TOME 1. Valentina : Kidnappée, violée, les dessous d'une famille mafieuse Corse.

Chapitre 62 - J'traîne souvenirs par centaines Comme c'était bon à l'ancienne

Je suis à peine endormie quand la porte s'ouvre et je me redresse. C'est Ilias, comme toujours. On est au milieu de la nuit et Alia dort profondément. Il est debout dans l'encadrement de la porte, il est torse nu, vu d'ici il est impressionnant, dans la pénombre... effrayant... il est grand et la lumière éclaire ses contours. Même au loin il dégage une aura terrifiante. Il sort visiblement de la piscine et j'entend de l'agitation dehors, il doit y avoir du monde.

Ilias : Lève toi Valentina

Je suis en culotte / tshirt dans mon petit lit

Moi : Non je suis pas...visible

Il hésite, et réfléchis visiblement (ce qui arrive pas souvent).

Ilias : Tu te lève ou je viens te chercher

Je m'exécute et me lève... il attrape mon bras comme d'habitude

Ilias : Tu vas dormir là haut maintenant

Moi : Là haut où

Ilias : Dans ma chambre bouffonne

Il sent beaucoup trop fort l'alcool et à l'air beaucoup trop décidé, nous longeons les couloirs de la maison, le mabre est frais et je me surprend à apprécier le contact sur ma peau, il fait si chaud ici. Ilias me précède et je le suit 1 mètre derrière, nous arrivons dans la chambre

Ilias : Deshabille toi met toi sur le lit

Il dit ça en detachant sa montre de son poignet, Là je fait un grand pas en arrière et me cogne au bureau, ça aurait pas dû arriver une 2ème fois mais imaginer une 3ème fois il faut être fou, comment il peut prendre du plaisir.... mon coeur s'accélère et il se rapproche de moi, son short de bain est encore mouillé et son torse est humide

Ilias : J'ai bien réfléchis et je vais changer de méthode tu voit, j'était entrain d'en parler avec un de mes gars et il faut que je t'apprenne, personne t'a appris tu voit donc logique tu comprend pas bien comme ça fonctionne

Moi : Comment quoi fonctionne .... ?

Dites moi que c'est une blague dites moi qu'il est pas vraiment entrain d'imaginer que ça vas se reproduire.

Ilias : Tu voit, au début faut y aller en douceur, on est partis sur des mauvaises bases toi et moi wAllah je veux juste que tu te laisse faire ça me facilitera la tâche je te promet

Il est complètement bourré et ça me fait peur, j'ai peur qu'il ai encore moins de limite que d'habitude. 

Ilias : Donc je disais... doucement, faut y aller doucement... 

Il dit ça toujours en se rapprochant de moi, il me regarde de haut en bas

Ilias : Blonde tu m'excite encore plus tu peux pas savoir ce que j'ai envie de te faire, quand j'te voit comme ça

En un éclair son jnoun reprend le dessus, il me pousse sur le bureau et je me débat de toutes mes forces, je colle mes mains sur son visage et le repousse aussi fort que possible.

Ilias : J'voit bien comment tu m'regarde, ta violence, ta froideur, plus tu me repousse plus ça m'excite..

Moi : J'ai trop mal pitié fait pas ça

Il se stoppe et me regarde longuement, son poid écrase mon corps contre le bureau, je suis totalement à sa mercie mais étonnament il s'arrête et souffle un grand coup

Ilias : T'a raison... t'a raison on vas pas s'en sortir si je te laisse pas guérir...

Il est tellement ivre qu'il est plus facilement manipulable finalement... ça m'arrange bien pour le coup.