMINÉ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant