35. Elle me rend fou

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Je sais, j'ai peut être exagéré en parlant de demain comme ci c'était imminent mais j'ai voulu mettre les choses au clair, lui dire, l'expliquer qu'on ne sera jamais réellement ensemble, c'est fini. Il est hors de question que je les mette et me mette en danger, car je risque également beaucoup dans cette histoire.

Tout aurait pu se terminer là, cependant je n'ai pas résister à l'envie de l'embrasser encore je fois, de la posséder encore. Je laisse libre court à mes envies et besoins longtemps refoulés depuis le jour où je l'ai revue. Même le dîner n'avait pas assez de saveur dans ma bouche comme ses lèvres douces et pulpeuses alors que je sais qu'elle était délicieuse.

Je la veux

Après sa proposition par rapport à Nadia, les idées ont commencé à germer dans ma tête et j'ai trouvé évident qu'elle récupère sa place mais j'avais oublié une chose, elle est têtue. 

Je préfère remettre cette  conversation à plus tard car il m'est impossible de réfléchir correctement avec ce corps à moitié nu en face de moi.

Ma bouche en train de lecher, titiller ses tétons durs et gonflés de ma langue et de mes dents, je me sens de bonheur quand ses gémissements se font de plus en plus fort. 

C'est ça, petit cœur, crie pour moi.

Je m'écarte d'elle et récupère deux petites pinces que j'avais déposées sur le lit.

- Qu'est ce…

- Tu viens de me désobéir petit coeur.

- Non, je…

- Et de deux. Dis-je en souriant. Attention ça va te faire mal mais pas plus que quand je vais te les retirer. Je lui préviens 

Je récupère les pinces et les agrippent sur ses tétons encore sensibles de mon touché et un cri sort de sa bouche.

J'adore 

Je m'attends à ce qu'elle me dise stop, qu'elle veut tout arrêter mais rien. 

Alors je continue. 

Mes mains parcourent son corps, les caressent de toute sa longueur, m'attardent à certains endroits et ses frissons se multiplient.

- Qu'est ce que je vais bien pouvoir faire de toi maintenant petit cœur?

Elle me regarde mais ne dit rien. C'est bien, elle commence à apprendre. 

Je récupère mon fouet et lui donne deux coups sur ses cuisses, sa peau rougie et marque rapidement, magnifique. 

Je peux voir qu'elle se retient de pleurer alors je décide de caresser la partie douloureuse de mes lèvres. Je suçote de baisers doux et mouillés, doucement, je remonte jusqu'à son boxeur qui me fait légèrement sourire. 

Sexy à sa manière. 

Mes doigts caresse son sexe au dessus de sa protection et je peux entendre le souffle de bien être l'envahir. 

Mon doigt retrace la fente de ses lèvres et m'aventure plus en profondeur en jouant avec son petit bouton de chair, elle mouille. 

Je décide alors de faire glisser la dernière protection qui m'empêche d'admirer son corps en entier et une fierté inexplicable se crée en moi.

Elle est mienne

Je remonte alors pour capter son regard et l'embrasse passionnément, puis retire les pinces.

- Attention. Dis-je et comme prévu elle crie.

Je l'effleure de mon doigt et gémis de douleur.

Elle est beaucoup trop sensible. 

- Tu es tellement sensible. Bravo petit cœur, tu as réussi le test.

Ma langue vient une nouvelle fois lecher ses tétons, l'enroule et le suce, j'ai l'impression qu'elle va exploser.

Ma main se faufile alors jusqu'à son intimité et je commence à jouer avec son petit bouton de chair.

Elle se cambre et quand j'envoie deux  doigts en elle pour la découvrir, elle finit par jouir.

- C'est bien mon cœur, maintenant il est temps de passer aux choses sérieuses et une dernière chose je t'interdis de jouer.

Elle ouvre grand les yeux et je libère enfin la bosse qui me compresse depuis tout à l'heure et qui ne demande qu'à être combler 

Elle me regarde et ses yeux s'attardent sur mon sexe fièrement dressé et elle se mord la lèvre inférieure. 

C'est à mon tour de jouer bébé. 

Les jambes écartées, elle m'accueille et je me glisse en elle jusqu'à ce qu'elle m'aspire totalement. 

J'adore.

Ça fait longtemps que je ne me suis pas senti si complet.

À ma place. Dans une charte chaude et serrer. 

D'abord doucement, je me retire et s'insère en elle dans un rythme doux, je prends le temps de m'imprégner de ses parois et de sa chair qui se frottent tout le long de mon membre.  

Son grognement m'annonce son mécontentement. 

- Tu veux vite? Réponds-moi. L'autorise- je

Sa voix n'est que plaisir quand elle me crie

- Plus fort aussi.  La surprise me gagne et un sourire pervers se dessine sur mes lèvres. 

- Je sens qu'on va bien s'entendre .

Alors je me libère enfin de toute cette frustration et la martèle de coup de rein toujours plus puissant. Mes vas et vient sont déchaîner, son corps se déboîte et s'emboîte à mon bon vouloir et ma satisfaction 

Ses gémissements sont de plus en plus forts et quand je sens sa chair se refermer autour de ma queue, l'aspirer en elle, je sens qu'il est trop tard pour moi.

- Milla non.

Mais c'est trop tard, elle jouit et m'entraîne avec elle dans une libération totale.

Le corps transpirant et collant, je la regarde avec une certaine colère mais ses yeux pétillants de satisfaction me détendent.

- Tu m'as désobéi . Dis-je à bout de soufle et elle se met à rire. 

Elle tire sa main et je ressens sa gêne.  

- Attends. 

Je la libère de ses enclaves et la regarde. 

- Je vais devoir te punir Milla.  Elle ouvre les yeux, me regarde et s'est à mon tour de sourire. Mais avant ça on a une partie à terminer. Dis je avec un sourire taquin

Je la regarde et l'embrasse une nouvelle fois. 

Elle me rend fou.

J'ai bien peur que la nuit ne soit pas assez longue pour nous car elle plonge ses mains dans mes cheveux et je comprends qu'elle est prête pour le deuxième round.

Sortilège Où les histoires vivent. Découvrez maintenant