Chapitre 42

712 62 38
                                    

|Bonsoir, comme d'habitude ici btsdreams13
Voici le chapitre 42, je vous souhaite une bonne lecture ^^
On se retrouve prochainement pour la suite.
Et bonne nouvelle, Surnaturel revient bientôt ;)|

Taehyung : Nayu… il faut que tu saches que nous nous connaissons depuis toujours.

Avais-je mal entendu ?

Nayu : Depuis toujours ? Qu’est-ce que tu veux dire ?

Tout en me redressant je garde la couverture contre ma poitrine.

Taehyung : C’est pourtant clair, non ? Toi et moi, on s’aimait avant même de se rencontrer dans cette rue glaciale.

Il faisait allusion au moment où je l’ai hébergé à la maison.

Nayu : Taehyung, écoute je n’arrive pas à savoir où tu veux en venir.

Doucement, le garçon vient poser ses grandes mains sur mes joues légèrement rosées. Son regard, je ne pouvais pas m’en défaire. Il dépose d’une telle souplesse ses lippes sur mon front que j’en ai des frissons. Il se remet à me regarder. Pourquoi ses yeux sont-ils larmoyants ?

Taehyung : Je sais. Ça parait fou. Comme toi, je ne me souvenais de rien. Du moins, il y a de ça un mois. Tout juste lorsqu’on rentrait de l’hôpital.

Nayu : Se souvenir de quoi Taehyung ?

Taehyung : Eh Bien…

1 mois plus tôt…

 

Taehyung

 

Le trajet de l’hôpital jusqu’à la maison me parut vraiment long. Bien plus long que d’habitude. Alors que Nayu s’était endormie sur épaule, moi je regardais fatigué la vue défiler. Je n’avais pas fermé l’œil depuis un certain temps. Cependant, j’avais trop peur de le faire. Dès que l’obscurité s’emparait de moi, des flashs se manifestaient encore et encore. Mais qu’est-ce qu’il m’arrive ? J’en avais des migraines effroyables par moment. Je me rappelle juste de cris, de pleures et même cette odeur. Une odeur de sang.

Taehyung…

 

…une partie de cache-cache…

 

Maman va compter…

 

…vous deux vous allez vous cacher, d’accord ?

 

Douloureusement, je viens poser une main sur mon front. Je délire où quoi ? A qui appartient cette voix ? Je ne la connais pas toutefois elle m’est étrangement familière. Elle est douce, néanmoins j’y ressens un soupçon de peur. Je n’y comprends plus rien.

𝐒𝐄𝐋𝐅𝐈𝐒𝐇Where stories live. Discover now