C'était comme un vide; dans son esprit, dans son coeur. C'était une puissante solitude qui s'abattait sur lui. Un silence; un rien; le blanc total
C'était un silence effrayant, bruyant. Mais au début, on pouvait dire que ça allait. Rien, juste rien.
Et puis, c'était comme si un million d'information se ruait a lui; comme si on lui hurlait dans les tympans, comme si on le secouait de partout, qu'on pleurait, qu'on criait qu'on....
Pourtant, dans la petite pièce, il n'y avait rien d'autre que le silence.
Finalement, peut être qu'il ne s'était pas rendu compte que c'était lui, qui hurlais a s'en déchirer les tympans. Lui, qui se secouais de partout les mains sur les oreilles. lui qui pleurais, lui qui criais.
Son corps ne lui répondais plus; recroqueviller comme une bête dans un coin, contre un ennemi invisible. Il avait beau se dire, se répéter en boucle que ce n'était rien d'autre que le silence, celui la l'effrayait quand même. Il voulais retrouver le bruit du hangar; ou au pire des cas retourner dans son monde.
Quand il remit ses écouteur, ce fut pire. Comme si son monde lui hurlais dessus. Ils lui en voulaient. Ils lui en voulaient de les avoirs lâchement abandonnés, de s'être trouvé d'autre amis. Il avait l'impression qu'on lui reprochais un tas de trucs. De nouveau, peut être qu'il ne se rendait pas compte que c'était simplement lui même qui s'en voulait. Il retira ses écouteur; les jeta au loin.
Il tremblais, il criait, étouffer dans de vague sanglot. Le seul moyen de combler le vide était de faire du bruit; mais sa ne remplaçait pas le vide en lui.
Il se saisit de son téléphone a coté de lui, cliqua a tâtons sur le premier contact qui apparaissait, et attendis la fin de la minuteries, qui entrecoupais ses pleurs et le silence.
-...
-Oui? Il ne répondis rien juste heureux d'entendre sa voix. Mingi? Mingi, qu'est ce qu'il y a? Il ne répondit pas; s'il le faisait il éclaterais en sanglot. Tu pleurs? Mingi, tu pleures. Cela sonnait plus comme une affirmation.
-Viens. Viens s'il te plait.
-J'arrive.
Il avait raccroché la seconde suivante, ne laissant qu'un bip régulier dans la pièce.
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Il raccrocha férocement son téléphone paniqué, et se leva d'un bond.
-Hongjoong? Ou tu vas?
Foutue réunion. Il se tourna vers Kang Yeosang, qui présidait la réunion. Se courbant rapidement;
-Je vais devoir vous laisser, toutes mes excuses. Et il partit en courant . il devait se rendre chez Mingi, le plus rapidement possible! Mais il n'était aller qu'une fois chez lui, et il n'avait fait que s'amuser tout le long du chemin.... il n'avait clairement pas eu le temps de mémoriser le chemin!
-Tu devrais te calmer. Il se retourna rapidement; Kang Yeosang. Respire calmement. Il avait beau penser que e n'était pas le bon moment pour faire de la méditation avec ce bon vieux Yeosang, il se tut quand même. il n'irait pas bien loin s'il paniquait comme ça.
Il tenta e reprendre vaguement sa respiration, tandis qu'une idée germais dans sa tête.
-Kang! J'ai besoin de toi!
-C'est a dire?
-Permet moi d'accéder au dossier des élèves.
Calmement, le président le regarda. Ce n'était peut être pas la meilleur idée, de demander ça au représentant des élevés, qui avait qui plus est la réputation d'être froid et intransigeant sur les règles. Mais il était le seul élèves qui pouvait accéder a ce genre de dossier.
