Les vendeuses de Piment 🤑🌶 ( En correction )

Songe

  J'ai su qu'après ça FANY essayera sûrement de me tuer . À la sortie du poste de Police, il était là. J'ai sauté dans ses bras.

-CHRISTIAN: Tu avais peur?

-MOI: Non.

-CHRISTIAN: Pourquoi?

-MOI: Parce que tu m'as dis de pas avoir peur.

-CHRISTIAN: Très bien. Tout se passe comme prévu, tout le monde a déjà une image bien taxée de FANY. Il faut vraiment qu'on en finisse avec JESSICA et le bouquet final.

-MOI: Et je dis quoi à ma mère ?

-CHRISTIAN: Par rapport à quoi ?

-MOI: Aux vidéos qui circulent!

-CHRISTIAN: Je ne crois pas qu'elle ait le temps pour tomber dessus. Mais elle saura tout de même que notre établissement est presque en feu et elle te posera des questions.

-MOI: D'accord. Maintenant on va où?

-CHRISTIAN: Tu veux aller où?

-MOI: Peu importe, je veux juste me détendre.

-CHRISTIAN: Alors je t'amène faire du parachute.

-MOI: Mieux je pars dormir.

-CHRISTIAN: Lol pourquoi ?

-MOI: Parce que ce n'est pas drôle .

-CHRISTIAN: Bon ça va . Je veux que tu partes avec les filles.

-MOI: Où ça ?

-CHRISTIAN: Pour Kribi .

-MOI: Encore!?

-CHRISTIAN: Oui mais cette fois juste entre vous les filles. Je veux que tu t'amuses à fond.

-MOI: Et toi alors!?

-CHRISTIAN: Je vais rester ici t'attendre .

-MOI: Sérieux ?

-CHRISTIAN: Oui.

-MOI: Qu'as-tu fait de mon mec?

-CHRISTIAN: Il veut juste que tu te relaxes un peu ton mec.

-MOI: Merci chéri.

-CHRISTIAN: Fais moi un bisou.

       Je me demande où lui et moi on sera dans quelques années... Si on sera marié, si on aura dépassé toutes ces histoires. Mais en même temps je ne veux pas y penser, je veux vivre ma vie pleinement. Il m'a ramené à la maison. Il n'y avait personne... je me suis douchée et j'ai dormi.

-BRANDON: Calme-toi... Je suis là... Ça fait mal mais tu dois être forte et ne surtout ne rien raconter à personne.

-MOI: Lâche-moi... je ne peux pas ...( en pleurant )

Il y'avait des sirènes d'ambulance partout... et j'avais du sang sur les mains, sur mes vêtements et sur mon visage, je n'arrêtais pas de pleurer et de me débattre. J'étais terrifiée. J'avais mal, tellement mal pourtant je ne connaissais pas qui avait été couvert dans ce drap blanc.

Je me suis réveillée en sursaut... mon téléphone sonnait et comme je m'en doutais, c'était ma mère.

    ...

-MAMA : Bonjour mon bébé

-MOI: Oui mama...

-MAMA: Tu vas bien j'espère...

-MOI: Un peu et toi?

-MAMA: Moi ça va. Je sais ce qui se passe dans ton établissement et honnêtement ça me terrifie. Dès que tu finis ta première année, je veux te faire venir. Ici j'ai un emploie vraiment stable, avec un bon salaire et je veux t'avoir près de moi. Donc saches que dans quelques mois, tu devras commencer la procédure, si ça ne tenait qu'à moi tu arrêtais d'aller dans cet établissement.