Chapitre 20 : Retrouvailles.

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Livaï : Tu te souviens de vraiment tout?

(t/p) : Puisque je te le dis. Sinon pourquoi je t'aurais embrassé sinon?

Livaï : Mh. Viens par la.

Je m'approcha de mon bien aimé qui me prit la main gauche. Il sortit deux anneaux de ses poches. Ces alliances, je les reconnut aussitôt.

Livaï : Tu es toujours d'accord?

(t/p) : Bien sur, gros bêta.

Livaï : Tch, fais gaffe à ce que tu dis. Le gros bêta, comme tu dis, te réserve des surprises.

Alors que mon fiançé allait de nouveau me passer la bague au doigt, je le stoppa net.

Livaï : Tch, qu'est ce qu'il y a encore?

(t/p) : Ce qui s'est passé dans ma chambre, avec Eren...

Livaï : Je t'arrête tout de suite. Le coup de la bouteille, Eren qui boit avec toi...tout ça était un coup monté afin de te faire retrouver la mémoire. Ne t'inquiète pas, tu n'a rien fait avec le morveux mis à part que vous avez trop bu et que vous avez dormi à poil. Et quand tu m'a vu main dans la main avec Petra, ça aussi cela faisait parti du plan.

(t/p) : Je suis rassurée. Vraiment. J'ai cru avoir fait la plus grosse connerie de ma vie. Mais vous êtes quand même sournois d'organiser de tel plan. Bande de sadique.

Avant que je ne puisse rajouter un mot, Livaï m'embrassa avec fougue. Cela m'avait beaucoup manqué. Le gout de ses lèvre, son odeur. J'étais vraiment heureuse. Oui, vraiment. Il mit fin au baiser et fini par me passer l'alliance à mon annulaire gauche. 

Livaï : Tch, on était peut être sadique, mais au moins, je t'ai retrouvé.

(t/p) : Attends, en plus d'Eren, il y avait qui dans le plan?

Livaï : Historia et Petra.

(t/p) : Petra. Merde. Va falloir que j'aille m'excuser pour ses cheveux.

Livaï : Plus tard. Pour le moment...

Et il m'embrassa de nouveau. Mais avec plus d'ardeur cette fois ci.

PDV Eren

Alors que je traversa le couloir des chambres pour me rendre à la mienne afin de récupérer ma veste, je vis Petra, qui était collé contre la porte de la chambre du caporal-chef. Qu'est ce qu'elle faisait? Je décida de m'approcher d'elle.

Eren : Petra? Qu'est ce que tu fais?

Elle retira immédiatement sa tête qu'elle avait collée contre la porte. J'imagine qu'elle écoutait ce qui se passait à l'intérieur. Mais pourquoi?

Petra : Aaah, Eren. Je ne t'ai pas entendu arrivé. Ca fais longtemps que tu es la?

Eren : Non, je viens juste d'arriver. Pourquoi tu écoutais à la porte?

Petra : Et bien...je crois que (t/p) a retrouver la mémoire.

Je colla à mon tour mon oreille à la porte. Et, en entendant les bruits qui provenait de l'intérieur je recula immédiatement.

Eren : Ah, euh...oui on dirait bien.

Mais nous nous attendions pas à ce que le caporal-chef ouvrit d'un seul coup la porte. Il était torse nu, revêtit de son pantalon. Je regarda Petra et constata qu'elle bavait légèrement. 

Livaï : Oïe, on vous a jamais dis que c'était mal d'écouter aux portes? Pour la peine, vous irez me récurer les chiottes de tout le QG et laverez également toutes les fenêtres.

Eren : Caporal-chef, vous êtes durs.

Livaï : Tch, ça t'apprendra à te mêler de ce qui ne te regarde pas. Et ça vaut pareil pour toi, Petra.

Petra : Oui, caporal-chef. D'ailleurs, (t/p)...

Livaï : Oui, elle a retrouvée la mémoire. Maintenant, oust. Avant que je ne vous rajoute une corvée.

Petra : Oui, caporal. Je vous souhaite tout le bonheur avec (t/p).

Je pus sentir dans la voix de Petra qu'elle était triste. Après tout, je crois qu'elle aussi était amoureuse du caporal. Mais il fallait qu'elle se fasse une raison. Après tout, cela faisait des années que le cœur du caporal-chef était déjà prit.


PDV (t/p)

(t/p) : Ils écoutaient aux portes? Sérieux?

Livaï : Tch, ouais. 

(t/p) : Ils sont désespérants. 

Livaï : Je te le fais pas dire. C'est pas tout mais j'ai une montagne de paperasse à remplir pour Erwin. Ca me fais chier plus qu'autre chose tiens.

(t/p) : Toujours égal à toi même hein? Je vais te donner un coup de main.

Livaï : Oïe, ces papiers sont d'un ennuis mortels. Va donc voir Petra et lui présenter tes excuses.

(t/p) : Tch, j'irais plus tard. Laisse moi t'aider.

Livaï : Tête de mule.

(t/p) : T'es pareil je te signale.

Puis nous nous installions au bureau. C'était parti pour une longue, une très longue nuit à remplir les documents.

Freedom. {𝖳𝖤𝖱𝖬𝖨𝖭𝖤𝖤}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant