Only Gang. [TERMINÉ]

Chapitre 43. [Corrigé]

Je cachai mon corps autant que je pus avec mes bras et mes mains, et il s'approcha de moi, un sourire carnassier sur les lèvres.

- Aucuns cadavres en vue... chuchote t-il.

Quel romantisme...

(Je suppose que vous avez vu le passage cochon arriver... MAIS ATTENTION QUAND MÊME ! )

Je haussai un sourcil, et il se colla à moi. Il me plaqua contre le mur en marbre noir, et je passai sans attendre mes jambes autour de sa taille. 

Il passa une main sur mes reins et l'autre sur ma joue puis colla ses lèvres aux miennes, et je gémis. Il me caressa le bas du dos, et j'enfouis mes mains dans ses cheveux brun bouclés.

 Sa présence me rendait toute chose. A chaque fois que je le voyais, je voulais lui sauter dessus.
Maintenant je pouvais, et lui aussi d'ailleurs. 

Il glissa une main sur le devant de mon corps, et descendis  petit à petit vers mon bas ventre.

Lorsqu'il arriva à mon intimité, je retins ma respiration. Ça n'allait pas être comme avec Markus, non, cela allait être bien différent, car je désirai ardemment Andrei. Je ne voulais que lui. Pour moi. 

Quand ses doigts se baladèrent sur mes chaires, tout mon corps se contracta et se tendit. 

Le désir pouvait se lire dans ses yeux, et cela ne fit qu'accroître le mien. Il glissa un doigt en moi, et je me contractai  autour de lui.

J'entendis sa respiration s'accélérer, et il commença a faire de lent vas et vient dans mon entrecuisses.
Je me mordis la lèvre inférieur, et penchai la tête en arrière. Andrei en profita pour poser sa bouche sur mon épaule, et la lécher. Il rentra un deuxième doigts, et je ne pu retenir un geignements. Je tirai sur ses cheveux de plus en plus fort au fur et à mesure qu'il accélérait la cadence de ses aller et venu.

Je passai ma main entre notre deux corps, pour passer en dessous de son caleçon mouillé par l'eau de la douche et attraper son membre dur.
Son sexe frémit dans ma main, et Andrei se tendit. Je commençai alors à le titiller, ce qui ne parut pas lui déplaire. Il lâcha un râle viril, et il déglutit bruyamment, ce qui fit bouger sa pomme d'Adam. Je sentais le sang battre dans mes tempes, et dans celle d'Andrei, et je fis glisser son boxer sur ses chevilles. Je lâchais son pénis, qui se dressait maintenant de toute sa longueur.
Pantelante, je le suppliais du regard.

- Accepte de sortir avec moi, lâcha t-il soudain. 

Je fus surprise de sa demande, et je le dévisageai, pendant que la colère montait petit à petit.

- T'es sérieux de demander ça maintenant ?

Toute envie de sexe me passa, et j'enlevai mes jambes de sa taille. Je le repoussa violemment, et  je pris le peignoir en soie blanc que fournissait l'hôtel sur le portant à côté de la douche.

il soupira.

- Qu'est-ce que t'empêche de sortir avec moi ?

- J'ai juste pas très envie de sortir avec un connard, sifflai-je pour moi même. 

J'allais sortir de la pièce pour retourner dans la chambre, mais on m'agrippa les hanches, et on me retourna.

Andrei agrippa l'arrière de mes cuisses, et me souleva de terre. Il me fit un sourire narquois, et se faufila entre mes cuisses. Il s'enfonça en moi d'un coup de reins violent, et je jurai de satisfaction.

 Le salaud. 

Il rugit et ses à-coups redoublèrent d'intensité. Je transperçai la peau de ses omoplates de mes ongles, et il m'embrassa avec vivacité. 

Il faisait preuve de tant d'ardeur, que je ne serais pas étonner que plusieurs femmes ai déjà couché avec lui plusieurs fois. On peut le dire, c'était un bon coup. 

La chaleur augmenta dans mon bas ventre, et je sentis qu'Andrei n'était pas loin de l'extase non plus. Il était entré dans une frénésie ravageuse, et ses allé et retour dans mes chaires étaient mordant. J'adorais sa hardiesse. J'adorais tout chez lui, mais, rien que de penser qu'il jouait peut être avec moi me brisait le cœur.

Je n'eus pas le temps de réfléchir plus, parce qu'un orgasme volupté m'emporta en même temps qu'Andrei.

Fin du passage cochon... je sais que personne ne l'a passé on va pas se mentir entre nous ;)

Il était rouge, la respiration entre coupé, les cheveux en bataille. Il sentait le sexe. Je m'imaginais me réveiller dans mon lit à ses côté tout les matins, et qu'il ai cette tête. 

Je déglutis.

Il allait commencer à parler mais je mis ma main sur sa bouche.

- Ta gueule, avec tes paroles de merdes tu vas encore gâcher le moment.

Il leva une main en l'air, en signe de redirection. J'enlevai doucement ma main, et je le poussai un peu, pour qu'il me lâche.

Je m'habillai devant lui en vitesse, et il fit de même. Aucuns de nous ne parla durant tout ce temps et finalement, il finit par demander :

- Est-ce que tu prends la pilule ?

- Oui, dis-je froidement, énervée par cette question. 

Les mecs, toujours pareil. Ils baisent et re-baisent mais ils ont toujours les boules d'avoir un gosse. M'enfin, je n'aime pas les gosses, alors tant mieux.

Je sorti de la salle de bain avant lui, puisqu'il était rester prendre sa douche, et je rassemblai mes affaires aussi vite que possible. Je sortis de la chambre après avoir vu qu'il était 7 heures du matin et j'allais déjeuner dans un Starbucks pas très loin de l'hôtel. 

Je pris un thé bien chaud et un muffin au chocolat, et je me posai sur une des tables en terrasse. 

Quand j'eus finis de déjeuner, je pus constater avec bonheur que la journée s'annonçait ensoleillée. Je retournai alors à l'hôtel mais je pris directement ma moto sans rejoindre Andrei qui avait sûrement remarquer mon absence. De toutes manière, il était déjà 8 heure du matin passé, et j'avais beaucoup de route à faire.