[QUARANTE-QUATRE]

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𝐂𝐎𝐌𝐌𝐄 𝐏𝐀𝐒 𝐃𝐄𝐔𝐗

"J'imagine tellement de choses de toiC'est peut-être toi que je suis des fois

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"J'imagine tellement de choses de toi
C'est peut-être toi que je suis des fois."


MAËLLE POVLICHA

Ce matin je me suis levé et j'ai encore une fois rigoler en repensant à ce qu'il s'est passé hier soir avec Nabil, je suis en train de déjeuner avec Maïsa et Tarik quand Nabil arrive dans la pièce, il est torse nu et porte juste un short de foot, il me regarde et me fusille du regard, j'essaie de ne pas rigoler.


Maïsa - Bien dormi ? Elle le regarde.


Il est venue dormir avec moi après être resté un petit moment dans la salle de bain, comme à son habitude il a dormi collé à mon dos, je n'ai pas cessé de bouger à cause de mes côtes et je crois que j'ai même réveillé son boxer plusieurs fois puisqu'il a fini par me tourner le dos en pleine nuit.


Nabil - Ouais. Je bois mon jus d'orange et je sens sa main claquer contre mon crâne.


Maïsa - Eh, elle a déjà plusieurs côtes de casser alors évite de continuer avec autre chose.


Nabil - C'était juste pour secouer ses neurones un peu. Il pars fumer sur le balcon.


- Mais va te faire foutre Andrieu. Il me regarde et me fais un signe de mort. J'espère que tu vas t'étouffer.


Nabil - Moi j'sais d'jà avec quoi t'étouffer. Maïsa se mets à tousser et j'ouvre la bouche.

Mais il en a pas marre de faire des allusions sexuel en permanence celui-là ?


- Il faudrait peut-être déjà avoir quelque chose dans le caleçon pour le faire. Cette fois-ci c'est Tarik qui recrache la moitié de sa boisson sur la table.


Je le regarde faire et je me retiens de rire, je crois que Nabil va me briser en deux après avoir dis ça, je continue de siroter doucement mon jus d'orange avant de tout débarrasser, Nabil s'est installé à ma place, je récupère mon téléphone et je frappe à mon tour sa tête.


Nabil - Vas-y dégage. Je lui envoie un bisou et je vais à la salle de bain.


Je vais d'abord faire la chose la plus facile pour moi en ce moment, me brosser les dents, je termine en me rinçant la bouche et je passe un peu d'eau froide sur mon visage.


Bon, que les choses compliquées commencent. J'enlève facilement la première manche sans trop grimacer pour l'autre côté je crois que ça va être une autre affaire, c'est le côté ou j'ai le plus de côtes cassées, je ferme les yeux en grimaçant et je sursaute un peu en entendant une voix rauque derrière moi.


COMME PAS DEUX Where stories live. Discover now