[QUARANTE-CINQ]

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𝐂𝐎𝐌𝐌𝐄 𝐏𝐀𝐒 𝐃𝐄𝐔𝐗

"Que la famille, personne nous inquiète jusqu'au dernier gramme

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"Que la famille, personne nous inquiète jusqu'au dernier gramme."


MAËLLE POVLICHA

Je suis dans la cuisine des garçons pour manger un petit truc, je me suis réveillé en plein dans mon sommeil car mon ventre gargouillé assez fort, il est peut-être trois heures du matin, j'ai réussi à me changer toute seule même si je me suis fais mal, j'ai mis un teeshirt à Nabil et un short de nuit. La porte s'ouvre sur les garçons qui ont l'air mort de fatigue, Tarik fonce sûrement dans sa chambre pour rejoindre Maïsa alors que son frère me rejoint dans la cuisine.

Il se penche pour attraper un bout de gâteau sur la table derrière moi, mon corps se retrouve coincé entre la table et son corps, je le regarde faire et il enlève ses lunettes de soleil qu'il dépose juste à côté de moi.

- Ça s'est bien passé ? Il hoche la tête et continue de me regarder en mangeant.

On se regarde droit dans les yeux en mangeant notre bout de gâteau, son corps toujours collé au mien, sans vraiment m'en rendre compte il me fait monter sur la table de la cuisine, il pose ses deux poings de chaque côté de mes cuisses et se penche légèrement sur moi, on continue de se regarder droit dans les yeux.


Si il croit que je vais baisser le regard avant lui, il rêve, je lèche ma lèvre du bas une fois tout mon gâteau avalée mais ça ne le fais pas réagir, je le vois sourire mais je regarde toujours ses yeux, a mon avis on a vraiment l'air de deux cons sérieux.


Je sens une de ses mains glisser sur ma cuisse sur ma cuisse nue, je porte seulement un de ses maillots et un bas de sous-vêtements, le bout de ses doigts caresse l'intérieur de ma cuisse, je mord ma langue et je passe une de mes mains sous son teeshirt, je caresse du bout des doigts son abdomen musclé, j'approche doucement ma tête de la sienne en souriant aussi.


- Si tu commences ce genre de jeu, je vais gagné. Je prend une voix mielleuse et plutôt basse.


Nabil - J'vais t'éclater. Je rigole en le regardant, il pouffe de rire.


- T'es sûre de toi ? Je souris de toute mes dents.


Je glisse ma main dans son boxer et la sienne glisse dans mon string, on se mord tout les deux la lèvre en se regardant toujours dans les yeux, on tourne la tête entendant un bruit, Nabil s'éloigne un peu de moi et je descend de la table pour m'asseoir sur une chaise, Maïsa entre dans la pièce et nous regarde un peu avant de prendre à boire et repartir.


Nabil - Tu as perdues.

- Tu as perdues aussi. Il souffle et je souris, je passe devant lui en le regardant et je vais à sa chambre.

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