[QUARANTE-SEPT]

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𝐂𝐎𝐌𝐌𝐄 𝐏𝐀𝐒 𝐃𝐄𝐔𝐗

"Les doutes deviennent d'la haine, ouais, c'est dangereux tellement on s'aime

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"Les doutes deviennent d'la haine, ouais, c'est dangereux tellement on s'aime."


MAËLLE POVLICHA


J'ouvre doucement les yeux en entendant Nabil qui grogne et me pousse dans le lit, je fronce les sourcils et je me tourne, il viens automatiquement remettre ses bras autour de mes hanches et sa tête dans ma nuque, je ferme à nouveau les yeux pour essayer de me rendormir un peu mais un cri et des rires m'en empêche.



- J'ai mal au crâne... Je souffle et je passe ma main sur mon front.


Nabil - Hm. Apparemment lui aussi, je ferme à nouveau les yeux en sentant les doigts de Nabil qui caresse mon ventre.


J'aime tellement quand on me fait ça, c'est pire que les papouilles dans les cheveux, je peux m'endormir au bout de quelques secondes mais aujourd'hui ça sera pas le cas, je descend du lit en aillant un haut de cœur, je sors de la chambre et fonce à la salle de bain, j'ai juste le temps de me pencher au dessus du toilette, je grimace en sentant mes côtes super douloureuse, j'ai presque envie de pleurer, je sens deux mains attraper mes cheveux.


Après quelques secondes, je me relève doucement et je tire la chasse d'eau.


Nabil - Ça va mieux ? Je hoche la tête et je vais me laver les dents en tremblant un peu.


- Je vais faire une croix sur l'alcool un petit moment je crois.


Nabil - C'est d'ta faute, j'ai l'estomac en feu wesh. Il grimace.


- J'assume. Je commence un peu à tousser et je m'appuie sur le plan en bois de la salle de bain.


Je grimace et je me tiens les côtes, je tousse vraiment fort, Nabil caresse mon dos et j'essaie de reprendre doucement mon souffle, putain je crois qu'elle va être belle ma journée.


Nabil - Tu devrais prendre une douche. Je hoche la tête. J'vais t'chercher des vêtements.


- Merci Nab.


Il file dans la chambre, je me déshabille et je vais dans la douche, heureusement que la vitre a un espèce de filme qui « floute » une bonne partie de mon corps car même si Nabil m'a déjà vue nue, c'est assez gênant comme situation, je l'entends revenir et un petit courant d'air frais dans le bas de mon dos, je tourne un peu la tête et il me regarde de tout mon long avec un petit sourire de coin, il a juste passé sa tête par la porte.


COMME PAS DEUX Where stories live. Discover now