Chapitre 50. [Corrigé]

16.5K 839 20
                                    

Merci pour les 60 000 vues ! Je suis toucher que cette histoire vous plaise car c'est une de mes meilleures histoires a présent ! ❤️


Je levai mon Uzkon Tacticale dans sa direction, et je visai sa tête. Elle baissa son arme, et leva les bras en l'air.

-Je ne te veux pas de mal ma chérie, je veux juste te parler, m'expliqua t-elle. 

Ma cage thoracique se soulevait par saccade, et je baissai légèrement mon arme. Ma mère sourit gentiment, et s'approcha de moi lentement. Elle pose sa main sur le Uzkon toujours légèrement pointé sur elle, et le baissa. Ensuite elle mit ses deux mains de chaque côtés de ma tête, et me regarda attentivement. 

-Qui es-tu vraiment ? sifflai-je.  

-Je suis Nina Alario Gallieni, femme du parrain de la mafia des BlackCoal, plus connue sous le nom de Giglio Nera. 

-La Lys Noire, soufflai-je, choquée. 

-Exactement, et à ce que je sache, tu t'en ai fais tatouer une il y a quelques années. 

-Oui.

-Et pourquoi?  Tu ne savais même pas que notre mafia représentait une lys noire. se demanda t-elle. 

-Je me souviens juste que je vous entendais souvent vous dire que vous aimiez la lys noire, maintenant je comprend pourquoi. 

Elle sourit. 

-Déjà à l'époque tu étais doter d'une extrême intelligence mi dolce. 

Le canon d'une arme se posa sur ma tempe, et je soufflai de déception. 

-Venant de toi papa ça ne m'étonnais même pas, dis-je simplement. 

Ma mère regarda derrière elle, un sourire espiègle plaquer sur la face. 

-Je te l'avais dis Fernando, notre fille est très intelligente.

-Je sais Nina, mais nous avons déjà assez perdu de temps, il faut partir, l'hélicoptère nous attend dehors. 

J'entendis alors les hélices d'un hélicoptère tourner au dehors, puis je sentis une poigne m'enserrer le bras. 

-Aller viens dolcezza, on y va, on rentre à la maison, me dit mon père. 

-Pardon? m'écriai -je. 

-Oui, en tant que future héritière de la mafia de la Giglio Nera tu dois venir avec nous pour assurer notre héritage, et aussi notre descendance tant qu'on y est. 

Je ricanai nerveusement. 

-Il en est hors de question, et puis je ne veux pas de votre mafia. 

-Mais tu n'as pas le choix, déclara mon père en me traînant vers l'escalier. 

Je m'arrêtai net en me tenant résolument à la rambarde de l'escalier.

-Mi dolce, ne résiste pas sinon ton père va être plus brute avec toi et ça ne va rien arranger.

Je regardai Andrei, se tenant la jambe en tremblant. Il me fixait, attendant de voir ce que je comptais faire. Si j'allais les trahir ou non. Je vis malheureusement que sa blessure avait recommencées à saigner, cette fois-ci abondamment, et de la sueur coulait de son front.

 Merde, il avait de la fièvre. Si je ne faisait rien, il allait mourir. Les gens allié à Andrei était tous cacher derrière des meubles, et me regardaient avec intérêt, voulant savoir ce que j'allais faire aussi. 

Jason, son pistolet à la mains m'interrogeais du regard, attendant mes ordres ou un signal de ma part. 

Une idée me vint alors. 


-D'accord, je vous suis.

Les personnes présentent furent secouer d'une exclamation surprise, et froncèrent les sourcils de colère. 

-Bonne réponse, ton plus jeune frère va être content de te rencontrer.

Pardon ? Mon frère ? 

Il me fit monter les escaliers, très vite, mais j'ignorais ou il m'emmenait. Ma mère nous suivait assurément, chargeant ses armes au cas où. 

Mais...? J'avais encore les miennes. 

Il me traîna jusqu'à une chambre avec un balcon qui donnait sur la piscine, et sorti sur celui-ci. Un hélicoptère nous tendis une échelle, et bien sur, je montai en première. 

Tous les gang alliés étaient aux fenêtres, attendant un quelconque signe de rébellion de ma part face à mes parents. Je montais sagement sur l'échelle et m'installai sur le siège arrière de l'hélicoptère, sans protester. 

Quand mes parents montèrent à leur tour, mon père monta sur le siège de copilote, tandis que ma mère se mit en face de moi. Lorsque le pilote donna l'ordre de partir, je me dis que c'était le moment, je me levais donc à la vitesse de l'éclair, tirai sur le pilote, tirai sur les deux jambes de ma mère, et sur une des jambes de mon père. 

Je ne perdis pas une minute de plus, j'ouvris la porte coulissante de l'appareil alors que ma mère me retenait par la taille. Je la poussai contre le siège tandis que je repoussai le bras de mon père, puis je plongeai tête la première dans le vide. 

Je me retrouvai immerger dans l'eau, car bien sûr, j'avais sauter dans la piscine. Je pus retrouver un rythme cardiaque normal quand je remontai à la surface. 

Nous n'étions qu'à 10 mètres de hauteur, soit la hauteur du manoir d'Andrei, et heureusement que l'hélicoptère se trouvait au dessus de la piscine, car sinon je me serais écraser sur le béton.  

Je ne perdis pas de temps et m'emparai de mon semi automatique, tirant en rafale sur l'hélicoptère qui avait commencer à partir. Les balles traversèrent la vitre et la brisèrent en milles morceaux, mais ça ne l'arrêta pas pour autant. Je le vis disparaître au loin, et je me retournai vers le manoir quand j'entendis des hurlements de bonheur. Tout le monde sautait de joie derrière les fenêtres en brandissant leur armes en l'air. 

Mais malheureusement, j'entendis l'hélicoptère revenir. Je me retournai vivement, arme pointée en l'air, mais ce que je vis me fit presque prendre mes jambes à mon cou. Ma mère tenait une grosse mitrailleuse, tandis que mon père faisait descendre l'hélicoptère. L'hélicoptère s'immobilisa à 3 mètres du sol, et je hurlai à l'intention du manoir, morte de peur :

-Baissez vous ! 

-ANNA ! hurla une voix grave venant de l'intérieur de la maison. 

La mitrailleuse commença à tirer, mais uniquement sur moi. Je sentis mon pare-balle résister aux balles, mais je fus éjecter de deux mètres en arrière. L'impact des balles sur mon gilet me frappait le thorax, car même si il les arrêtait, ca ne les empêchait pas de me faire mal. J'aurais des bleus. 

Plaquer contre le sol j'essayais de me relever. Les balles continuèrent de pleuvoir, sans pour autant me toucher réellement.  Wow. Je me mis à quatre pattes, et je plongeai derrière un transat. 

Je mis mes mains au dessus de ma tête, et plus aucunes balles ne fus tirées. Je perçu tout de même un bruit de cliquetis provenant du sol et je tournai la tête sur ma droite. Une grenade. Ni une ni deux, je bondis hors du transat, et je courus vers la maison. 

La grenade explosa, et je fus propulser en avant. Je m'écrasai sur le sol dans un bruit sourd, et je ne bougeai plus de peur que mes parents ne tirent encore une fois des balles avec la mitrailleuse. 

J'entendis alors l'hélicoptère s'éloigner, et je soufflai de soulagement. 

Je me relevai doucement, à cause de la douleur dans mon thorax dû aux balles prisent, et je commençai à enlever doucement mon gilet pare balles. Quand la fumé de la grenade se dissipa, je rentrai dans la maison par la porte d'entrée et je balançai mon pare balle par terres. 

Je couru jusqu'au salon ou je vis des gens rassembler autour d'un corps. 

Je me précipitai vers l'assemblée, et Ellen et Markus se retournèrent vers moi.

Only Gang. [TERMINÉ]Where stories live. Discover now