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Shouto X OC (+18)

Manga/Anime: Boku No Hero Academia

Titre: La lumière de son coeur

Auteur: Lily Sawaka

Couple: Shouto X OC

Date: 14/12/2017

Note de l'auteur: L'OC est féminin. Joyeux anniversaire Anastasia! ^^

Sujets traitant à avertir aux lecteurs: Drame - Romance - Contenu à caractère sexuel.

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Une odeur atroce lui paralysait son corps. Une lumière aveuglante lui empêchait de voir malgré le fait qu'elle voulait savoir où elle se trouvait. Ses mains glaciales tremblaient forts et ne semblaient pas vouloir se stopper. De même, son coeur battait à chaque secondes, lui donnant l'impression que son organe allait sortir de sa cage thoracique, rendant ainsi sa respiration accablante.

Il y avait avait comme un nœud noué dans sa trachée et la frêle jeune fille n'arrivait pas à se détendre. Comment le pouvait-elle ? Perdue dans l'inconnu sans avoir la moindre idée de ce qu'il se passait ? Des voix s'entendaient, suivit un grincement sourd provenant d'une porte. Des bruits de pas résonnaient dans la pièce, suivit d'un « clic » inquiétant, élevant le rythme cardiaque de la personne attachée sur une table en acier, trop dur et froid à son goût. Des gouttes froides coulaient sur sa peau pâle, la rendant humide. Tentant tant bien que de mal à bouger, les ceinture b s en caoutchouc qui la retenait étaient beaucoup trop serrés. Un au niveau de ses pieds, le second au niveau de ses hanches, le troisième sous sa faible poitrine et le dernier maintenait sa tête vers son front. Sentant que quelque chose allait lui arriver, elle hyperventilla. La peur la rongeait et le fait de savoir que personne allait la faire sortir d'ici était autant plus frustrant. Son débat contre les liens la faisait gémir de douleur. Ayant du mal à écouter ce que racontaient ces inconnus, portant des voix amusés et à la fois froides, la victime se mordit les lèvres inférieures, ouvrit difficilement ses yeux et les tourna sur le coté. Des lumières LED bleus étaient encrés sur les murs, permettant de mieux la voir. A coté d'elle, un chariot composé d'ustensiles lui étant inconnus. Quelques flacons avec un liquide jaune pisse y étaient posés. Une odeur de désinfectant se faisait sentir dans cette pièce et des bruits assourdissant venaient probablement de la pièce d'à coté.

La panique prit possession. Elle était incapable d'émettre le moindre son, ses yeux brillaient et son coeur tambourinait d'une allure trop insoutenable, ses cheveux étaient gras et son corps était complètement gelé. De la confusion se mélangeait avec l'angoisse.

Un crissement la fit frémir et une silhouette sombre se posa au-dessus d'elle. Il lui était impossible de distinguer l'inconnu, ni ses traits et formes à cause de cette lumière. Le temps qu'elle s'y habitue à cette luminosité, la fille aperçut une fine aiguille. Appuyant sur le bout, une goutte s'éjecta sur la joue rose de la patiente. Ce contact la fit trembler de peur. Sans tarder, on la piqua sur son cou. Une substance inconnue la fit hurler de douleur et ses paupières devinrent lourdes. Malgré elle, elle s'endormit sur place, les pensées vides, tombant dans l'obscurité le plus complet.

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Le souffle saccadé, ses épaules montaient puis descendaient à vive allure. Ses yeux étaient rouges et humides. Elle remarqua que tout le monde la regardait, les yeux ronds. Au fond de la salle, devant son pupitre noir, un homme d'une cinquantaine année eu ses pupilles dilatées iris qui devinrent noirs. C'était de la nervosité. Et aussi son Alter venant de la quatrième génération, l'un des plus faibles.