Révélations partie 1

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Cela faisait un mois que Miguel avait été enterré et que personne n'avait des nouvelles d'Emilie, même comme mon petit doigt me soufflait qu'elle était derrière les barreaux. Et si c'était le cas, elle méritait amplement ce qui lui arrivait. J'espérais que Miguel trouve la paix, maintenant que justice lui avait été rendue. Beaucoup de choses avaient changé depuis le temps, Franck était devenu une meilleure personne, Anaba et Caroline s'étaient séparées à croire que la seule chose qui les liait réellement était Emilie, et maintenant qu'elle n'était plus là, elles n'avaient plus trouvé un intérêt à rester ensemble.

J'étais présentement couchée sur mon lit, à perdre du temps sur les réseaux sociaux lorsque je reçus un message WhatsApp de Théreso.

-« Regarde comment j'ai envie de toi! »Dit-il en m'envoyant une photo de sa verge déjà volumineuse.

Je me sentais vraiment mal. Théreso était un homme, il avait déjà des envies mais moi je le gardais prisonnier, je lui interdisais de me tromper mais j'étais celle qui refusais de s'offrir à lui. Depuis un temps, il me parlait de son désir pour moi, qui devenait de plus en plus fort.

-Je suis vraiment désolée. J'aimerais tellement te satisfaire, mais...

-Je comprends MArilyn! On le fera quand tu seras prête je sais. Mais pour l'instant tu peux m'envoyer quelques photos coquines de toi? Juste pour que je parvienne à me calmer!

Théreso faisait beaucoup d'efforts pour moi, je pouvais au moins le satisfaire sur ce côté là. Sans beaucoup réfléchir, je pris plusieurs clichés de moi  toute nue et les envoyai à Théreso en qui j'avais pleinement confiance.

-Sexy! Je t'aime mon amour.

-Moi aussi je t'aime.

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Aujourd'hui nous étions Samedi, ma belle-mère avait eu deuil dans son village et s'y était rendue en compagnie de son fils et de son neveu.  Parfait habitait maintenant avec nous, il ne cachait plus son visage satanique, maintenant qu'il avait atteint ses objectifs. Il se prenait pour le roi de la maison, il tonnait à tort et à travers. Il racontait des choses ignobles sur moi à sa tante, pour que sa haine pour moi, prenne plus d'ampleur. De mon côté j'essayais au maximum de l'éviter et même à ça, il trouvait un problème et partait raconter à qui veut l'entendre que je le détestais et que je passais mon temps à le mettre mal à l'aise en  lui rappelant qu'il n'était pas chez lui.
Par la suite Azaya me mettait encore plus mal à l'aise et malheureusement mon père n'était pas au courant de ça! Il quittait de la maison tôt et rentrait très tard, et même s'il ne le disait pas de vive voix, je savais qu'il était tout autant fatigué que moi de rester dans cette maison de merde avec sa femme qui bavardait pour tout et pour rien!

Quoi qu'il en soit, j'avais le week-end pour moi toute seule, car mon père était parti au village pour regarder l'évolution de son chantier. Théreso m'avait proposé de sortir et n'ayant rien à faire, j'avais tout de suite accepté. J'étais présentement en train de m'habiller. J'avais opté pour une robe rouge, col bateau qui m'arrivait juste au dessus des genoux et avait une fente entre mes cuisses. Elle était sexy sans toutefois être vulgaire. Je portai des mules aux pieds, et pris une sacoche de couleur noire. J'avais placé une perruque à lace frontale, j'avais appliqué du mascara, du fard à paupières, dessiné le contours de mes lèvres avec du noire, mis du gloss transparent, j'avais accroché une bouche sur le nez.
Après m'être mirée durant une trentaine de minutes(je pouvais être très narcissique), je me parfumai et sortis de la maison en prenant soin de fermer toutes les portes à clé.

J'arrivai chez « Chef Marcello » dans les environs de dix-sept heures. Un restaurant italien situé à bastos près de l'ambassade des Etats-Unis. Je vis Théreso assis net en face du centre équestre et le rejoignis. Il était très beau, il était vêtu d'une chemise longues manches et d'un pantalon carrelé. Lorsqu'il me vit, ses yeux voulurent sortir de ses orbites. J'étais heureuse de l'effet que je lui faisais.

Les Démons de Marilyn🇨🇲Where stories live. Discover now