Douleur

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Le stress et la peur.

Étaient les deux seule chose dont vous ressentez à cet instant. Assise au pied du lit, les jambes recrovillée sur vous même, vos yeux fixent le sol de la chambre. Pas un son, hormis une forte respiration s'échappait de vos lèvres.

Qu'es ce que vous avez fait ? Provoquée ma colère d'un démon, oui. C'était une grave erreur, mais comment auriez pu savoir qu'il vous écoutait ? Vous ne l'avez peut-être pas su, mais peut-être auriez dû vous excusez au lieu de l'insulter encore plus et de sur quoi le craché au visage.

En faite, ce problème vous l'avez depuis longtemps. Depuis l'enfance enfaite. Pour vous le simple fait de supplier était impensable, peut importe la situation dans laquelle vous vous retrouvez, vous ne penserez Jamais à supplier votre tortionnaire ou pour demander de l'aide.

C'était peut-être de l'arrogance ou de la fierté, mais ce défaut vous n'avez jamais pû vous en débarrasser et même ceux en grandissant...... Il y avait tout de même une exception, ceux qui comptait pour vous.

En revenant un peu arrière dans votre vie, les seules personnes qui ont déjà eu la chance de recevoir vos supplications étaient vos parents décédés et votre amie Maya. C'étaient les seules personnes qui comptaient réellement pour vous, plutôt qui avaient compté pour vous.

Maintenant que vous étiez en enfer, vous ne les reverrez plus jamais c'est sûr. Peut-être était-ce ce défaut, qui vous avait envoyé ici? Le fait de ne jamais supplier même à dieu, était peut-être la raison ?

Ça c'était juste une hypothèse.

Le tic tac de la pendule raisonnait dans la pièce. Le temps passait. Combien de temps étiez-vous resté dans cette position ? Combien de temps vous restait-il avant qu'il ne vienne réglé votre compte ? Combien de temps, avant que vous ne "dansez"?

Ce sous entendu laissé par ce prince ne vous évoquait pas beaucoup d'options. Peut-être voudrait-il vous forcez à dansé pour lui? De la même façon que des stripteaseuses le font? Si c'était vraiment le cas, encore préféré qu'il vous batte plutôt que vous ne perdez votre dignité à faire ce genre de chose.

Vos yeux longent vos bras, s'arrêtant devant les marques rouges. Il vous avait tenu si fort, que cela avait causé de hématomes sur votre belle peau
(C/p). Vous lachez un soupir, en ramenant vos bras autour de vous. Enfouissant la tête entre l'espace de vos jambes et votre corps.

click!

La porte venait de s'ouvrir. Il était là.

Vous ne relevée même pas votre tête pour le regardez, vous n'en avez pas envie et cela ne servait à rien.

Mammon entra et referma derrière lui à clé en poussant un soupir. Écouter des investisseurs essayer de lui vendre leur projet était totalement fatiguant et barbant ! Il en va de même pour gérer ce cercle.

En regardant la baie vitrée, il vit que les nuages commençaient à devenir vert sombre, la nuit n'allait pas tardé. Son regard fini par dérivé vers votre firme recrovillée dans le coin du lit.

On dirait bien que cette gifle, vous avait bien calmé. Mais malgré ça, il comptait bien exécuté la menace qu'il vous avait promis. Il fini par se diriger vers la chaise de son bureau pour y déposer sa chemise dessus et pour tourner la chaise dans votre direction.

Il s'assit et vous fixa pendant un moment. Vous, vous ne relevez même pas votre tête. Vous saviez qu'il vous fixait, et intérieurement celà vous dérangeait de croisé à nouveau ce regard. Son regard.

- Lève la tête.

Vous ne l'obéissez pas. Il n'aimait pas ce répété, vous le saviez et il ne se répétera pas.

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