Chapitre 59. [Corrigé]

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Désolé du retard de publication mais j'avais besoin de repos après ma semaine de révision et d'exams 🙂 bisousss mes ptit phoques.

Andrei avait l'air menaçant. Je me mît à quatre pattes sur le lit, et je le regardai, consciente qu'il avait une vue d'enfer sur mes seins. Il se leva silencieusement, et avança jusqu'au lit.

-Anna... m'averti t-il de sa voix rauque, dû au désir. 

Il était habillé d'un bas de costards et d'une chemise blanche tachée de sang. Je saisis sa cravate, et je l'attirai a moi. Il amorti la chute avec ses deux bras puissants, et il me regarda dans les yeux. 

-A peine plus d'une journée sans toi et c'est déjà trop long, murmura t-il.

Nos lèvres se touchaient presque. Je sentais son souffle chaud sur mon visage, et mon bassin frotta contre le sien automatiquement, avant qu'il émette un râle. 

Je nous fis rouler sur le côté, et il me prit les hanches quand je me retrouvai au dessus de lui, à califourchon. 

Je déboutonnai sa chemise et il enleva mon t-shirt, laissant à l'air libre ma poitrine tendue de désir. Je passai mes mains sur son torse musclé et ne pouvant plus attendre, je m'attaquai à sa braguette. Je baissais son pantalon, et il m'aida à  l'enlever. Quand il ne fut qu'en caleçon, je lui retirais complètement sa chemise, et il me retourna violemment et se remit au dessus de moi. Il saisit mes deux poignets, qu'il plaqua sur le matelas, de chaque coter de ma tête.

Je déglutis quand il me regarda très sérieusement. 

-Écoute moi bien Anna. Si je te baise, la, maintenant, tu ne pourras plus jamais baiser avec quelqu'un d'autres. Tu seras à moi, pour toujours. 

Ma respiration s'accéléra. Cette perspective m'excitais malgré moi. 

-Très bien, qu'il en soit ainsi, chuchotai-je. 

Passage moins de 18 ans !! c: 

Il glissa sa tête vers ma gorge, et la parsema de baisers. Il ouvrit la bouche et lécha du haut de ma gorge, jusqu'en bas. Son sillage chaud se transforma en fraîcheur, et il me mordilla l'épaule lorsqu'il se détourna de mon cou. 

Il me libéra enfin les poignets, mais je sentis ma culotte s'enlevée presque aussitôt. 

Je laissai échapper un rire nerveux et tout de suite, je le sentis à l'entrée de mes chairs. À quel moment avait-il enlever son caleçon? 

D'un coup puissant qui faillit me faire partir, il me pénétra. Je passai mes jambes autour de sa taille, et je m'agrippai à ses épaules en mettant ma tête dans son cou. Je l'embrassai sur l, encore et encore, jusqu'à ce qu'il accélère ses va et viens. Il encra ses doigts dans la peau de mes fesses si fort que je lâchai un râle de douleur. Il l'entendis alors et il desserra un peu son étreinte, et je je souris dans son épaule. 

Il gémis bruyamment, et j'émis une plainte de plaisir à mon tour. 

Il s'enleva complètement de moi, et j'allais protester, quand il revint encore plus violemment que la première fois. Alors que je ne m'y attendais pas du tout, le plaisir arriva comme un ras de marré et je jouis instantanément, en même temps que lui. 

Il s'effondra à côté de moi, et je posai ma tête sur son torse. 

Fin du passage moins de 18 c: 


Lorsque j'entendis sa respiration ralentir, je me levai du lit, et j'allais m'habiller avec un jean et un pull noir, mon bombers en cuir, et j'attachai mes cheveux en queue de cheval. Je pris mes éternelles Rangers, mon arme et mes clés de moto et je sortis de la chambre. 

Je savais très bien ce que maintenant j'avais à faire, et j'allais le finir sans tarder. 

Je dévalai les escaliers, en faisant attention à mes blessures, et je passai le salon sans un regard. 

J'allais ouvrir la porte et m'engager dehors, quand on me sauta dessus en hurlant. Je m'étalai sur le sol, et je me rendis compte que c'était Ellen. 

-T'es revenu j'y crois pas ! me cria t-elle dessus. 

Je fronçai les sourcils. 

-Bah oui, mais tu peux t'enlever s'il te plaît. Je me suis fais tirer dessus et j'ai une blessure sur laquelle tu appuie hyper fort, lui demandai-je. 

Elle s'enleva de moi, et me fusilla du regard, maintenant lucide et remise de ses émotions. 

-Ou étais tu ! 

-Tu le sais très bien, tu veux juste voir si je vais mentir ou non, dis-je simplement en me relevant et en m'époussetant. 

Son visage se décomposa à ma phrase que j'avais prononcé sèchement. 

Les autres du gang rappliquèrent aussi, et me regardaient très, très mal. Sauf Markus qui vint me prendre dans ses bras. Je lui donnai une grosse tape amicale dans le dos avec ma main gantée, et je me reculai. Mason et Jason se décidèrent eux aussi, et vinrent me serrer la main avec des petits sourires. 

-Ne dites pas à Andrei que je suis parti. Quelle heure est t-il? 

-minuit moins dix, pourquoi ?

Si tard que ça ? Je sortis mon pistolet et je le rechargeai devant eux sans faire plus attention à l'heure tardive, en soupirant devant sa question stupide. 

-Parce que je vais aller niquer des mères bien sûr.

Toutes la petites troupes fronça les sourcils, assez surpris. Je me retournai, et je déclarai, lassée de cette méfiance qui flottait dans l'air depuis tout à l'heure :  

-Je vous promet, que je vais détruire la Giglio Nera. Ils n'auront pas Seattle. C'est tout ce que vous avez à savoir. 

Je franchis la porte sans me retourner et je me dirigeai d'un pas conquérant vers ma moto.

Only Gang. [TERMINÉ]Where stories live. Discover now