TOME 1. Valentina : Kidnappée, violée, les dessous d'une famille mafieuse Corse.

Partie 12 - Allo maman, ca vas pas fort

Je sent une odeur de cigarette, je peine à ouvrir les yeux, quand j'y arrive je me retrouve dans une petite chambre, la fenêtre est ouverte mais les rideaux fermés, j'entend des enfants jouer dehors, la pièce est sombre, il fait lourd, j'ouvre la porte et m'aventure dans le couloir, c'est un appartement modeste, j'arrive dans le salon-cuisine en trombe et me retrouve devant 3 hommes, 1 renoi dans un canapé et deux rebeus dans la cuisine, Ilias est l'un d'entres eux, ils fument devant des liasses de billets, deux Berretta sont posés sur la table, il me lance un regard noir

Ilias : Qu'est ce que tu fou là toi aussi ? Qui t'a autorisé à sortir de la chambre ?

A peine je me lève il me casse déjà les couille c'est une blague je sais même pas ou j'suis et il m'a kidnappé..

Moi : alors déjà, non. Tu vas m'ouvrir cette putain de porte et je vais sortir d'ici, c'est bon pour toi ?

Alors la j'vous explique même pas le scarface qu'il me lance, ils se sont tous regardé en mode elle vas mourir dans la seconde, moi j'ai trouvé ma blague marrante, eux sa a pas l'air d'être le cas.. je fais un pas en arrière, Ilias se lève de sa chaise, saisie une des deux armes, sa me rappelle vaguement une situation, pas vous ? je me met à trembler rien que de voir le canon de son arme, je repense au bruit de la détonation, du feu dans ma plaie, du sang, je reprend mes esprit, il est juste devant moi, il me saisie à la gorge,

Ilias : répète bien lentement cque tu viens d'me dire

Moi : Ilias stp

Ilias : Et tu as l'audace de prononcer mon nom

En une seconde il m'emmene dans la pièce d'ou je viens avec le lit, il me pousse contre le mur et met une main sur ma bouche, il se colle à moi, j'essaye de le pousser, il colle le canon contre mon torse, entre mes seins, il appuis le canon, sa me fais mal, un mal de chien, j'me met à pleurer, j'suis totalement térrifié, vue son regard il y prend gout, il jubile, je tremble de tout mon corps, il pose une main sur mon visage et approche sa tête, sans m'y attendre il colle sa bouche à la mienne et m'embrasse, j'essaye de m'en défaire, il me jette sur le lit, il se met sur moi, l'arme toujours dans la main, il se colle à moi, sa me répugne, son odeur, son parfum et l'odeur de la cigarette me font tourner la tête, il tiens ma tête et continue de m'embrasser, il pose son arme sur une petite table à côté du lit

Ilias : on vas jouer a un jeux toi et moi, fais pas semblant de pas aimer ça Valentina

Je tremble tellement que ma force est encore plus réduite,  il commence à me carresser, il déchire le haut de ma robe et je me met à crier, il pose une main sur ma bouche son visage se pose sur mon soutiens gorge, il me regarde comme un pervers et commence à embrasser mon cou, puis son regarde bloque sur la cicatrice sous mon sein, il passe son doigt, j'étouffe un crie, il me regarde

Ilias : c'est quoi sa ?

Moi : LACHE MOI

Ilias : (il bloque mon bras) qui t'a fais sa ?

Moi : LACHE MOI CONNARD

Ilias : DIT MOI QUI TA FAIS SA TA PUTAIN DE RACE

Moi : (je le regarde droit dans les yeux) ton pire enemis, celui qui « m'aime tant »

Il relache son étreinte

Ilias : jure la vie de ta mère

Il est pas au courant pour ma mère visiblement

Moi : je le jure sur la tombe de ma mère...

D'un coup il s'enlève de sur moi et avant de sortir de la chambre me lance un regard plein de pitié et de rage. Il claque la porte.