Seonghwa's memory

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                                                                     [5 ans plus tard]


Il y a des bruit de pas, des discussion précipité. Les gens s'activent; rentrer chez eux, quitter le boulot c'est bien ce qu'ils attendent depuis le débuts de la journée. Quitter l'ennui éreintant du boulot pour passer du temps entre collègue ou rejoindre sa famille.

Moi, je reste dans mon bureau. Il fait nuit, il fait noir, tout est si peu aéré.  Que voulez vous? N'était ce pas mon destin? Travail routinier, ou tout est régler comme sur du papier a musique. 

Des post-it sur le devant du bureau, m'indique le reste des taches a accomplir. Boucler un dossier, appeler un client, transférer un autre dossier. Puis le lendemain, la meme chose; je boucle un autre dossier, appelle un autre client. Et la boucle semble ne jamais s'arrêter. 

Les post-it multicolore me rappelle ma chambre de l'époque; je rigole a cette pensé. Finalement, rien n'a réellement changer. J'ai finis comme j'ai commencer. 

Je pianote sur l'ordinateur. Enfin, je me suis décidé. L'idée me fait peur; changer ce train de vie- qui m'apporte pourtant une vie confortable-, et sauter dans l'inconnu? J'ai peur, tout simplement. peur d'échouer. Rester embobiner dans un univers calme et répéter, sur et constant, m'assure une protection réconfortante. 

Pourtant, quelqu'un m'as dit un jour. Quelqu'un m'as dit qu'il fallait que je comprenne. Que je comprenne que ce qui manquais a mon bonheur, ce n'était pas le confort, ou la perspective d'un avenir sur qui ne me plairais pas pour autant.

Ce qui me manque, c'est la liberté.

Il ma l'as bien fait comprendre, Kim Hongjoong. Il m'as fait comprendre tant de choses. des souvenir incertain refont surface. Mais, c'était comme si j'était inconnu de ces scène. Comme si j'observais la vie d'un petit frère, qui me ressemblais étrangement.

Les traits de son visage m'échappe... a la fois doux, mais un peu dur des fois... comment était-il? 

A force de noyer tout dans le boulot, j'ai finis par tout oublier. Meme la raison qui m'avait pousser a faire ce travail. C'est vrai, je voulais juste m'échapper. De tout, de ce monde, de lui. Ses yeux brun me reviennent en tête. 

Pourtant je ne me souviens plus de quelle façon il me regardais. Il était mon meilleur ami pourtant, suis-je déloyal au point d'oublier mon seul et unique meilleur ami? 

Enfin, je me souviens juste de son visage froid, glacé, inanimé. Comment l'oublier aussi. Ce lundi matin, ou les journaux on circuler partout au lycée. Les gens avait des mines dévaster; tout le monde aimais Hongjoong, il allait de sois. Une image; juste une bâche. Personne ne savait a quoi ressemblait réellement l'intérieur.

Nous sept, si. Sur cette image, nous ne voyions que son cadavre, gisant sur le canapé. Canapé de velours rouge, rapiécer. Ses yeux fermé, comme s'il dormait paisiblement. 

Hongjoong est un mystère a mes yeux; encore aujourd'hui. Mais je ne suis pas sur de vouloir le découvrir. Tant de chose nous on fait douter, quand il est partit. Des chose que nous ne savions pas, que nous ne soupçonnions meme pas. Kim Hongjoong, qui était-il réellement?

Impossible de le savoir. 

Je secoue la tête. A force de trop réfléchir, j'en oubli de travailler. Je ferais mieux de boucler tout ça, de rentrer et de-

Mais pourquoi faire? pourquoi faire alors que je recommencerais demain? A quoi ça servirais? La charge serait toujours la meme, l'ennui toujours aussi pesant, le bureau toujours aussi glacial. 

Suis je le seul? Les autres semble se contenter de cette vie. ça n'est pas compliquer de s'adapter, si? Pourtant, 4 ans que je suis assis sur cette chaise en mousse, et toujours rien. 

Je pianote un instant sur mon clavier;

Choi Jongho.

Je clique sur le premier lien, pour voir un doux visage me sourire. Deux yeux recourber, disparaisse sous d'épais cheveux brun. Il souriait comme un enfant, et a voir son visage, j'avais l'impression de prendre trente ans dans la gueule. pourtant, c'était étrange. il n'était pas le Choi Jongho que je connaissais. Enfin, je suis pas non plus certain de me connaitre moi meme.  Je reprend mon clavier;

Choi San

Cette fois si le lien me dirige vers le site d'un établissement; je manque de m'étouffer en lisant; Professeur de langue, Choi San. San? San professeur? Pour être un étonnement... preuve que les gens change, n'est ce pas? Pas en mauvais, pas non plus en bon: les gens change juste, de gout, d'habitude. c'est fous, toutes ces vies qu'ont peut vivre en une seule. Et de nouveau, je sens que je passe a coté de quelque chose; combien de vie puis-je affirmer avoir réellement vécu, moi? Mon clavier entre mes mains, j'écris de nouveau.

Kang Yeosang

Aucune photo de lui cette fois. mais de splendide paysage d'un compte professionnel, me montre que cet ami n'as pas chômé avec son appareil photo. Des dessins aussi; un talent bien a lui. Je retient mon sourire, quand je tombe enfin sur une photo, sur son compte Instagram. Il est avec une jeune femme brune, et un homme aux cheveux noirs jais. Tous se tiennent dans les bras, mais Yeosang a l'air de se sentir a l'étroit. En dessous, un simple écrit, qui date de quelque jours.

Les vraies amitié ne se finissent jamais réellement.

Et encore une fois, je me sens comme un incapable. Car je suis évidement heureux; Choi Jongho a réaliser son rêve, San est devenue une personne capable d'aider les autres, Yeosang a redécouvert la véritable amitié... Je suis fière d'eux, comme une mère pourrait l'être.

Mais je sais pertinemment que moi, je ne suis pas capable de les rendre fière. Quand il avance a tâtons, en tentant de s'en sortir pour finalement réussir, moi je suis rester coincé et tétaniser. Retomber dans une manie qui m'enfermais, pour finalement ne plus jamais essayer de vivre une nouvelle vie.

Je ne sais pas combien de temps je reste la, à observer leurs réussite des étoiles plein les yeux. Si je me bouge maintenant, je pourrait réaliser mes rêves? Mais quelles sont mes rêves, la question est la. je n'y ai jamais pensé. Je regarde autour de moi.

La pièce est sombre, vide froide. Elle n'as pas changé; elle ne changeras pas. 

Non. Non je ne veux pas de cette vie. Décidément, je n'en veux vraiment pas. Je range mes affaires. Un dossier non bouclé, un client mécontent.

Temps pis pour eux, je ne peux vraiment plus rester ici. C'est de la folie, surement. Mais c'est ça, la liberté. Si je ne prend pas cette instant de folie, maintenant... je ne le ferais jamais.

je me dirige d'un pas ferme chez moi. La porte de ce viel appartement miteux ouvert, j'entreprend de sortir mon ordinateur, et m'assis a mon bureau. Ainsi, j'écris ma lettre de démission. 

-Park Seonghwa vas vous rendre fière les gars, j'aurais une vie aussi splendide que la votre!

Je souri bêtement. C'est ça la liberté? 5 ans que j'avais oublier ce sentiment. Celui d'être libre de choisir, qui je suis, qui je serais demain. Et demain, je serais une meilleure version de moi meme. 

Un Park Seonghwa dont ils seront fière, dont il seras fière, et dont je serais fière. 



Diary film-Minjoong-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant