Chapitre 18 : Plan secret.

6K 265 511
                                    


Livaï s'avança assez rapidement vers nous deux. Son visage était dur et fermé. A ce moment la, j'ai pu deviner et voir dans ses yeux qu'il était terriblement en colère, malgré le fait que son visage ne laissait rien transparaitre. 

Eren : Caporal-chef, ce n'est...

Mais Eren n'eut pas le temps de finir sa phrase que Livaï l'avait déjà mis K.O.  Quand à moi, je n'eu pas le temps de lever le petit pouce qu'il me prit par les cheveux et me traina en dehors de ma chambre.

(t/p) : Hé, tu me fais mal! Et je ne suis pas habillée.

Livaï : M'en fous.

Il me traina ainsi jusqu'à sa chambre et me lâcha avec violence. Ile ne me regarda même pas. Il était dos à moi. Bordel, mais c'était quoi son problème? C'est le fait de m'avoir vu au lit avec Eren qui le met dans cet état la? D'ailleurs, je ne suis même pas certaine de ce qu'on a réellement fait hier soir. Je me rappelais désormais pourquoi j'avais autant peur de lui auparavant. 

(t/p) : C'est quoi ton problème?

Livaï : Je ne t'ai pas donné la permission de parlé. Maintenant, tu ferme ta jolie petite gueule de trainée.

Sérieusement? 

(t/p) : Tu crois vraiment que je vais te laisser m'insulter de trainée sans réagir?

Livaï : Essaierais tu de nier que tu es une véritable petite salope? Ce que j'ai vu ce matin en est la preuve. Tch, tu me dégoute. 

Un coup de poignard en plein cœur. Ca faisait mal, vraiment mal. Je ne savais même pas pourquoi ça me faisait aussi mal alors que je ne ressens absolument rien pour lui. Mon cœur se serra d'avantage. J'avais envie de l'arracher de ma poitrine tellement il me faisait mal. Puis, Livaï prononça les mots qui m'acheva.

Livaï : Tch, je peux même plus te regarder en face. Je veux même plus te voir, ni t'adresser la parole tellement tu me dégoute. Maintenant, sors d'ici tel la pute que tu es et retourne t'amuser avec le morveux. 

Je pleurais. Pour la première fois depuis longtemps, je pleurais. Réellement. Sans même savoir pourquoi. Je devrais m'en foutre de ce qu'il me dit, cela ne devrait même pas m'atteindre. Alors, pourquoi? Pourquoi ça me faisait aussi mal?  Je m'avança vers lui et le baffa violemment avant de sortir de sa chambre et de prononcer un dernier mot.

(t/p) : Connard! Va crever en enfer!

Puis, je retourna en courant dans ma chambre.


PDV Livaï

Tch, fais chier tiens. Quelques minutes après que (t/p) soit sortie de ma chambre, Historia entra. 

Historia : Caporal-chef?

Livaï : Tch, tout se passe comme prévu. J'espère juste vraiment qu'Eren ne l'a vraiment pas touché.

Historia : Ne vous inquiétez pas, j'ai observer discrètement ma sœur et Eren hier soir. Bon, je dois reconnaitre qu'ils étaient complètement saoul et qu'ils ont finis par se mettre complètement nu tellement ils avaient chaud. Mais ils se sont endormis juste après. Il n'y vraiment rien eu.

LivaÏ : Je dois reconnaitre que c'était une bonne idée de faire un trou dans le plafond afin de les observer depuis l'étage. 

Historia : Eren a bien jouer son jeu. Sans lui, rien n'aurait été faisable.

Livaï : Tch, ça me fais quand même chier de laisser (t/p) dans cet état. 

Historia : Caporal-chef, (t/p) a pleurer quand vous lui avez dit...enfin quand vous avez prononcez les derniers mots que vous lui avez dit. Cela veut dire que nous sommes sur la bonne voie.

Livaï : Ca me saoule. Je sais pas si je veux continuer. J'ai pas envie de la faire souffrir d'avantage.

Historia : Caporal-chef. Si vous voulez vraiment qu'elle retrouve la mémoire, c'est le seul moyen. On doit faire ressurgir les sentiments qu'elle éprouvait pour vous à l'époque.

Livaï : Tch...Est-ce que tu es aller voir Petra?

Historia : Oui. Elle est au courant.

Livaï : Bien. Passons à la suite.


PDV (t/p)

Connard de Livaï. Qu'il aille se faire foutre. Qu'ils aillent tous se faire foutrent. Je rentra dans ma chambre, tout en essuyant mes larmes. Eren était toujours inconscient. Ce que m'avait dit Livaï m'avait vraiment blessée. Je ne veux plus jamais voir cet enfoiré. Jamais. Je m'habilla puis sortie de mon dortoir. Il fallait que j'aille me défouler. Alors que je m'apprêtais à prendre la direction du terrain d'entrainement, je vis caporal-connard et Petra. Ensemble. Main dans la main. 

Ils étaient ensemble? Pas possible. Qu'est ce que j'en avais à foutre de toute manière?

Non, je devais le reconnaitre. J'en avais pas rien à foutre.

Petra. Sale garce que tu es. Je vais me faire un plaisir de te refaire une coupe de cheveux. Je retourna vite fait à ma piole afin de prendre ma paire de ciseaux. Une fois que je l'avais, je retourna en direction des deux autres trouffions. Je passa à côté de Petra pute, en faisant mine de rien. Puis sans crier gare, je l'attrapa par les cheveux et lui en coupa dix bon centimètres.

Petra : Hééé! Mais ça va pas?!

Mais avant que je ne puisse continuer mon chef d'œuvre, caporal trouduc me retena fermement. Je vis Eren s'avancer vers nous. Il avait repris connaissance.

(t/p) : Eren, file moi un coup de main!

Eren : Désolé (t/p)...

Puis, je vis Historia qui prit place aux côtés de Jaëger.

(t/p) : Historia? Tu peux bien me dire ce qui se passe? Et toi, enfoiré, lâche moi! Je croyais que tu ne touchait pas les putes, comme tu l'a si bien dit!

Livaï : Tch. Historia.

Je vis ma petite sœur s'avancer vers moi.

Historia : Désolé (t/p) mais c'est pour ton bien.

Puis, plus rien, le trou noir.


Freedom. {𝖳𝖤𝖱𝖬𝖨𝖭𝖤𝖤}Where stories live. Discover now