TOME 1. Valentina : Kidnappée, violée, les dessous d'une famille mafieuse Corse.

Partie 1 - Un nouveau départ.

✈️ Lorsque l'avion se pose à terre je comprend que cette fois-ci j'y suis et que j'ai intêret à assurer parce que cette famille que je vais retrouver vas être mon unique chance de survivre (enfin quand je dit survivre je me rend pas compte de ce qu'il vas se passer).

Je suis en train de pester contre la chaleur étouffante qu'il fait, si j'avais su je n'aurais jamais, jamais mis mes UGG avec mon parka Burberry c'est vrais la différence de température qu'il fait entre Paris et ici et puis .... (je suis interrompus net dans mes pensées)

Femme : Mademoiselle Amoretti ?

Je me retourne et fais face à une petite dame habillé en noir.

Moi : Oui, vous êtes ?

Femme : Bonjour, je me présente je suis Armanda Filippeti, votre oncle m'a chargé de venir vous chercher à l'aéroport.

Moi : Oh, bonjour, je suis ravie de faire votre connaissance, vous êtes... sa... compagne ?

Armanda (elle rit) : Grand Dieu non, je suis une employée de votre oncle, il devais venir en personne vous chercher mais un imprévu à fait qu'il m'a demandé de venir moi même !

Moi : ah ah d'accord, allons y alors.

Le trajet passe plus rapidement que je l'aurais esperais et ne me laisse pas beaucoup le temps de realiser qu'une nouvelle vie m'attend...

Lorsque nous arrivons je suis ébahis, la maison de mon oncle est gigantesque, une Bentley Continentale est garée juste devant l'entrée principale, j'hallucine carrémenent, rien que la devanture de la maison suinte le luxe de partout ! Je descent de la voiture et suit Armanda vers l'intérieur de la maison, nous arrivons dans un grand hall, au centre se trouve un immense escalier en marbre, un lustre est suspendu au centre du hall, c'est magnifique... (une fois de plus je suis interrompus dans mes pensées) l'homme qui me fais face est carrément craquant, grand, la peau matte, une coupe au gel et des yeux verts à tomber par terre, des lèvres pulpeuses il me dévisage, je me demande qui c'est...

Homme : alors c'est sa ma « cousine » (il dit sa avec un air de dégout)

Moi : c'est une blague ?

Homme : J'ai l'air de rigoler avec toi là?

(ok sa commence bien...)

Moi : c'est toi qui m'agresse, je sais même pas qui t'est et tu te conduit déjà comme un bouffon

Il s'avance dangeureusement de moi, oh oh... je lui fais face et ne me démonte pas, qu'il aille se faire foutre.

Homme : redit moi sa pour voir...

Moi : Tu. Me. Parle. Meilleur. Je suis pas ta pote.

A ce moment un homme nettement plus agée mais tous aussi séduisant entre par la porte d'entrée, vue les traits qui le caractérise je dirais bien qu'il s'agit de mon oncle.

Oncle : Oh ! Bonjour Valentina je suis tellement heureux de te rencontrer, je t'aurais reconnu parmis mille personne tant tu ressemble à ma sœur, est-ce que Rayan te posais un problème ?

Moi : non, ca vas, nous discutions.

oncle : Bien, il a un foutu caractère, si tu l'évite tu évitera les problèmes.

Sa réfléxion me laisse perplèxe, c'est de son fils dont il parle quand meme

Oncle : je te montre ta chambre ?

Sans attendre ma réponse il fait signe à son fils de se pousser et me précède dans l'escalier qui monte visiblement aux chambres à coucher. En montant je jette un dernier coup d'œil en direction de mon « cousin », il me regarde mal.