Les Psychopathes Font Leur Show. ( à corriger )

[ 58 ] - Massacre à la tronçonneuse.

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Michael était paralysé, il ne pouvait pas parler tellement la peur était puissance. Les tremblements de son corps le trahissaient. Kris regardait autour de lui, sans rien comprendre. Les gens semblaient justes un peu dérangés, mais pas fou au point de tuer quelqu'un.

Quand le policier coupa un morceau de la jambe pour le servir au garçon, le craquement de l'os souleva les cœurs. Michael qui ne trouva le moyen de se retenir, se mit à vomir. Le policier qui se trouvait à côté, fut éclaboussé et cela ne lui plut absolument pas.

Il empoigna le garçon par le cou et le fixa d'un regard sombre et destructeur. Il regarda le fermier, puis les deux hommes se mirent à rigoler. Il détache le jeune homme et l'emmena dehors, pour lui donner une bonne leçon.

Il n'avait pas prévu de le tuer, il voulait simplement le battre. Simplement, car quelques gouttes de vomi avaient éclaboussé les belles chaussures brillantes du policier. S'il avait pu éviter ça, il l'aurait fait. S'il avait eu le réflexe de tourner la tête de l'autre côté, pour ne pas se vomir dessus, il l'aurait fait.

Les coups s'enchaînaient, Michael avait l'impression de se casser coup après coup. La douleur devenait insupportable, au point qu'il commença a supplier ses agresseurs. Cela n'était pas courageux, ni viril, mais il n'avait aucun moyen de se défendre. Ses mains étaient attachées, le barbelé lui coupait les poignets, à force de se débattre. Il se mit en boule, afin de se protéger au mieux les côtes, qui lui faisaient déjà horriblement mal.

Pendant ce temps à l'intérieur, Kris observait la vieille femme. Elle semblait fragile et manipulable, il tenta donc quelque chose :

- C'est possible d'être détaché pour pouvoir manger ? demanda-t-il d'un air convainquant.

La femme regardait vers l'extérieur, elle était hésitante. Il avait bien compris que ce n'était pas elle qui choisissait, qu'elle était sous les ordres de son mari et du policier.

- Fais vite, que je t'attache avant qu'ils reviennent, sinon tu subiras le même sort, prévient-elle en le détachant.

Le fait qu'il allait devoir lui faire du mal ensuite le blessa un instant. Il aurait voulu la convaincre de le laisser partir, mais cela lui aurait coûté des coups derrière, il l'avait bien compris. D'un mouvement rapide, il se leva et la gifla violemment, ce qui la fit s'écrouler au sol.

Kris partit en courant, mais la femme qui était juste tombée et non assommée se mit à hurler. La panique envahissait le jeune homme qui ne savait par où sortir de cette baraque qui était entièrement barricadée. Elle ouvrit une porte, qui semblait mener à un sous-sol, il commença ça descend, mais quelque chose le stoppa.

Le moteur d'une tronçonneuse se mit en marche et un homme aussi haut que large avançant vers lui. Les yeux ronds de découvrir cet homme balaise, voir le sang sur la chaîne de l'engin, il repartit dans le sens inverse.

Le policier et le fermier qui eux aussi ont été alerté par les cris, partirent en courant en direction de la maison. Ils laissèrent Michael au sol et le pauvre garçon était à moitié dans les vapes. Il rampa, pendant qu'une course-poursuite humaine se faisait à l'intérieur de la maison.

Après avoir usé de toutes ses forces, Michael réussit à atteindre un abri qui ressemblait à un hangar, ou un garage. Il s'enfonça jusqu'au fond de celui-ci en prenant le soin de regarder vers l'entrée. Soudain, quelque chose le stoppa, doucement, il se retourna et c'est avec effroi qu'il découvrit le corps de Kyle.

Difficilement, il se releva et regarda le jeune homme qui n'était pas mort. Sa jambe s'infectait, sa blessure à cause du crochet également. Son pouls était faible et son visage très pâle. Il le secoua un peu, ce qui le fit gémir, la douleur était intense à chaque mouvement.

- Barre-toi, souffla Kyle.

- Non, je ne peux pas te laisser mourir ici. Je vais te détacher et on va partir ensemble, annonça Michael.

- C'est trop tard, barre-toi !

Malgré les conseils de son ami, Michael refusa de partir et essaya de le décrocher. Malheureusement, le crochet ayant la même forme qu'un hameçon, cela était une perte de temps plus que douloureuse. Il était impossible de faire ressortir le crochet par l'endroit où il était entré. De plus, Kyle qui était un grand sportif, était bien trop lourd pour que son ami le soulève suffisamment.

Les cris du jeune homme suspendu étaient nombreux, il soufflait encore et toujours à son ami de partir entre quelques hurlements, mais celui-ci ne l'écoutait pas. Malheureusement, cela attira l'homme à la tronçonneuse, qui le coupa en deux, à la verticale. Faisant voler le sang sur le visage, le corps de son ami. Les larmes coulaient sur son visage, impuissant et prit au piège. Il était spectateur de la mort qu'il l'attendait ensuite.

Une fois fini, Kyle vit le corps de son ami en deux parties, écroulé au sol dans une flaque de sang énorme. L'homme à la tronçonneuse, attrapa Kyle par la jambe et tira de toutes ses forces. L'acte détacha le jeune homme, le crochet déchira son muscle, ses nerfs, sa chaire. Cependant, il avait tellement mal, qu'il n'avait plus de force pour hurler.

Le géant le traîna au sol, jusqu'à la maison dans laquelle, ils entrèrent. En passant à l'intérieur, Kyle regardait à droite et à gauche, quand il tomba sur la tête de Kris, qui en voulant s'enfuir s'était fait piéger.

L'homme l'emmena au sous-sol, son corps claquait sur chaque marche au fur et à mesure où il descendait. Une fois en bas, sans dire le moindre mot, l'homme au visage masque l'attrapa et le mit sur une table recouverte de sang.L'homme l'emmena au sous-sol, son corps claquait sur chaque marche au fur et à mesure où il descendait.

***

Et voilà, la suite et fin de massacre à la tronçonneuse. Très reprit des films, il faut l'avouer, mais depuis quelques temps l'horreur était soft et je voulais l'intégrer de nouveau bien comme il le faut. J'espère que vous n'êtes pas déçu ?

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