Me and the Devil : Sebastian Pallow (FR)

CHAPITRE 68 : Jeux.

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Bonne lecture ! — (De la traductrice française)

(PS) : je vous rappel que si vous voyez n'importe quelle faute, de frappe, d'orthographe ou d'équivalence, ça m'arrive beaucoup alors dites le en commentaire pour que je puisse corriger !

Ominis s'est rapidement éclipsé, mais a laissé la porte grande ouverte, ne laissant aucune place à l'argumentation.

La poitrine de Sébastien se soulevait encore lorsqu'il se retourna vers moi, afficha un sourire penaud et tendit la main pour attraper la mienne.

"On repousse ça à plus tard ?"

Je me suis approchée, j'ai touché le bout de mes bottes, j'ai passé ma main libre sur son visage et j'ai essuyé du bout des doigts les dernières traces de sel qui restaient sur ses joues.

"J'espère" J'ai été surprise par ma propre audace.

Sébastien sourit et déposa un baiser à l'intérieur de ma paume.

La salle commune était toujours aussi sombre, les tambours et les cordes résonnaient dans l'air et les élèves se passaient de nouveaux gobelets près de la cheminée. Les canapés et les sièges sur lesquels nous étions assis avaient été repoussés encore plus loin et des chaises diverses avaient été placées à côté. Quelques gros coussins avaient été jetés au sol dans les espaces intermédiaires, créant ainsi un grand cercle.

Lucan nous fit signe joyeusement de nous approcher, mais une main plutôt large se posa sur son épaule.

"Seulement les septièmes années, gamin. Va jouer à l'explosif ou à un truc du genre". Je lançai un regard au garçon à la tenue ridicule. Lee Aster.

Lucan a eu l'air abattu, il a baissé la tête et s'est détourné.

"Juste quand je pensais que je ne pouvais pas te détester davantage". Sébastien ricana.

"Oh boohoo Pallow. Les règles sont les règles..."

Mon sang ne fit qu'un tour, mais Sébastien me serra la main et secoua la tête.

"Il n'en vaut pas la peine."

Je desserrai mon poing à contrecœur et le suivis jusqu'au canapé, m'asseyant à côté d'Ominis et Sébastien à côté de moi.

"Commençons ces jeux, hein ?"

Ma colère se calma rapidement lorsque je vis Garreth, aux cheveux teigneux, debout sur un petit coffre, toujours drapé de tissus noirs.

Il frappa ses mains l'une contre l'autre et tira l'un des grands chiffons noirs pour révéler une poignée de flacons de potions brillants, tel un vendeur de montres de poche usagées. Il les toucha toutes avant de froncer les sourcils.

"Si vous cherchez la petite potion claire, j'ai déjà pris la liberté de la distribuer." Lee aboya depuis sa chaise en bois branlante, assis de côté, une jambe pendante sur l'accoudoir.

Le sourire de Garreth s'effaça. "Distribué ?"

Lee roula des yeux et tourna la tête vers le reste du cercle où les autres septièmes années avaient pris place. J'en ai reconnu quelques-uns de chaque maison, mais je n'ai pas trouvé Natty, Marlene ou Poppy. Mon cœur se serra légèrement.