TOME 1. Valentina : Kidnappée, violée, les dessous d'une famille mafieuse Corse.

Partie 24 - J'pourrai jamais lui présenter mes séquelles

J'atteris en fin de journée en Corse, il fait toujours aussi beau, je prend un taxis et arrive à la villa, quelques semaines ont passés mais rien n'a changé, Armanda me souhaite un bon retour, elle à les traits tirés, elle essaye de me parler d'Aymen mais j'esquive et monte dans mon ancienne chambre, quand j'y entre je suis surprise, tout est à sa place, j'aurais pensé que du monde l'aurait surement squatté mais même pas, chaque chose est à sa place, de mes habits, mes bibelots, gels douche... seuls les draps ont été changé. Mon retour était attendu.

Je vais prendre une douche et me couche, je suis crevé et j'ai besoin de récupérer, je me lève le lendemain à midi, je vais à la cuisine manger des fruits et boire un café, la maison est silencieuse et c'est tant mieux, je décide - non sans apréhension - d'aller me baigner, j'ai besoin de me rafraîchir et réfléchir encore à la suite des événement, je met une robe, sort de la villa et part sur la plage, il y a quelques personnes mais pas vraiment beaucoup.

Sous l'eau je réfléchis à ce que je dois faire, comment je vais devoir agir quand mon cousin vas rentrer, j'ai l'impression que l'eau de la mer me purifie mais quand je repense à ce qu'Ilias m'a fait j'ai encore envie de m'arracher la peau, je revois tout sa dans ma tête, je me met à paniquer, je remonte à la surface et prend une grande inspiration, je sort de l'eau, en arrivant près de ma serviette je sent que quelqu'un me suit, je m'approche de mon sac de plage et en sort un beretta que je pointe directement vers la personne qui me suit,

?????: Oh calmos

Moi: Bordel mais t'es qui!

?????: C'est un peu vexant que Rayan t'ai jamais montré de photo d'moi, j'suis Narciso.

Moi: ...

Narciso: Tu peux le ranger ? Je suis pas serein avec sa pointé vers moi

Moi: Tu pourrais être n'importe qui d'autre.

Narciso: Crois moi si j'avais voulu t'attaquer tu serais déjà KO.

Je me résigne à ranger mon arme, j'enfile ma robe et on commence à marcher en direction de la villa.