8. Sa peine, mon bonheur

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TW: agression sexuelle

Marc

Encore une fois, le patron me donne des os. Mais je dois bien avouer que pour une fois, l'os n'a pas encore été rongé. Cela me plaît plus que bien.

Il n'a même pas précisé quelle sentence il souhaite pour elle. J'ai donc tous les choix possibles à ma portée. Que rêver de mieux ?

Il est vrai que cette nana est une casse couille de première mais je pense qu'avec sa petite correction tout ce passera mieux après. Elle fait la femme forte, rebelle... mon cul va ! Elle n'est rien de tout cela, ça se voit rien qu'à sa gueule. Je me demande d'ailleurs pourquoi Victor ne l'a pas encore baisé ou bouffé.

Normalement, les "invités", comme j'aime les appeler, ne tiennent pas plus de deux jours. Alors pourquoi cela est-il différent avec elle ? Est-ce un ordre qu'elle lui à donné ? Dans ce cas, je n'en doute pas.

Elle est toujours assise par terre. Elle n'a pas quitté des yeux l'endroit par lequel il est sorti.

Je m'avance près d'elle à pas déterminé. Tu vas avoir ta fête ma jolie. Je lui attrape le bras et la force à se lever. Je décide de prendre un raccourci avec elle. J'en ai déjà vraiment ras le cul de toujours devoir faire le sale boulot mais si en plus, pour une fois que je vais pouvoir m'amuser il faut que je perde du temps, il en est hors de question.

Nous avançons dans le couloir jusqu'à arriver au tableau du cerf se faisant égorger par un ours. C'est mon préféré et de loin. Les autres se ressemblent tous. Il n'y a pas d'originalité sauf avec lui. Je pousse alors la toile et nous arrivons dans ce petit passage.

Je pourrais très bien le faire ici, nous sommes à l'abri et le couloir est insonorisé. Le seul problème sont les caméras. Si Letcher ne me voit pas arriver devant la salle alors je serai foutu et je n'en ai pas envie. Je reprends la marche. Cet espace est très confiné et je vois que l'autre ne le supporte pas vraiment. Est-ce un problème ? Non. Je peux enfin voir le bout et nous sortons enfin de ce tunnel. Heureusement que la sortie est vite arrivée et qu'elle ne nous a pas tapé une crise de mes deux.

Nous nous dirigeons vers ce couloir. Elle a l'air de le reconnaître car cette salope commence à gigoter dans tous les sens.

Comme si tu pouvais m'échapper...

Je ris intérieurement face à la façon dont elle s'y prend pour sortir de mon emprise. Elle n'y arrivera pas mais elle peut toujours essayer.

Je l'amène face à une autre porte que la fois dernière. Celle-ci est violette. Ma préférée. Cette salope doit se rendre compte que je n'ai pas pris la même pièce et paraît comme plus détendue de faciès.

Tu n'as pas encore découvert l'intérieur ma jolie...

Lorsque j'ouvre la porte, elle commence à se tirer en arrière.

— Non ! Hurle-t-elle.

Putain si elle ne ferme pas sa gueule il va débarquer et va le savoir. Je prends donc les choses en main et lui colle mon poing dans son ventre.

Au moins, je sais que tu la fermeras maintenant.

Comme je le disait avant cette merde, cet endroit est mon préféré du manoir. Nous n'avons pas vraiment de personne du sexe opposée alors pourquoi s'en priver lorsqu'une d'elle est ici ? Ici au moins, nous pouvons nous faire plaisir.

La pièce est grande mais peu de matériels se trouvent dedans. Nous avons des chaînes aux murs pour dans le cas comme elle, et un lit. Un lit avec des liens qui se trouvent aux poignets et aux chevilles. De plus, nous pouvons accueillir jusqu'à trois personnes en tant que spectateur. Dommage pour elle, aujourd'hui je suis seul. Je me serai fait un plaisir de voir les autres gars la regarder.

LEVYOù les histoires vivent. Découvrez maintenant