[ 84 ] - Horrible Chucky

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Apres le carnage de la famille de Lyham, le petit garçon n'eut aucune famille d'adoption. L'assistante sociale lui fit passer des tests obligatoires afin de rester dans le foyer d'adoption, mais ceux-ci ne se passèrent pas réellement bien.

Le psychologue jugea l'enfant psychologiquement travaillé. Apres tout, dire qu'une poupée nous parle, même pour un enfant de neuf and, cela paraît bizarre.

Il fut emmené dans un hôpital psychiatrique et afin que le processus de guérison soit efficace, on lui retira sa poupée une fois installé.

La crise que fit le petit garçon à ce moment, alerta tout le centre et provoqua, d'autre crise, chez d'autre patient. Un patient un peu particulier s'approcha de la porte de la chambre du petit garçon, qui était inconsolable. Mais, ce patient n'était pas n'importe qui, c'était Paul, Paul Dumont ( référence histoire n.1 du recueil ).

Depuis plus de trois mois, Paul passait son temps à faite le tour de l'hôpital, clamant à chaque rendez vous psychologique son innocence. Adossé contre le mur, il écoutait attentivement la discussion, mais une phrase du petit garçon, lui fit rater un battement de coeur.

- Chucky vous tuera tous, il fait du mal aux gens qui sont méchant avec moi, vous verrez. Maman elle a été méchante avec moi et aujourd'hui elle est plus là !

Les infirmiers qui se trouvaient autour du petit garçon, en plus du médecin et de l'assistante sociale, restèrent sous le choc. Comment un petit bonhomme de neuf ans pouvait il tenir des propos aussi grave ? 

Les enfants sont connu pour être imaginatif, mais quand l'imagination vire à ce degrés, il y a un soucis psychologique.

Paul attendit que le psychologue sorte de la pièce, afin de le stopper. Malheureusement, l'homme le balaya d'un geste de la main, sans ne lui accorder la moindre seconde d'attention.

Le soir a partir de vingt heures, tous le monde doit être dans sa chambre avant la fermeture des portes. Quand l'infirmier entra dans la chambre de Paul, il tenta une dernière fois de savoir la vérité.

- Qu'est ce qui c'est passé avec le petit garçon, cette après midi ?

- Cela ne te regarde pas Paul, tu sais très bien qu'il ne faut pas se mêler des histoires des autres patients c'est la règle, répliqua l'infirmier.

- Oui je le sais, mais il a parlé de Chucky je t'avoue que sa me perturbe, ajouta Paul.

- Arrêtez un peu avec ca! Chucky n'est qu'un film d'horreur, le rendre réel pour ne pas assumer ses actes, t'a conduits ici je te signal.

- Là il s'agit d'un enfant, et vous doutez encore ? Vous croyez sincèrement qu'un gamin de son âge tuerait sa famille entière mais c'est vous qui êtes malade ou quoi ! J'en ai marre, je veux qu'on m'écoute, qu'on me croit, hurla le jeune homme.

Alertés par les cris, plusieurs infirmiers arrivèrent dans la chambre. Seringue et sangle à la main, Paul se vit injecté un tranquillisant et fut attaché à son lit. C'était la manière efficace et radical pour eux d'être tranquille pour la nuit et d'éviter d'autre débordement. Ils quittèrent ensuite la pièce, tout en levant les yeux au ciel, exaspéré par l'imagination de Paul.

Le jeune homme ne voulait pas dormir, il voulait partir. Complètement dans les vapes, ses yeux roulèrent de fatigue, à cause du tranquillisant.
Soudain, la porte s'ouvrit, mais il ne vit personne se présenter. Il regardait encore et encore, mais sa vision étant peu claire, il ne distinguait pas suffisamment bien pour voir si il y avait vraiment quelqu'un.

Soudain, il fit un bon de voir la poupée chucky assise sur son ventre sur le lit. Elle semblait figé, le sourire aux lèvres, les yeux grands ouverts.

- Au secours, souffla Paul sans la moindre force.

Un rire diabolique et peu crédible à la fois ce fit entendre. Le regard de la poupée se fonça, son sourire devint vicieux, il reprenait vie, ce qui faisait paniquer le jeune homme.

- Alors Paul, comment va ta mere ? Demanda Chucky. Puis, il rigola pour reprendre ensuite. J'avais oublié ! Elle est morte, c'était un réel plaisir de la tuer.

- Au secours, essayait de crier Paul, mais en vain.

La poupée rigola puis s'empara d'un oreiller qu'il plaqua sur le visage du jeune homme. Paul dandinait son corps cherchant à dégager le coussin, qui le privait d'air.

Le rire de la poupée raisonnait dans les couloirs, faisant paniquer tous les occupants des chambres. À la salle de repos des infirmiers de garde pour la nuit, Alban cherchait dans ses écrans de vidéo surveillance, quelque chose pouvant provoquer ce bruit.

C'est à cet instant qu'il vit la chambre de Paul, et qu'il comprit que quelque chose n'allait pas. Il partit en courant en direction de la chambre, tout en déclenchant l'alarme, afin d'avertir les autres infirmiers et hommes de sécurité.

Malheureusement, en arrivant sur place, il était deja trop tard. Paul avait encore le visage humide, par les larmes versées. Mais avant tout, un visage reflétant la peur et la souffrance, un visage figé qui ne changera jamais plus d'expression.

Il venait de perdre la vie, alors qu'il cherchait simplement à se faire entendre, à ce qu'on le croit.

Tous les gens présents dans l'hôpital durent sortir de leur chambre, et s'installer à coter de leur porte. Tous le monde était présent et endormis sauf une personne. Le petit Lyham avait disparu !

***
Bonjour bonjour, voici la suite comme promis. Je pourrais encore en faire une si vous le souhaitez c'est à vous de voir :) correction quand je serais sur un ordinateur !

La publication va être modifié. Letters commence demain donc je ne publierai plus tous les jours, du moins pour le moment on verra par la suite.

Que pensez vous de l'histoire ? Le fait d'avoir retrouvé Paul ?
Voulez vous une suite ?

Un petit vote fait toujours plaisir *.*.

4eme dans la catégorie horreur ❤️ merci beaucoup ❤️

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Les Psychopathes Font Leur Show. ( à corriger )Where stories live. Discover now