Chapitre 12 : Premier contact.

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(t/p) : Comment ça ma dent à repousser? Tu délire Hanji.

Hanji : Je t'assure que non. Tiens, regarde.

La chef d'escouade me donna un miroir afin que je regarde ma dent. Je pencha légèrement ma tête vers l'arrière et vit qu'elle avait raison. Bon sang, mais c'est quoi ce bordel? J'y comprend plus rien.

(t/p) : C'est quoi ce bordel? Pourquoi ma dent a repoussée?

Hanji : Serais-tu un titan, (t/p)?

(t/p) : Ca va pas non? 

Au même moment, j'entendis la porte du bureau d'Hanji s'ouvrir. Qui pouvait bien nous interrompre dans un tel moment?  J'étais complètement paniquée, et cela faisait très longtemps que je ne m'étais pas retrouvée dans un tel état. D'ailleurs, je crois que ce fut la première fois de ma vie que je paniquais. 

Livaï : Tch, je m'en doutais.

Hanji : Oïe Livaï, comment ça va? 

Livaï : Cette gamine peut se régénérer. 

Hanji : Oui, j'avais remarqué.

(t/p) : Attends, attends. Et c'est uniquement pour ça que tu m'a cassé une dent, nabot?

Livaï : Exactement. On avait des doutes mais maintenant c'est confirmé. Reste à savoir si tu es comme l'autre gamin, à pouvoir te transformer en titan.

(t/p) : Je suis pas un titan, bordel. Sinon, je le saurais.

Livaï : Alors, explique moi comment tu peux te régénérer.

(t/p) : J'en sais rien moi!

Livaï : Tch, je m'en doutais. Maintenant, je pense que tu ne refusera pas qu'Hanji fasse quelques tests sur toi. De tout façon, tu n'a pas le choix.

(t/p) : Puisque je vous dis que je ne suis pas un titan!

Cette fois ci, j'avais carrément criée. J'étais à bout. Je me dépêcha de sortir de cette pièce, tout en fracassant la porte. Il fallait que je sorte. Je pus entendre le caporal-chef m'ordonner de revenir. Il peut se le garder son ordre. J'avais besoin d'être seule, de faire évacuer ma rage. Je sortis dans la cour du QG et prit la direction de la forêt. Si seulement je pouvais aller voir ma sœur. Le soucis, c'est qu'elle est constamment occupée. Une fois bien enfoncée dans la forêt, je grimpa sur un arbre et me posa dessus. Mais quelque chose me gratta le bras. Bordel, c'était quoi qui grattait à ce point? Je releva ma manche où ça me grattais et constata une légère cicatrice. Une cicatrice de piqure. Attends, pourtant, je n'ai pas eu d'injection récemment. La seule fois où j'ai failli être piquée, c'était quand mon gros lard de père m'avait forcé à m'injecter le liquide pour me transformer. Pourtant, j'avais balayer la seringue avant qu'elle ne me pique. Tch, ça m'énerve, je ne sais plus quoi penser. 

...? : Oïe, la gamine, descend de la.

Qu'est ce qu'il foutais ici lui? J'avais envie de parler à personne et encore moins à lui.

(t/p) : Je suis pas la.

Livaï : Tu viens de me répondre, idiote.

(t/p) : Tch. Je descendrais pas.

Livaï : Tête de mule. 

Et, en quelques secondes, le nain se retrouva à mes côtés. Je tenta de le pousser afin de le faire partir, mais Livaï me retenais les deux bras. 

Livaï : Maintenant, tu te calme. On veut juste savoir le comment du pourquoi tu peux te régénérer. C'est tout. Pas besoin de chialer pour ça.

(t/p) : Tu comprends pas ce que ça peut faire. De se dire que tu es peut-être un titan.

Livaï : Tu a bien dis que tu n'étais pas un titan tout à l'heure.

(t/p) : Et je reste sur ma position. Mais...

Je souleva de nouveau ma manche et montra à Livaï la petite cicatrice de piqure qui se trouvait sur mon bras. Il resta de marbre, n'affichant aucune expression comme à son habitude. Il tira mon bras, de façon à ce que je m'approche de lui. Et, sans que je m'y attende, il me blottit dans ses bras.

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