Un Noël Rock'n'Roll | Romance terminée

#Amour | #Rock 38.2 🔞

UN AMOUR ROCK'N'ROLL

OLYMPE

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« Quand ça grince... au rythme de nos corps et que les murs étouffent nos soupirs... Ça nous fait comprendre qu'on devra être plus discret dans le futur et qu'il faudra mettre de l'huile ou investir dans une autre literie. Mais on va devoir remédier à ça pour ne pas que notre fille nous surprenne dans une position délicate. Et c'est reparti pour un tour... Autant en profiter encore une fois. C'est le moment de se lever, de reprendre le cours de la journée, car notre nouvelle vie va bientôt commencer en retrouvant notre luciole. »

Merci à StellaNoWriter celenalana Sevs19 LisaDpb 

Nnagrom bamboue hatchibouille biloudidi 

mimiminou54 AkitchiMeier pour leur participation à ce prélude collectif !

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Samedi 01-12-18 | Chalet de famille de Ty | 1 692 Sandy Way, Tahoe City, CA 96 145 | États-Unis

09 h 30 : Magique. Merveilleuse. Fantastique. Je pourrais allonger la liste encore et encore, tant ce que nous avons vécu cette nuit, Logan et moi, était parfait. Enfin presque... Je me tourne vers mon amant en sentant ses yeux posés sur moi. Et le lit s'en donne à cœur joie pour crier sa détresse sous le déplacement de mon corps.

— Ça va, Butterfly !

— Oh oui, mon rocœur.

Je m'étire pour détendre mes muscles un peu endoloris après nos différents ébats, sous son regard gourmand qui ne rate pas un seul de mes mouvements. De mes bras qui se tendent au-dessus de ma tête à mes orteils qui pointent. À mon corps qui se cambre accentuant mes courbes et mettant en avant ma poitrine qui se redresse fièrement. Jusqu'à mes tétons qui dardent après l'effleurement du drap qui glisse vers ma taille.

— Tu m'as l'air de très bonne humeur à t'étirer comme une chatte.

Je n'essaye même pas d'argumenter, car Logan a raison. Je me sens aimée, désirée et ses yeux qui me dévorent m'apportent un bien-être, que je savoure à sa juste valeur. Contente de mon effet, je me tourne vers mon rocœur et grimace face à cette affreuse cacophonie.

— Putain ! Si ce matelas pouvait arrêter de hurler son agonie, ça serait idéal, me confie mon homme.

Il passe son bras autour de mes épaules pour m'attirer contre lui. Je me love contre son torse et apprécie la chaleur qui irradie de son corps quand ma jambe glisse entre les siennes. Mon bassin se colle contre sa hanche tandis que sa main me câline en partant de ma nuque jusqu'à la chute de mes reins.

— C'est vrai qu'il est particulièrement bruyant, j'affirme tandis que mes pieds froids cherchent les siens.

Je me marre en le voyant ronchonner face à mes orteils qui frôlent ses mollets, ce qui lui déclenche des frissons. Chaque aller-retour est suivi du mécontentement sonore du lit et je ne peux qu'approuver ses propos. Ce grincement nous a accompagnés depuis hier soir au moindre mouvement, gestes effectués, nous faisant tantôt rire ou bien râler en fonction du moment. On peut dire que l'on se souviendra de cette première nuit à plus d'un titre.