Un avenir compliqué[EN RÉÉCRITURE]

Fin de la canule

Nous sommes un moi plus tard. Aélita et Jules se sont mis d'accord de pour rester de bons amis. Aélita était dans la cour avec Jeremy, c'était son premier jour sans la canule.
-Jérémy, je garderai un trou dans mon cou, le temps que ça se résorbe...Je suis désolée. Je sais que cest horrible à voir mais je ne peux rien n'y faire.
Jeremy lui prit les mains.
-Tu n'es pas responsable, et puis si tu n'aimes pas, tu peux toujours porter une écharpe. Je sais ce que tu ressens, mais sache que pour moi, tu resteras toujours, la Aélita que j'aime. Je dois voir Julie pour un devoir, à plus tard.
Aélita lui fit un signe de la main et s'assit sur une table de pique nique, les jambes dans le vide.

Elle n'eu pas le temps de rester seule qu'Ulrich était venu.
-Ulrich? Je peux t'aider? Demanda Aélita.
-Tu n'as plus ta canule?! C'est merveilleux! Je voulais juste m'assurer que tout allais bien. Tu ne peux pas savoir à quel point j'étais inquiet pour toi. J'ai souvent communiqué avec toi, pendant ton coma. J'ai fait des nuits blanches parce que je me faisais un sang d'encre pour toi.
-Ulrich...Tu es adorable, Yumi a raison tu as beau passer pour un gros dur, en réalité tu es gentil.
-Ce n'est qu'une carapace disons. Nous avons passé des nuits en groupe dans le foyer, on n'arrivait pas à dormir.
-Je ne savais pas que vous vous faisiez autant de souci pour moi.
-C'est normal...Tu n'imagines pas dans quel état Jérémy était. Sans toi, on ne le reconnaissait pas, il était vide, sans émotions.
Aélita sentie les larmes lui couler sur le visage. Ulrich s'approcha d'elle et lui essuya ses larmes.
-Je ne voulais pas t'en faire pleurer. Je suis maladroit, pardon.
-Ce n'est rien.
Les deux retournèrent vers les dortoirs et retrouvèrent leurs amis. Aélita n'avait pas d'écharpe, elle avait décidé d'assumer sa particularité. Sa soeur faisait de même, on les dévisageaient souvent mais Mélita lui conseille de ne pas y prêter attention.
Jules était dans le couloir avec Aélita.
-Je suis heureux de te savoir guerrie. Tu ne peux pas savoir à quel point ça m'énerve, de voir toutes ses personnes qui se permettent de vous dévisager.
-Il faut les comprendre, ce n'est pas commun de voir ce genre de chose.
-Tu as sans doute raison.

NDA (note de l'auteur):
Merci pour les 300 vues! C'est un truc de malade, merci beaucoup! Je ne pensais pas atteindre un tel chiffre en si peu de temps c'est fou!