XXXX - J'ai l'impression qu'il veut te dévorer.

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Léna

— Alex ! Stop ! Je dois y aller, sinon je vais être en retard.

— Je m'en moque. J'ai trop envie de toi et je ne pourrai pas attendre plus avant de te prendre.

Il m'attrape alors que j'allais passer mes bas, me soulève du lit et me pose sur la commode de la chambre. La serviette qu'il avait autour de la taille vient de tomber, me montrant clairement ce qu'il veut. En l'occurrence, moi. Il plaque sa bouche sur la mienne, passe sa langue entre mes lèvres et commence un ballet sulfureux avec la mienne. Ses mains caressent ma peau, descendent mes bretelles de soutien-gorge, et libèrent mes seins. Son érection vient frotter contre mon tanga, enflammant mon ventre.

— Ma sœur attendra encore un peu. Là, je te veux tout de suite.

Il descend une main vers ma lingerie, passe sous la dentelle et commence à me caresser.

— Et si j'en crois ce que je sens, toi aussi tu as envie de moi.

Comment je ne pourrais pas désirer un homme tel que lui ? Il y a un peu plus d'un mois que je me suis donnée à nouveau à lui, et depuis, nous rattrapons les mois durant lesquels nous avons été séparé. C'est simple, il n'y a pas une pièce de cette maison qui n'a pas vu nos ébats. Surtout maintenant que nous n'avons plus besoin de nous protéger et qu'Irina a déménagé pour son nouvel appartement. Le plus drôle, c'est quand il y a quinze jours, je suis arrivée dans son bureau alors qu'il était en pleine réunion téléphonique. Je n'étais vêtue que d'un ensemble de lingerie, sous un déshabillé en satin. Quand il m'a vu entrer dans la pièce, ses yeux se sont mis à briller. Il a coupé le micro de son téléphone pour me demander ce que je voulais.

Sans dire un mot, je suis venue jusqu'à lui, je me suis glissée entre son bureau et son fauteuil avant de me mettre à genoux devant lui. Puis j'ai commencé à caresser son érection que je pouvais sentir sous le tissu de son pantalon. C'est la gorge nouée qu'il a dû reprendre la conversation. Et pendant qu'il parlait, je me suis amusée à descendre sa braguette avant de sortir son sexe gonflé, et de lui tailler une pipe pendant qu'il devait maîtriser ses gémissements. Il a ensuite écourté sa conversation, pour me prendre sur son bureau. J'avoue qu'avant de rencontrer Alexander Aslanov, je ne pensais pas pouvoir vivre ça un jour. Mais aujourd'hui, je ne changerais ma vie pour rien au monde.

Mon tanga vient de glisser le long de mes cuisses, puis je vois le regard d'Alex brûler de désir. Et d'un coup, je le sens profondément en moi. C'est brutal, mais terriblement bon. Je m'accroche à ses épaules alors que ses coups s'intensifient.

— Bordel ! Léna, je ne peux plus me passer de ton corps. J'aime tout en toi ! Tu es la femme parfaite pour moi, halète-t-il entre chaque butée dans mon vagin.

Il accélère encore le rythme faisant rapidement monter ma jouissance. Je cambre mon dos pour me rapprocher de lui. Mes seins ne demandent qu'à toucher son torse, mes pointes sont en feu et tout mon corps crépite sous la montée de l'orgasme. Il va être une nouvelle fois violent et destructeur, me laissant quelques minutes amorphe, mais je crois que ce sont ceux que je préfère. Les doigts d'Alex viennent jouer sur un téton et quand il le pince au moment où il s'enfonce brutalement en moi, je crie mon extase qui se libère. Je suis en nage, mais je ne voudrais pas être ailleurs. Front contre front, nos souffles tentent de retrouver leur calme.

— Il va falloir que je reprenne une douche, murmuré-je.

— On peut la prendre ensemble si tu veux.

— Non ! Ta sœur va me tuer si j'arrive en retard. Et je te rappelle que toi aussi tu es attendu.

— Font chier. J'ai envie de passer ce samedi imbriqué en toi. Comment je vais pouvoir tenir en te voyant dans ta magnifique robe sans pouvoir te la retirer ?

Killer's eyesDonde viven las historias. Descúbrelo ahora