[SOIXANTE-SEIZE]

10.9K 455 333
                                    

𝐂𝐎𝐌𝐌𝐄 𝐏𝐀𝐒 𝐃𝐄𝐔𝐗

« Plus très loin du sommet, j'veux garder les pieds sur Terre, je garde une photo d'en bas

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou télécharger une autre image.


« Plus très loin du sommet, j'veux garder les pieds sur Terre, je garde une photo d'en bas. »



MAËLLE POVLICHA



Finalement, la signature des derniers contrats ce sont fait un peu plus rapidement que prévu, on pensait signer juste après nos deux voyages mais finalement, on va pouvoir emménager tranquillement avant notre départ. Avec Nabil, on a déjà commandé la plupart de nos meubles qui vont être livrés normalement aujourd'hui, le jour de notre déménagement. Pour ce qu'il y est du mobilier présent dans l'appartement des garçons, il restera là-bas puisque que les garçons ont décidés de le garder pour le racheter pour la suite, encore une fois ça montre bien qu'ils sont bien trop attachés à ce lieux sûrement rempli de souvenir pour eux.

Mais pour le moment, nous allons commander les dernières choses que l'on va sûrement pouvoir recevoir aussi dans la journée, comme notre nouveau lit. Qu'est-ce que Nabil a pu me casser les pieds avec notre lit, à croire qu'il était plus heureux d'acheter un nouveau lit que de déménager.

Ça fait plus d'une heure que l'on est dans le magasin, à s'allonger, se lever et s'allonger de nouveau sur les matelas pour faire notre choix, contrairement à Nabil, je préfère avoir un matelas un peu plus ferme alors que lui, c'est plus les matelas assez moelleux qu'il aime.

Nabil - Il est bien celui-là. J'allonge mon dos sur le matelas.

- Oui, il est cool.

Nabil - Attend, vas-y ferme les yeux. Je le regarde et je fronce les sourcils. Allez ferme les yeux, joue l'jeu.

- D'accord. Je souffle un peu et je ferme les yeux.

Nabil - Vas-y, maintenant imagine nous en train d'faire des putains d'bails dans ce lit, pas mal nan ? Je me relève et je frappe son torse alors qu'il est mort de rire.

- Putain ferme là, arrête tes conneries un peu. Il mets son bras autour de mon cou pour me refaire un peu tomber contre le matelas.

Nabil - Ça va bébé, j'rigole. Je lève les yeux au ciel. Nan sérieux, tu l'aimes bien celui-là ?

- Nan pas trop. On se relève tout les deux et on se dirige sur le matelas juste à côtés. Par contre celui-là, rien qu'à voir le prix, j'espère qu'il est tout option. Nabil explose de rire.

COMME PAS DEUX Où les histoires vivent. Découvrez maintenant