Chapitre 25 : Marche Arrière.

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Pour vous mettre dans l'ambiance ^^  (Et parce que je trouve cette musique juste magnifique et qui m'a inspiré pour ce chapitre ^^): 


Nous étions en plein milieu des festivités. Tous était joyeux. La moitié du bataillon était bourré tandis que l'autre se goinfrais de nourriture. En même temps, ce n'était pas tout les jours que l'on avait de la viande au repas. Et j'étais parmi l'une des première a en profiter.

Livaï : Oïe, arrête de te goinfrer comme ça, ta robe va finir par éclater si tu te goinfre de trop.

(t/p) : T'es vraiment pas délicat. Tu pourrai en profiter, ça te permettrais de gagner quelques centimètres.

Livaï : Tch. T'ira me nettoyer le jardin cette semaine.

(t/p) : Je n'ai fais que te répondre mon cher époux.

Livaï : Et c'est pas pour me déplaire. Ton répondant fais tout ton charme. 

Soudain, quelqu'un se mit sur l'estrade et frappa son verre avec sa cuillère. Ce n'était que major gros sourcils. Je suppose qu'il allait faire un discours ou un truc de ce genre. J'espère sincèrement que nous n'aurons pas à monter sur scène, Livaï et moi. Les discours, c'est pas mon fort. 

Erwin : Je souhaite porter un toast au caporal-chef Livaï et à la recrue (t/p) Reiss. Je vous souhaite tout le bonheur possible. Vous méritez bien cela malgré tout ce que vous avez vécu auparavant. Mais maintenant, c'est du passé. Profitez du futur qui vous attends. Bien entendu, j'attends à ce que vous continuez à donnez le meilleur de vous même afin de débarrasser le monde des titans. Mais en attendant, profitez du présent afin de célébrer votre union.

Puis, une salve d'applaudissement se fit entendre. Argh, y'avais trop de bruits ici. Mais ce qu'avais dis le major me faisait plaisir. Et j'avais constater que Livaï avait également sourit. Historia était venu me voir afin de me présenter ses vœux de bonheurs.

Historia : Je suis tellement heureuse pour toi.

(t/p) : Hé, pleure pas, tu va me mettre mal à l'aise. 

Historia : Tu mérite vraiment ce bonheur, grande sœur.

(t/p) : Halala, tu ne changera jamais.

Puis, je la pris dans mes bras. 

(t/p) : Tu m'excuse mais il faut vraiment que j'aille aux toilettes.

Historia : Tombe pas dans le trou.

(t/p) : Pas de soucis à avoir.

Puis, je me dirigea vers les toilettes les plus proches. Une fois que j'étais à l'intérieur, je ferma les yeux. Ce bruit m'avait donner un mal de tête pas possible. 


Lorsque je rouvris mes yeux, je constata que je n'étais plus dans les toilettes. J'étais dans le couloir, près du réfectoire. Et je pus voir qu'à l'extérieur, le soleil s'était couché. Mais il y avait toujours autant de bruit dans le réfectoire. Je regarda ma robe. Elle était tâchée. Recouverte de sang. Bon sang, qu'est ce qu'il s'est passé? Je ne pouvais absolument pas retourner dans le réfectoire dans cette tenue. Mais j'allais être vue plus rapidement que je ne l'espérais. La porte du réfectoire s'ouvrit et je pus voir que c'était Livaï et Historia.

Livaï : Tch, te voilà enfin. Ca fais des heures qu'on te cherche...

Historia : (t/p), ta robe...

Livaï : Oïe, il s'est passé quoi?

(t/p) : J'en sais rien...j'étais parti aux toilettes et puis plus rien...je me suis réveillé comme ça...

Je tremblais. Livaï s'approcha de moi et me prit dans ses bras.

Livaï : Calme toi. Je suis certain que tu n'a rien fais de mal. 

Nous restions ainsi pendant plusieurs minutes jusqu'à ce que plusieurs soldats viennent nous interrompre. Et ce n'était pas des soldats du bataillon. Non. C'était les brigades spéciales.

Historia : Qu'est ce qui se passe?

Soldat : Majesté, Caporal-chef Livaï. Veuillez vous éloignez de (t/p) Reiss. Elle est en état d'arrestation.

Quoi? Comment ça? Je n'ai rien fais de mal.

Livaï : Oïe, c'est quoi ce délire?

Naile fit son apparition et s'approcha de nous. 

Naile : Livaï. Ton épouse à assassiner Petra Ral. 

(t/p) : Quoi? C'est faux, je l'ai juste assommer avant que vous ne l'enfermiez dans une cellule...

Naile : Plusieurs de nos soldat t'on vu il y a moins de deux heures. C'est inutile de contester, nous avons des preuves. Passez lui les menottes.

J'avais beau me débattre, ces enfoirés réussissaient quand même à me mettre les menottes. 

Naile : Emmenez la. 

Livaï : (t/p)!!! Lâchez la bande de gros porcs puants!!!

Historia : Grande sœur!!!

Je vis les soldats des brigades spéciales qui tentaient bien que mal de retenir mon mari et ma petite sœur. Puis, ils me sortirent du QG et m'emmena dans leurs carrioles.

Naile : Et bien, (t/p), je crois que tu va bientôt retourner la d'où tu viens.




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Freedom. {𝖳𝖤𝖱𝖬𝖨𝖭𝖤𝖤}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant