Chapitre 10 : Destin.

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Ce gros porc de Rhodes qui nous servait de père c'était transformé en titan dégeulasse et énorme.  Deux fois plus grand que le colossal. La grotte où nous nous trouvions était sur le point de s'effondrer mais grâce à Eren et son nouveau pouvoir d'autopétrification, nous avions pu réussir à nous en sortir indemne. Par contre, ce n'était pas vraiment le cas pour Kenny et ses sbires.  Nous avions pris rapidement la direction du district d'Orvud afin d'établir un plan le plus vite possible pour éliminer ce monstre. Je m'en foutais complètement que ce soit mon père ou non, cette chose devait crever sinon, l'humanité toute entière allait disparaitre. 

Livaï avait réussi à convaincre major gros sourcils à mettre Historia sur le trône plutôt que moi. Cette dernière avait approuvé mon choix. Non pas parce qu'elle voulait le fauteuil mais parce qu'elle me connaissait que trop bien et qu'elle savait que je serais largement plus utile sur le terrain que sur un fauteuil. Elle, elle sera parfaite en reine, j'en suis certaine. C'était son destin depuis toujours de gouverner entre les murs. Je lui avais même déjà demander un service en tant que reine.

(t/p) : Hey, Historia, quand t'aura la couronne sur la tête, fous une bonne raclée à Livaï nain de jardin, il n'osera pas te la rendre.

Historia : (t/p), il se passe quelque chose entre toi et le caporal-chef?

(t/p) : Non mais ça va pas la tête?

Historia : Pourtant, vous vous chamaillez tout le temps. On dirait un vieux couple.

(t/p) : Petite sœur, juste...fous lui une bonne raclée à ce gros trouduc qui à un égo plus gros que mon fessier.

En y repensant, cette conversation me faisait beaucoup rigoler. Historia avait dit au major qu'il fallait dire à la population que c'était elle qui avait tuer l'énorme titan car elle savait que la population n'allait pas accueillir comme ça, sa nouvelle reine. Mais qui aurait cru qu'elle allait vraiment le faire? Qu'elle allait vraiment tuer notre père? Grâce au plan du major, nous avions pu faire exploser les mains du gros affreux et Eren, sous sa forme de titan avait balancer des centaines de tonneaux remplis d'explosifs dans la gueule du monstre. Et BIM! Ce dernier avait exploser en milles morceaux. Tout le bataillon s'était élevé dans les airs afin de trouver et déchirer le bon morceau où se trouvait la nuque de cet enfoiré de géniteur. Et finalement, c'était Historia qui avait déniché le bon morceau. 

Lorsque tout ceci avait pris fin, et que le moment du couronnement de ma sœur était arrivé, je l'attendais dans le couloir afin de lui faire rappeler ce qu'elle devait faire. Eren, Mikasa, Armin, Jean, Sasha et Connie m'avaient accompagné. Et la reine arriva. Que dis-je? Elle ressemblait plus à une déesse.  Tandis que moi, j'avais beau avoir également les cheveux blonds et les yeux bleus, je ressemblais à rien. A une grosse merde. Enfin...

(t/p) : Tu n'a pas oublier, j'espère?

Historia : Ahah, bien sur que non.

Eren : Tu va vraiment le faire?

Historia : Oui...

Nous nous arrêtions tous d'un seul coup. Il était la face à nous. Je vis ma sœur serrer ses poings. Elle avait la flippe, ça se voyait. Mais elle prit son courage à deux mains et metta un coup de poing dans le bras du nain. Mais la réaction de ce dernier n'était pas du tout celle à quoi on attendais. Au contraire, il sourit.

Livaï : Merci...à vous tous.

Ah, parce que ça lui arrive de sourire? Moi qui croyais qu'il ne pouvait pas sourire tellement il avait un balai foutu profondément dans son derrière. 

Livaï : ...

Historia : (t/p)...tu a encore pensé à voix haute...

(t/p) : Merde.

Je vis les autres derrière moi se retenir de rire.  Je sentis quelqu'un m'agrippé le bras assez violemment. C'était cette espèce de nabot.

(t/p) : Hé, lâche moi!

Livaï : Ferme la.

Il avait reprit son air sérieux et froid habituel. Il me força à le suivre. J'avais beau me débattre de son emprise, rien y fait, il me tena fermement.

(t/p) : Où est-ce que tu m'emmène, tête de nœud?

Alors que nous étions arrivés dans un endroit isolé du bâtiment, il se mit à me frapper de toute ces forces.

Livaï : Je n'ai juste pas envie que quelqu'un soit témoin de ma "violence" envers la sœur de la reine.

(t/p) : Connard...

Cette fois, j'eu le droit à un coup de pied dans la tronche. Quelque chose était tombé. C'était...une de mes dents?

Livaï : J'ai été gentil jusqu'à présent. Gamine. Maintenant, comme je te l'avais promis, je vais te faire apprendre le respect


Freedom. {𝖳𝖤𝖱𝖬𝖨𝖭𝖤𝖤}Where stories live. Discover now