𝐂𝐎𝐌𝐌𝐄 𝐏𝐀𝐒 𝐃𝐄𝐔𝐗
"Elle ne m'a jamais souris, elle ne m'a jamais dit qu'elle m'aimait, ses marques d'affections étaient uniquement des bleus sur mon corps."
↬ MAËLLE POVLICHA
Deux jours plus tard.
Je souris comme une gosse devant mon téléphone, Léna et Lukas ont enfin annoncé qu'ils vont être parents sur leur Instagram privée, j'ai un peu lu les commentaires et les garçons sont comme des ouf sauf Nabil qui ronfle à mes côtés, il est passé dix heures et il dort encore, à croire que l'on s'est pas couché tôt hier soir... ça fait une heure que je suis réveillée et que lui, ronfle contre ma poitrine. Je le laisse dormir car je sais qu'il est épuisé en ce moment, depuis l'autre soir et l'épisode de son cauchemar, Nabil fait des insomnies, des cauchemars, il a même fait une espèce de petite crise d'angoisse hier matin en se réveillant, heureusement que je connais les gestes pour calmer tout ça rapidement puisque j'en fais moi-même.C'est donc ça l'après coup des traumatismes d'enfance ?
Nabil n'est pas bien alors je suis pas bien aussi, depuis que l'on se connaît j'ai toujours su absorbé ses émotions comme une vraie éponge et je crois que c'est pareil de son côté, ça me rend juste folle de le voir comme ça, pas bien et j'aimerais lui changer un peu les idées.
J'ai eu pour idée de peut-être pas organisé une petite soirée ce soir, juste pour essayer de changer les idées de Nabil, pour qu'il pense à autre chose, qu'il retrouve un peu sa famille. J'aime pas le voir mal et je crois que je ferais tout pour qu'un petit sourire s'affiche sur ses lèvres, ça me ferait du bien à moi aussi.
Si il n'a pas envie, je vais devoir faire preuve d'imagination pour lui changer les idées. Je caresse sa nuque avec mes ongles et il bouge un peu contre ma poitrine mais ne se réveille pas pour autant, sa main glisse un peu plus sous mon haut et sa main se pose sur mes côtes, je fais un petit sourire.
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COMME PAS DEUX
Fanfiction- 𝔫.𝔬.𝔰, Maëlle et Nabil « 𝐏𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐣'𝐦'𝐞𝐧 𝐬𝐨𝐫𝐬 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐯𝐢𝐯𝐫𝐞 ? » 𝐏𝐥𝐮𝐬 𝐥𝐚 𝐥𝐮𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐛𝐫𝐢𝐥𝐥𝐞, 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐥'𝐨𝐦𝐛𝐫𝐞 𝐬'𝐚𝐠𝐫𝐚𝐧𝐝𝐢𝐭, 𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐭 𝐬𝐨𝐧 𝐨𝐦𝐛𝐫𝐞, 𝐢𝐥 𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐭 𝐬𝐚 𝐥𝐮�...