𝐂𝐎𝐌𝐌𝐄 𝐏𝐀𝐒 𝐃𝐄𝐔𝐗
@nbksag
Partie deux, chapitre vingt deux.
« 𝐬'𝐢𝐥 𝐭𝐞 𝐩𝐥𝐚𝐢̂𝐭 𝐌𝐚𝐞̈𝐥𝐥𝐞, 𝐣𝐞 𝐭'𝐞𝐧 𝐬𝐮𝐩𝐩𝐥𝐢𝐞. »☇
𝐌𝐀𝐄̈𝐋𝐋𝐄 𝐏𝐎𝐕𝐋𝐈𝐂𝐇𝐀 𝐏𝐄𝐑𝐃𝐈𝐑𝐎
𝐏𝐚𝐫𝐢𝐬, 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞, 𝐒𝐞𝐩𝐭𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞 𝟐𝟎𝟐𝟎Julian - Je devais partir en Italie mais j'ai complètement abandonné l'idée. On s'installe tous les deux dans son bureau. Je kiffe ce défilé en plus, l'année dernière j'y suis pas allé non plus, je pouvais pas. Je te jure que ça commence à me rendre fou cette pandémie de mes couilles.
- Je te comprends, Valentina est assez dégoûtée. On devait assisté à pleins défilés mais tout a été annulé ou rendu « numérique » Il ouvre à nouveau sa session et je touille ma cuillère dans mon café. Mais elle défile toujours pour Balmain, c'est maintenue.
Julian - Putain, Balmain quoi. Je hoche la tête en souriant. Tu crois qu'il y a moyen que je m'incruste avec vous deux ? Je pouffe de rire.
- Je vais essayer de voir, Léna vient déjà avec nous. Je bois dans mon café. Normalement on doit pas dépasser quatre personnes en plus du modèle, souvent il privilégie le manageur et les parents mais dans le cas de 'Tina...
Julian - J'passe crème pour jouer son papa moi. On rigole tous deux et je secoue la tête. Bordel, tu vas te marier hein. Il attrape ma main pour regarder une nouvelle fois ma bague, je souris.
- Et tu es marié, tu te rends compte ? On se regarde tous les deux en souriant. On était loin de ça, l'année dernière.
Julian - Je te jure, on était à la ramasse. Je lâche un petit rire. R'garde, Léna elle est maman et elle commence à préparer son mariage. On grandit trop vite tous les trois, j'ai pas envie.
- Ça va aller mon Juju, on a que trente et un an. Il grogne et je continue de rire, il regarde l'écran de son ordinateur. Dis, Ju' ? Il baisse les yeux vers moi et je fais un petit sourire.
Julian - Oula quoi ? Ne m'annonce pas que Nabil est stérile et que tu veux faire un gosse avec moi. J'éclate de rire et je secoue la tête.
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COMME PAS DEUX
Fanfiction- 𝔫.𝔬.𝔰, Maëlle et Nabil « 𝐏𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐣'𝐦'𝐞𝐧 𝐬𝐨𝐫𝐬 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐯𝐢𝐯𝐫𝐞 ? » 𝐏𝐥𝐮𝐬 𝐥𝐚 𝐥𝐮𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐛𝐫𝐢𝐥𝐥𝐞, 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐥'𝐨𝐦𝐛𝐫𝐞 𝐬'𝐚𝐠𝐫𝐚𝐧𝐝𝐢𝐭, 𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐭 𝐬𝐨𝐧 𝐨𝐦𝐛𝐫𝐞, 𝐢𝐥 𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐭 𝐬𝐚 𝐥𝐮�...